"Je vais te dire ce que je dis à chaque esclave qui arrive à Blackcliff : la Résistance a tenté de pénétrer dans l’école un nombre incalculable de fois. Si tu travailles pour elle, si tu contactes ses membres, et même si tu y songes, je le saurai et je t’écraserai."
Autrefois l’Empire était partagé entre les Érudits, cultivés, gardiens du savoir, et les Martiaux, armée redoutable, brutale, dévouée à l’empereur. Mais les soldats ont pris le dessus, et désormais quiconque est surpris en train de lire ou d’écrire s’expose aux pires châtiments. Dans ce monde sans merci, Laia, une esclave, et Elias, un soldat d’élite, vont tout tenter pour retrouver la liberté… et sauver ceux qu’ils aiment. |
pocket jeunesse - 523 pages - sabaa tahir
Reçu maintenant depuis plusieurs mois, il me faisait vraiment très envie. Avec une couverture aussi canon, il était dur de résister. Puis les premiers avis sont tombés, et je n'ai plus résisté longtemps. Et je suis loin de regretter cette lecture, bien au contraire ! Bien qu'elle soit difficile moralement à certains moments, l'intrigue et l'histoire sont vraiment très prenantes et les personnages très attachants ! Un presque coup de cœur pour moi !
Avant, l'Empire était partagé entre les Erudits et les Martiaux. Ces derniers ont fini par prendre le pouvoir et, à présent, quiconque est surpris en train de lire ou d'écrire est puni très sévèrement. Dans ce monde voué au chaos, Laia, jeune esclave tente de survivre du mieux qu'elle peut et de sauver le seul membre de sa famille qui lui reste. Totalement sous le joug de la commandante, elle vivra de longues heures sombres, avec seulement une lueur dans les yeux : sauver sa vie à tout prix. Quant à Elias, il vit depuis sa naissance auprès de la commandante et dans l'école des Masks. Cependant, cette vie ne lui plaît pas et il tentera, comme Laia, de sauver sa vie et de fuir cette vie qu'il déteste. Deux destins différents, mais qui pourtant devront s'allier pour s'en sortir.
Pour être honnête, j'ai aimé ce livre dès les premières pages. L'auteure ne se perd pas en explications et va directement aux faits. L'action est déjà bien présente et pour notre plus grand plaisir. Avec ce premier tome, le lecteur n'a pas le temps de souffler, tant les bouleversements sont présents de page en page. Ce roman est aussi très dur psychologiquement, car l'auteure n'hésite pas à donner les formes et les descriptions pour nous montrer que cet univers est loin d'être un conte de fées. Violences, coups bas, guerres rythment le récit, entrecoupé quand même de légers moments de douceur.
La force du roman c'est que les chapitres sont découpés en deux points de vue : Laia et Elias, nous permettant ainsi de mieux les connaître, de savoir ce qu'ils vivent, ce qu'ils ressentent et ce qu'ils pensent. J'ai beaucoup aimé ces deux personnages, qui malgré leur différence se ressemblent tout de même beaucoup. Tout d'abord Laia : venant de la caste des Erudits, elle est très mal vue par les Martiaux et considérée comme une sous-espèce, une esclave. Alors qu'elle entre à l'école des Masks en tant qu'esclave, elle va vite se rendre compte que sa vie déjà peu joyeuse n'était finalement pas si mal que cela. Malgré tout ce qu'elle va vivre, elle garde son caractère et est prête à tout pour survivre. Elle est vraiment attachante, et quand elle souffre, on aimerait pouvoir la sortir de ce bourbier dans lequel elle s'est fourrée.
Quant à Elias, si c'est un Mask, dans sa tête il n'en est pas un. Il n'aime pas la vie qu'il mène et ne pense qu'à une chose : fuir et recommencer loin d'ici et faire ce dont il a envie. Au fil de son avancée, il fera des choix qui se retourneront forcément contre lui, étant donné qu'il est contre la monarchie installée. Même s'il est bien placé en tant que Mask, personne ne lui fera de cadeaux. J'ai aimé son caractère de battant et son intelligence. Il sait autant se faire discret que le contraire, ce qui est pour moi une grande qualité.
Quant à l'ambiance du livre. Que dire à part que ce sent très oppressés, gênés, que notre ventre se tord à chaque page, que l'on stresse pour les personnages, que l'on craint pour leur vie. Que la Commandante est une personne détestable comme jamais je n'ai vu dans un roman. Qu'on a envie de la détruire comme elle détruit les gens autour d'elle ? Bref, ce livre énerve mais est aussi très addictif. Les chapitres sont plus ou moins courts, ce qui nous pousse à continuer notre lecture et se rendre compte arrivés à la fin, que c'est déjà fini et qu'il faudra attendre des mois avant d'avoir la suite...
Avant, l'Empire était partagé entre les Erudits et les Martiaux. Ces derniers ont fini par prendre le pouvoir et, à présent, quiconque est surpris en train de lire ou d'écrire est puni très sévèrement. Dans ce monde voué au chaos, Laia, jeune esclave tente de survivre du mieux qu'elle peut et de sauver le seul membre de sa famille qui lui reste. Totalement sous le joug de la commandante, elle vivra de longues heures sombres, avec seulement une lueur dans les yeux : sauver sa vie à tout prix. Quant à Elias, il vit depuis sa naissance auprès de la commandante et dans l'école des Masks. Cependant, cette vie ne lui plaît pas et il tentera, comme Laia, de sauver sa vie et de fuir cette vie qu'il déteste. Deux destins différents, mais qui pourtant devront s'allier pour s'en sortir.
Pour être honnête, j'ai aimé ce livre dès les premières pages. L'auteure ne se perd pas en explications et va directement aux faits. L'action est déjà bien présente et pour notre plus grand plaisir. Avec ce premier tome, le lecteur n'a pas le temps de souffler, tant les bouleversements sont présents de page en page. Ce roman est aussi très dur psychologiquement, car l'auteure n'hésite pas à donner les formes et les descriptions pour nous montrer que cet univers est loin d'être un conte de fées. Violences, coups bas, guerres rythment le récit, entrecoupé quand même de légers moments de douceur.
La force du roman c'est que les chapitres sont découpés en deux points de vue : Laia et Elias, nous permettant ainsi de mieux les connaître, de savoir ce qu'ils vivent, ce qu'ils ressentent et ce qu'ils pensent. J'ai beaucoup aimé ces deux personnages, qui malgré leur différence se ressemblent tout de même beaucoup. Tout d'abord Laia : venant de la caste des Erudits, elle est très mal vue par les Martiaux et considérée comme une sous-espèce, une esclave. Alors qu'elle entre à l'école des Masks en tant qu'esclave, elle va vite se rendre compte que sa vie déjà peu joyeuse n'était finalement pas si mal que cela. Malgré tout ce qu'elle va vivre, elle garde son caractère et est prête à tout pour survivre. Elle est vraiment attachante, et quand elle souffre, on aimerait pouvoir la sortir de ce bourbier dans lequel elle s'est fourrée.
Quant à Elias, si c'est un Mask, dans sa tête il n'en est pas un. Il n'aime pas la vie qu'il mène et ne pense qu'à une chose : fuir et recommencer loin d'ici et faire ce dont il a envie. Au fil de son avancée, il fera des choix qui se retourneront forcément contre lui, étant donné qu'il est contre la monarchie installée. Même s'il est bien placé en tant que Mask, personne ne lui fera de cadeaux. J'ai aimé son caractère de battant et son intelligence. Il sait autant se faire discret que le contraire, ce qui est pour moi une grande qualité.
Quant à l'ambiance du livre. Que dire à part que ce sent très oppressés, gênés, que notre ventre se tord à chaque page, que l'on stresse pour les personnages, que l'on craint pour leur vie. Que la Commandante est une personne détestable comme jamais je n'ai vu dans un roman. Qu'on a envie de la détruire comme elle détruit les gens autour d'elle ? Bref, ce livre énerve mais est aussi très addictif. Les chapitres sont plus ou moins courts, ce qui nous pousse à continuer notre lecture et se rendre compte arrivés à la fin, que c'est déjà fini et qu'il faudra attendre des mois avant d'avoir la suite...
En résumé, un premier tome qui donne déjà les bases : sanglant, dérangeant, addictif. Mon ventre était noué durant toute ma lecture, et mon cœur battait à cent à l'heure dès que les personnages se mettaient dans des situations complexes. Ces derniers sont d'ailleurs très attachants pour certains, irritants pour d'autres, décevants ou encore détestables au possible. L'auteure a vraiment su créer un univers atypique et une psychologie des personnages très bien menée. Un presque coup de cœur que je vous conseille très fortement !
* Je remercie PKJ et Marie pour leur confiance ! *
SORTIE LE 15 OCTOBRE 2015 !
* Je remercie PKJ et Marie pour leur confiance ! *
SORTIE LE 15 OCTOBRE 2015 !
Dans un monde où l’armée a pris le pouvoir, l’obscurantisme domine, mais deux adolescents vont s’unir pour tenter de renverser ceux qui ont imposé ce règne de la force.
« Tu as compris, Laia, Ils nous pourchassent. Il n’y a aucun moyen de quitter la ville. La peur est notre meilleur guide, elle nous maintiendra en vie. » Elias a toujours voulu quitter Blackcliff pour enfin devenir libre. Mais ce rêve a un prix : Laia, une jeune résistante, lui permettra de fuir s’il l’aide à faire évader son frère, enfermé dans la pire prison de Blackcliff. Malgré le risque, Elias n’hésite pas une seconde et décide de forcer son destin. Traqués par les Martiaux, les fugitifs ignorent que ce voyage les conduira jusqu’au coeur de l’Empire, où des dangers plus périlleux encore les attendent… |
POCKET JEUNESSE - 540 PAGES - SABAA TAHIR
Ayant adoré le premier tome, c'était une évidence que je lise le tome 2. J'ai mis beaucoup de temps à le lire (presque une semaine), mais pas parce que je n'ai pas aimé, mais plutôt parce que j'étais très fatiguée. Il n'en est pas moins qu'une fois que j'étais en forme, je l'ai dévoré, et les pages ont défilé toutes seules.
Nous retrouvons Elias, Helene et Laia après les événements survenus dans le premier opus. Elias et Laia ont réussi leur coup d'état et presque à s'enfuir. Maintenant, ils doivent réussir à partir de la ville pour sauver Darin, le frère de Laia. Mais la Commandante, la mère d'Elias, n'a pas dit son dernier mot. Pour elle, il est hors de question de laisser fuir son traître de fils, et ce qu'elle veut, c'est qu'il paye sa traîtrise, et qu'il meurt devant le peuple. C'est la sentence pour tout traître. Fils ou pas fils de.
Comme dans le premier tome, les points de vue passent d'un personnage à un autre. Ainsi, nous suivons au fil du livre Helene, dans sa quête pour retrouver son ami, le ramener chez lui pour le tuer ; Elias, qui tente d'aider Laia ; et Laia dans son envie de sauver et retrouver son frère emprisonné dans le pire endroit du royaume. Autant l'action est toujours présente, autant le côté psychologie des personnages est bien mis en avant. Helene ne sait pas trop quoi faire. Bien qu'elle soit devenue la Pie de Sang après les épreuves qu'ils ont passé et qu'elle doit retrouver son ami, ses réflexions se font une guerre tenace. Elle veut le retrouver, mais ne veut pas pour autant le tuer. Or, Marcus, son chef, lui lance une alternative qu'elle ne peut pas prendre à la légère. De ce fait, elle se retrouve coincée entre sa famille et son amitié pour Elias.
Quant à Elias, il est plus mal en point que jamais. Durant son voyage, il fera la rencontre d'une personne qui changera sa vie à jamais. Mais peut-il lui faire confiance ? Peut-il briser sa carapace pour comprendre qui elle est vraiment ? Peut-il l'aider à s'en sortir, même si les forces magiques sont toujours plus fortes que le reste ? Laia, elle, est déterminée à sauver son frère. Elle sait qu'il est en vie, et est prête à tout pour le retrouver. Même à braver la mort qui sera sur son chemin tout du long. Ce trio improbable, va vivre des heures difficiles, va devoir prendre des décisions qui auront un certain impact pour le futur, et faire des choix qui iront sans doute à l'encontre de ce qu'ils imaginaient. Le mal n'est jamais loin, et surtout, est toujours plus fort qu'on ne le pense. Il n'est jamais simple de le contrer, et quand on le vexe, il devient encore plus horrible.
J'ai beaucoup aimé l'évolution de Laia. Même si dans le premier tome elle paraissait forte et prête à sauver sa peau, ici, les complications sont plus fortes, et pourtant, elle ne perd pas son objectif principal de vue. Elle se rapproche aussi beaucoup d'Elias, qui, lui, essaye de faire taire ses envies et pulsions. Il ne veut pas qu'elle s'attache à lui, car il fait du mal à tous ceux qu'il aime, sans le vouloir. Mais il a en face de lui une femme têtue, qui sait ce qu'elle veut et qui n'abandonne pas au premier problème. Quant à Helene, on la découvre de plus en plus dans ce tome-ci, et on ne peut s'empêcher de s'attacher malgré tout à elle. Elle a le mauvais rôle, elle le sait, mais elle tente malgré tout d'atténuer ses actes. Elle n'a pas un mauvais fond, même si elle doit se faire respecter par ses paires et montrer que c'est elle qui donne les ordres. Elle a des faiblesses comme tout le monde, mais tente de les cacher comme elle le peut.
Quant à l'intrigue en elle-même, comme je le disais plus haut, tout est plus noir, plus sanglant. L'auteure n'hésite pas à créer des hécatombes, à tuer beaucoup des personnages, juste pour en attraper un seul. Les méchants sont de vrais méchants et n'ont aucun remord à répandre le sang autour d'eux. Bien que tout cela soit horrible, c'est aussi la plus grosse force du roman : l'auteure ose ce que je peu feraient. Et de côté-là, je suis assez admirative des choix qu'elle fait. La fin, quant à elle, donne un petit regain d'espoir, mais connaissant le sadisme de Sabaa Tahir, je m'attends au pire pour la suite des événements. Je ne doute pas que le tome trois sera encore plus sombres que ses grands frères. J'ai un peu peur, mais je suis aussi très pressée de le découvrir !
Nous retrouvons Elias, Helene et Laia après les événements survenus dans le premier opus. Elias et Laia ont réussi leur coup d'état et presque à s'enfuir. Maintenant, ils doivent réussir à partir de la ville pour sauver Darin, le frère de Laia. Mais la Commandante, la mère d'Elias, n'a pas dit son dernier mot. Pour elle, il est hors de question de laisser fuir son traître de fils, et ce qu'elle veut, c'est qu'il paye sa traîtrise, et qu'il meurt devant le peuple. C'est la sentence pour tout traître. Fils ou pas fils de.
Comme dans le premier tome, les points de vue passent d'un personnage à un autre. Ainsi, nous suivons au fil du livre Helene, dans sa quête pour retrouver son ami, le ramener chez lui pour le tuer ; Elias, qui tente d'aider Laia ; et Laia dans son envie de sauver et retrouver son frère emprisonné dans le pire endroit du royaume. Autant l'action est toujours présente, autant le côté psychologie des personnages est bien mis en avant. Helene ne sait pas trop quoi faire. Bien qu'elle soit devenue la Pie de Sang après les épreuves qu'ils ont passé et qu'elle doit retrouver son ami, ses réflexions se font une guerre tenace. Elle veut le retrouver, mais ne veut pas pour autant le tuer. Or, Marcus, son chef, lui lance une alternative qu'elle ne peut pas prendre à la légère. De ce fait, elle se retrouve coincée entre sa famille et son amitié pour Elias.
Quant à Elias, il est plus mal en point que jamais. Durant son voyage, il fera la rencontre d'une personne qui changera sa vie à jamais. Mais peut-il lui faire confiance ? Peut-il briser sa carapace pour comprendre qui elle est vraiment ? Peut-il l'aider à s'en sortir, même si les forces magiques sont toujours plus fortes que le reste ? Laia, elle, est déterminée à sauver son frère. Elle sait qu'il est en vie, et est prête à tout pour le retrouver. Même à braver la mort qui sera sur son chemin tout du long. Ce trio improbable, va vivre des heures difficiles, va devoir prendre des décisions qui auront un certain impact pour le futur, et faire des choix qui iront sans doute à l'encontre de ce qu'ils imaginaient. Le mal n'est jamais loin, et surtout, est toujours plus fort qu'on ne le pense. Il n'est jamais simple de le contrer, et quand on le vexe, il devient encore plus horrible.
J'ai beaucoup aimé l'évolution de Laia. Même si dans le premier tome elle paraissait forte et prête à sauver sa peau, ici, les complications sont plus fortes, et pourtant, elle ne perd pas son objectif principal de vue. Elle se rapproche aussi beaucoup d'Elias, qui, lui, essaye de faire taire ses envies et pulsions. Il ne veut pas qu'elle s'attache à lui, car il fait du mal à tous ceux qu'il aime, sans le vouloir. Mais il a en face de lui une femme têtue, qui sait ce qu'elle veut et qui n'abandonne pas au premier problème. Quant à Helene, on la découvre de plus en plus dans ce tome-ci, et on ne peut s'empêcher de s'attacher malgré tout à elle. Elle a le mauvais rôle, elle le sait, mais elle tente malgré tout d'atténuer ses actes. Elle n'a pas un mauvais fond, même si elle doit se faire respecter par ses paires et montrer que c'est elle qui donne les ordres. Elle a des faiblesses comme tout le monde, mais tente de les cacher comme elle le peut.
Quant à l'intrigue en elle-même, comme je le disais plus haut, tout est plus noir, plus sanglant. L'auteure n'hésite pas à créer des hécatombes, à tuer beaucoup des personnages, juste pour en attraper un seul. Les méchants sont de vrais méchants et n'ont aucun remord à répandre le sang autour d'eux. Bien que tout cela soit horrible, c'est aussi la plus grosse force du roman : l'auteure ose ce que je peu feraient. Et de côté-là, je suis assez admirative des choix qu'elle fait. La fin, quant à elle, donne un petit regain d'espoir, mais connaissant le sadisme de Sabaa Tahir, je m'attends au pire pour la suite des événements. Je ne doute pas que le tome trois sera encore plus sombres que ses grands frères. J'ai un peu peur, mais je suis aussi très pressée de le découvrir !
En résumé, un tome deux très prenant, rempli de sang, de torture et de noir. Des personnages toujours aussi intéressants à suivre et à découvrir plus en profondeur. Avec cette série, on ne peut que détester la Commandante et Marcus, et apprécier Elias et Laia. Quant à Helene, je reste encore sur mes réserves, même si ce que j'ai aperçu d'elle dans ce tome m'a assez plu. Un univers vraiment très bien mené, et une auteure qui ose tout et surtout, qui n'hésite pas à tuer un grand nombre de gens, et rendre ses personnages méchants plus mauvais que jamais ! Une suite que j'attends avec impatience !
* Je remercie Marie et PKJ pour leur confiance ! *
* Je remercie Marie et PKJ pour leur confiance ! *
" LA DOULEUR EST UN CHOIX. SUCCOMBES-Y ET TU ÉCHOUERAS.
DÉFIE-LA ET TU TRIOMPHERAS. " Helene Aquilla, la Pie de sang, est assaillie de toute part, elle doit protéger les habitants de l'Empire contre les forces du mal et déjouer les plans de la Commandante. Au même moment, à l'est, Laia cherche à éliminer le terrible Semeur de Nuit et reçoit des menaces inattendues de la part de ses alliés. Quant à Elias Veturius, quelque part entre le monde des morts et celui des vivants, il rejoint les Attrapeurs d'Âmes, sacrifiant sa liberté et son humanité. Au sein de l'Empire et au-delà, la guerre est imminente... |
Pocket jeunesse - 570 pages - Sabaa Tahir
Malgré les années entre le tome 2 et celui-ci, je me faisais une joie de replonger dans cet univers que j'avais tant aimé. Alors, même si ma mémoire est ce qu'elle est en terme de rappel, je m'attendais à avoir le même niveau que les tomes précédents. Et j'avoue être un peu déçue de ce tome 3, malheureusement...
Même si j'ai une mémoire de poisson rouge, je me souvenais d'un univers dur, puissant, de personnages troublés, cassés, brisés, durs, violents. Alors, même si c'est vrai qu'on retrouve ces personnages, j'ai aussi trouvé que l'intrigue de ce tome 3 tournait en rond. C'était long, mais long... Je ne sais pas où voulait en venir l'auteure, mais personnellement, j'ai vraiment trouvé le temps long et certaines choses m'ont paru assez étranges vis à vis de l'univers.
Je n'ai pas vraiment compris le but de la nouvelle mission d'Elias, pour commencer. Alors, d'accord, ça prend son sens au fur et à mesure, mais j'ai trouvé que c'est parti dans de telles proportions que... je n'ai pas retrouvé le Elias que j'avais tant apprécié avant. Et c'est bien ça le souci de ce tome 3 : mon attachement aux personnages a quasiment disparu. Je suis restée assez extérieure à ce qui leur arrivait et ça m'a un peu déçue.
Je me souviens des tomes précédents où j'avais le cœur serré, les larmes aux yeux et l'estomac noué. Ici, à part quelques réactions à chaud, je n'ai rien ressenti. Je ne comprends pas ce changement drastique, d'ailleurs. Que s'est-il passé pour que ça change autant ? Alors, certes, les 150 dernières pages sont hyper prenantes et se dévorent. Mais... Sur presque 600 je peux vous dire que le temps est long, très long.
Si l'intrigue prend des proportions assez intéressantes au fil des pages, j'ai trouvé que par moment, elle tournait en rond. Trop de ci, trop de ça et pas assez d'action. Oui, voilà, ce tome 3 manquait d'action. Alors, j'ai adoré les complots à la cour etc, mais... je ne sais pas, il m'a manqué beaucoup de choses pour retrouver ce coup au cœur que j'avais eu avec les deux autres tomes.
Même si j'ai une mémoire de poisson rouge, je me souvenais d'un univers dur, puissant, de personnages troublés, cassés, brisés, durs, violents. Alors, même si c'est vrai qu'on retrouve ces personnages, j'ai aussi trouvé que l'intrigue de ce tome 3 tournait en rond. C'était long, mais long... Je ne sais pas où voulait en venir l'auteure, mais personnellement, j'ai vraiment trouvé le temps long et certaines choses m'ont paru assez étranges vis à vis de l'univers.
Je n'ai pas vraiment compris le but de la nouvelle mission d'Elias, pour commencer. Alors, d'accord, ça prend son sens au fur et à mesure, mais j'ai trouvé que c'est parti dans de telles proportions que... je n'ai pas retrouvé le Elias que j'avais tant apprécié avant. Et c'est bien ça le souci de ce tome 3 : mon attachement aux personnages a quasiment disparu. Je suis restée assez extérieure à ce qui leur arrivait et ça m'a un peu déçue.
Je me souviens des tomes précédents où j'avais le cœur serré, les larmes aux yeux et l'estomac noué. Ici, à part quelques réactions à chaud, je n'ai rien ressenti. Je ne comprends pas ce changement drastique, d'ailleurs. Que s'est-il passé pour que ça change autant ? Alors, certes, les 150 dernières pages sont hyper prenantes et se dévorent. Mais... Sur presque 600 je peux vous dire que le temps est long, très long.
Si l'intrigue prend des proportions assez intéressantes au fil des pages, j'ai trouvé que par moment, elle tournait en rond. Trop de ci, trop de ça et pas assez d'action. Oui, voilà, ce tome 3 manquait d'action. Alors, j'ai adoré les complots à la cour etc, mais... je ne sais pas, il m'a manqué beaucoup de choses pour retrouver ce coup au cœur que j'avais eu avec les deux autres tomes.
En résumé, je suis un peu déçue de ce tome 3. Il manquait d'action, ça tournait en rond et l'action qui arrive à 150 pages de la fin, c'est trop tard avec ses presque 600 pages... Je n'ai pas non plus été autant touchée que je l'aurais voulu avec les personnages. Il m'a franchement manqué quelque chose. Cette petite (grosse) étincelle que j'ai ressenti avec les deux autres tomes. J'espère sincèrement que le tome 4 (et dernier) sera à la hauteur de mes attentes... Parce que là, des attentes, j'en ai.