On raconte souvent des aventures qui forgent les héros. Pour Enjan, c'est différent : il n'a pas le choix, il est déjà le héros, la Lumière tant attendue qui doit sauver Nadane ! A l’âge de dix-sept ans, il monte sur le trône et représente le dernier espoir de la population de Codée pour retrouver une vie paisible. Car depuis les Grandes Guerres, les relations entre les peuples sont fragiles, les tensions politiques palpables, des bandits infestent les terres et les conflits internes minent les gouvernements... Comment se comportera-t-il face à la tâche qui l'attend ? Saura-t-il survivre à son devoir ? Au cœur des intrigues, en qui placer sa confiance ? Face à cette situation délicate, Enjan compte sur l’appui de ses amis et de conseillers peu ordinaires afin de régler les choses à sa manière, par des méthodes qui surprendront autant ses ennemis que ses alliés. Le Roi est le premier tome des aventures d’Enjan, au fur et à mesure desquelles il découvre que la vie d’un souverain n’est pas de tout repos et que la tâche qui l’attend est plus dangereuse que prévue.
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auto-édition - 418 pages - liane silwen
En fait, ce livre je le connais depuis très longtemps (environ 1 an et demi) étant donné que c'est une amie à moi qui l'a écrit. De fil en aiguille, et de conversation en conversation, elle m'a proposé d'être sa bêta (en plus de plusieurs personnes) pour déceler les fautes qu'elle avait laisser passer. N'ayant tout de même pas un niveau très élevé à cette époque, j'ai tout de même accepté et j'ai passé de très bons moments en compagnie d'Enjan et ses amis.
L'immersion dans l'univers de ce jeune homme se fait très rapidement par un vocabulaire riche et varié, et un style d'écriture très fluide. Les dialogues sont très intéressants et remplis d'informations que l'on emmagasine au fur et à mesure. Les paroles sont surtout portées sur le fonctionnement du pays, ses us et coutumes, ce qu'un roi se doit être pour perpétrer un règne de bonheur etc.
Par contre, pour ce tome 1, le rythme est assez léger et lent le temps de placer les actions (mais ça je le savais). Du coup je n'ai pas été déçue sachant ce qui nous attend par la suite (et oui, je connais la fin mais je prends plaisir à tout relire!). Ce premier opus est surtout centré sur le nouveau règne d'Enjan après la mort subite de son père.
Il devra apprendre à gouverner sur le tas, connaître les Ministres, son peuple et être droit envers tout le monde. Ce qui ne sera pas facile, étant donné que beaucoup de gens veulent sa mort.
C'est une histoire qui est très bien menée. On voit que des recherches approfondies ont été menées et c'est très appréciables. Les personnages sont attachants, magnanimes, sûrs d'eux et savent ce qu'ils font. Aucun ne se plaint le long du récit (sauf peut-être — et encore — Enjan au tout début, ne sachant pas ce qu'il doit faire exactement). D'autres restent dans l'ombre mais on apprécie de les voir de temps en temps à l'oeuvre.
Quant au style, il est très original, du fait que tout a été inventé (jusqu'au temps qui passe qui ne se compte pas en minutes ^^). J'ai redécouvert certains aspects du livre que j'avais oublié (Liane tu avait raison lol je me rappelle de la fin mais pas du milieu :p)
Nous avançons dans une ambiance simple. Pas de glauque, de combats en tout genre mais plutôt le contraire. Les personnages vivent leur vie chacun de leur côté ou ensemble, et se plient aux directives qu'impose le roi, aidé de ses compères.
L'immersion dans l'univers de ce jeune homme se fait très rapidement par un vocabulaire riche et varié, et un style d'écriture très fluide. Les dialogues sont très intéressants et remplis d'informations que l'on emmagasine au fur et à mesure. Les paroles sont surtout portées sur le fonctionnement du pays, ses us et coutumes, ce qu'un roi se doit être pour perpétrer un règne de bonheur etc.
Par contre, pour ce tome 1, le rythme est assez léger et lent le temps de placer les actions (mais ça je le savais). Du coup je n'ai pas été déçue sachant ce qui nous attend par la suite (et oui, je connais la fin mais je prends plaisir à tout relire!). Ce premier opus est surtout centré sur le nouveau règne d'Enjan après la mort subite de son père.
Il devra apprendre à gouverner sur le tas, connaître les Ministres, son peuple et être droit envers tout le monde. Ce qui ne sera pas facile, étant donné que beaucoup de gens veulent sa mort.
C'est une histoire qui est très bien menée. On voit que des recherches approfondies ont été menées et c'est très appréciables. Les personnages sont attachants, magnanimes, sûrs d'eux et savent ce qu'ils font. Aucun ne se plaint le long du récit (sauf peut-être — et encore — Enjan au tout début, ne sachant pas ce qu'il doit faire exactement). D'autres restent dans l'ombre mais on apprécie de les voir de temps en temps à l'oeuvre.
Quant au style, il est très original, du fait que tout a été inventé (jusqu'au temps qui passe qui ne se compte pas en minutes ^^). J'ai redécouvert certains aspects du livre que j'avais oublié (Liane tu avait raison lol je me rappelle de la fin mais pas du milieu :p)
Nous avançons dans une ambiance simple. Pas de glauque, de combats en tout genre mais plutôt le contraire. Les personnages vivent leur vie chacun de leur côté ou ensemble, et se plient aux directives qu'impose le roi, aidé de ses compères.
Au final, une très bonne histoire à découvrir et une bonne entrée en la matière qui promet beaucoup d'émotions par la suite (parole de lectrice ! :D). Des personnages drôles, attachants et sincères et une intrigue bien différente de ce que l'on peut voir avec une histoire totalement inventée de A à Z.
Après sa victoire contre Silhures, Enjan se rend en Mirîle. Malgré les légendes qui circulent sur les Elfes et au grand dam de ses conseillers, le jeune Roi décide de les rencontrer. Là-bas, il apprend une terrible nouvelle : Corona, la capitale de son royaume, est tombée aux mains du bandit Alyosha et de ses hommes. Seiren, Sergent de la Caserne du Nord, est seul face à l’ennemi. Combien de temps tiendra-t-il ? Quelles sont les vraies intentions d’Alyosha ? Est-ce le début d’une aventure qui dépasse les héros ?
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auto-édition - 390 pages - liane silwen
Pour être honnête, ce roman je le connais maintenant depuis des années. En effet, j'avais eu la chance de pouvoir le lire et le corriger il y a quelques temps, mais le temps a passé, et j'ai quasiment tout oublié, d'autant plus que l'auteure m'a dit qu'elle avait changé et ajouté certaines choses. Du coup, j'avais une certaine hâte de reprendre cet univers et de voir ces fameux changements. Si j'ai bien aimé dans l'ensemble, je n'ai pas autant accroché que je l'espérais.
Enjan est devenu roi, et après sa victoire contre Silhures, il doit se rendre en Mirîle pour y rencontrer les elfes. En parallèle, nous suivons aussi Seiren, resté à la capitale pour garder en sûreté cette dernière. Profitant de l'absence du roi, la capitale est attaquée et les fondements deviennent de plus en plus caduques. De là où il se trouve, Enjan apprend la mauvaise nouvelle : Corona, la capitale de son royaume, est tombée entre les mains d'Alyosha et de ses hommes. Il sait qu'il peut avoir confiance en son sergent et ami, mais il souhaite retourner à son royaume, pour protéger son peuple et se battre.
Le gros point fort de ce roman, c'est que les points de vue sont différents, mais toujours à la troisième personne du singulier. Nous suivons alternativement Seiren en pleine bataille et en pleine préservation de la Capitale, et Enjan, qui se sent démuni et qui veut aider, bien qu'il ne soit pas sur place. J'ai trouvé que ça apportait un certain rythme au récit, nous permettant ainsi de suivre l'un et l'autre dans leurs décisions.
Ce qui m'a aussi beaucoup plu, c'est que l'action principale se déroule sur un temps très court, environ une semaine. Ça apporte énormément de tension, de questionnements, de coups bas, d'alliances, de traîtrise et de suspense. Même si, a contrario, quand on lit ce second tome, on a plus l'impression que le temps s'étale sur des semaines. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais c'est un sentiment assez étrange à la lecture, qui m'a cependant bien plu.
Même si j'ai aimé ce que j'ai lu, je n'ai néanmoins pas réussi à totalement entrer dans le livre, et je ne saurais même pas vous expliquer pourquoi. La plume de l'auteure est plus forte et plus incisive dans ce tome, et on voit l'évolution des personnages que l'on croise. On sent aussi qu'elle maîtrise parfaitement son univers, qu'elle le connaît du bout des doigts, mais je ne sais pas... je n'ai pas réussi à m'attacher comme je l'aurais voulu. Après, c'est un sentiment personnel, et comme je vous le disais, l'univers est tellement riche qu'il mérite d'être découvert par des fan de fantasy !
Au niveau des personnages, j'ai tout de même eu ma préférence pour Seiren. On peut dire que le tome 2 est beaucoup plus centré sur lui, ce qui n'est pas pour me déplaire. Dès le début du roman, il vit une situation difficile, et j'avais vraiment envie de le consoler et de le prendre dans mes bras. De ce côté-là, l'auteure a parfaitement réussi à jouer sur les sentiments et les faire exploser quand il le fallait. Enjan est tout de même moins présent que dans le tome 1, mais le revoir de temps en temps nous permet de mieux le comprendre et d'apprendre à encore plus le connaître.
Je disais aussi plus haut que je ne me souvenais de presque rien du roman. C'est vrai, sauf une scène en particulier que j'étais pressée de revoir, même si j'avais justement peur que l'auteure l'ait modifiée. Alors quand je suis arrivée à la fin, j'avais le sourire aux lèvres jusqu'au bout, tant j'étais contente qu'elle ait gardé cette idée ! Même si ça peut devenir un jeu dangereux, j'ai la chance de savoir comment tout ça va se terminer, sauf si Liane Silwen décide entre temps de changer !
Enjan est devenu roi, et après sa victoire contre Silhures, il doit se rendre en Mirîle pour y rencontrer les elfes. En parallèle, nous suivons aussi Seiren, resté à la capitale pour garder en sûreté cette dernière. Profitant de l'absence du roi, la capitale est attaquée et les fondements deviennent de plus en plus caduques. De là où il se trouve, Enjan apprend la mauvaise nouvelle : Corona, la capitale de son royaume, est tombée entre les mains d'Alyosha et de ses hommes. Il sait qu'il peut avoir confiance en son sergent et ami, mais il souhaite retourner à son royaume, pour protéger son peuple et se battre.
Le gros point fort de ce roman, c'est que les points de vue sont différents, mais toujours à la troisième personne du singulier. Nous suivons alternativement Seiren en pleine bataille et en pleine préservation de la Capitale, et Enjan, qui se sent démuni et qui veut aider, bien qu'il ne soit pas sur place. J'ai trouvé que ça apportait un certain rythme au récit, nous permettant ainsi de suivre l'un et l'autre dans leurs décisions.
Ce qui m'a aussi beaucoup plu, c'est que l'action principale se déroule sur un temps très court, environ une semaine. Ça apporte énormément de tension, de questionnements, de coups bas, d'alliances, de traîtrise et de suspense. Même si, a contrario, quand on lit ce second tome, on a plus l'impression que le temps s'étale sur des semaines. Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais c'est un sentiment assez étrange à la lecture, qui m'a cependant bien plu.
Même si j'ai aimé ce que j'ai lu, je n'ai néanmoins pas réussi à totalement entrer dans le livre, et je ne saurais même pas vous expliquer pourquoi. La plume de l'auteure est plus forte et plus incisive dans ce tome, et on voit l'évolution des personnages que l'on croise. On sent aussi qu'elle maîtrise parfaitement son univers, qu'elle le connaît du bout des doigts, mais je ne sais pas... je n'ai pas réussi à m'attacher comme je l'aurais voulu. Après, c'est un sentiment personnel, et comme je vous le disais, l'univers est tellement riche qu'il mérite d'être découvert par des fan de fantasy !
Au niveau des personnages, j'ai tout de même eu ma préférence pour Seiren. On peut dire que le tome 2 est beaucoup plus centré sur lui, ce qui n'est pas pour me déplaire. Dès le début du roman, il vit une situation difficile, et j'avais vraiment envie de le consoler et de le prendre dans mes bras. De ce côté-là, l'auteure a parfaitement réussi à jouer sur les sentiments et les faire exploser quand il le fallait. Enjan est tout de même moins présent que dans le tome 1, mais le revoir de temps en temps nous permet de mieux le comprendre et d'apprendre à encore plus le connaître.
Je disais aussi plus haut que je ne me souvenais de presque rien du roman. C'est vrai, sauf une scène en particulier que j'étais pressée de revoir, même si j'avais justement peur que l'auteure l'ait modifiée. Alors quand je suis arrivée à la fin, j'avais le sourire aux lèvres jusqu'au bout, tant j'étais contente qu'elle ait gardé cette idée ! Même si ça peut devenir un jeu dangereux, j'ai la chance de savoir comment tout ça va se terminer, sauf si Liane Silwen décide entre temps de changer !
En résumé, un tome centré sur à peine une semaine, où la capitale est assiéger par un bandit et ses acolytes. L'action et le suspense sont tellement présents, que nous avons l'impression que l'intrigue se passe sur plusieurs semaines, ce qui accentue bien le stress des batailles et des pertes. L'univers est très complet et complexe, et surtout, on sent que l'auteure le connaît par cœur. Même si je n'ai pas accroché autant que je le voudrais, j'étais contente de me replonger dans cette saga et de retrouver les personnages que j'ai connu il y a des années de cela.
* Je remercie Liane Silwen pour sa confiance ! *
* Je remercie Liane Silwen pour sa confiance ! *