Leth Marek, champion d'arènes, se retire invaincu, au sommet de sa gloire. Il a quarante ans, une belle fortune et deux jeunes fils qu'il connaît à peine. C'est à Kyrenia, la plus grande cité du monde, qu'il choisit de les élever, loin de la violence de sa terre natale. Lorsqu'il croise la route d'un culte itinérant, une étrange religion menée par un homme qui se dit prophète, l'ancien champion ignore que son voyage va basculer dans le chaos. À Kyrenia, où l'on adore la Grande Déesse et les puissants du Temple s'entredévorent, une guerre ouverte éclate entre deux cultes, réveillant les instincts les plus noirs. La hache de Leth Marek va de nouveau tremper dans le sang. Le plus violent des combats est celui que l'on mène contre ses propres croyances.
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ÉDITIONS srineo - 375 PAGES - Gabriel katz
Je vois déjà certains d'entre vous me dire : « ENFIN, tu commences cette super saga ! Il était temps ! » Oui, je sais, j'ai tardé, mais au moins, j'avais les deux tomes sous la main, pour être beaucoup moins frustrée que certains ! Eh bien cette lecture est... woh ! Pour vous dire, j'ai fini les deux tomes en deux jours... Oui, oui, j'ai vraiment eu du mal à décrocher, tellement j'étais prise dedans !
Leth Marek est un champion d'arènes, qui décide de prendre sa retraite anticipée à la suite d'un dernier combat gagné. En effet, il se retrouve avec ses deux fils adolescents qu'il ne connaît pas ou très peu. Pour cela, il décide d'aller s'installer à Kyrenia, la plus grande cité du monde, loin de la violence de sa terre natale. La rencontre sur sa route d'un culte itinérant va bouleverser sa vie, qui va sombrer dans le chaos. Difficile de penser que sa vie peut basculer du rêve au cauchemar en quelques secondes, non ?
Autant le dire : Gabriel Katz sait comment nous appâter dès le début. En effet, les premières pages m'avaient déjà conquise, et c'est pas peu dire ! La plupart du temps, il me faut une cinquantaine ou une centaine de pages pour entrer dans l'univers, mais pas avec Aeternia. Il nous fait entrer de suite dans le vif du sujet, et nous montre qu'il n'a aucune pitié avec ses personnages. En trente pages, vous devenez accro, et vous êtes certains de ne plus pouvoir décrocher de son histoire. Il faut croire que plus c'est horrible, plus les lecteurs aiment ! En tout cas, pour moi, ça a marché.
Leth Marek est un personnage pour qui on ne peut que avoir de la compassion t auquel on ne peut que s'attacher. Malgré ce qui lui arrive, il garde en quelque sorte le dessus. Lui, ce qu'il veut, c'est la vengeance. Hors de question de se laisser aller à la tristesse, il est un champion qui a combattu de grands hommes, impossible pour lui de pleurer sur son sort. Il est déterminé à se venger, et déterminé à y arriver. Ce dont il ne se doute pas, c'est que la guerre entre les deux cultes risque de prendre rapidement le dessus.
Évidemment, dans ce roman, nous ne suivons pas que ce personnage. Ce tome est fait de telle sorte que chaque chapitre correspond à un personnage en particulier. Je trouve cette idée très bonne, car ainsi, elle permet de mieux apprendre à connaître tous ceux que nous suivons, leurs habitudes, leur passé etc. Mais je dois dire que le personnage qui m'a le plus plu, le plus fait rire, c'est Desmeon. Il a beaucoup d'humour, est très bavard et très ironique. Il met un peu hors de lui Leth, au tout début, et c'est cette relation que j'ai adoré. Elle évolue au fil du temps, mais pas Desmeon, qui reste en quelque sorte un petit enfant, même si c'est un très bon guerrier. Oui, on peut le dire, c'est un peu mon coup de cœur personnage !
Pour ce qui est de l'intrigue, elle est très portée sur la religion, mais pas sur le bon côté. On voit vraiment les trahisons, ce que les gens sont prêts à faire pour monter en grade, pour mettre leurs intérêts en avant, pour gagner, tout simplement. J'ai trouvé que Gabriel Katz avait amené ça avec justesse et sans trop en faire. On se doute que dans chaque « caste », il y a toujours des gens à trahir, mais le décrire rend la chose encore plus réaliste. Pour une non croyante comme moi, je dois avouer que j'ai été prise totalement dans ce côté religion, ce qui prouve qu'avec une belle plume et des idées, on peut emmener n'importe qui à aimer un sujet difficile à aborder. S'il n'en fait pas trop, du côté des actions et de scènes barbares, il n'y va pas de mains mortes et n'hésite pas un seul instant à tuer. Il n'hésite pas à faire souffrir le lecteur qui s'attache peu à peu aux personnages. Ou alors retourner une situation, nous prouver que la trahison peut être partout sans qu'on s'y attende le moins du monde.
Ce qui me fait enclencher sur la fin. Cette fin. Mon Dieu, comme je comprends tous ces lecteurs qui étaient en colère, frustrés et choqués de devoir attendre un an pour la suite ! Eh bien je peux vous dire que j'étais très heureuse d'avoir la suite à portée de mains, tellement cette fin m'a retournée. Je ne sais même pas quoi vous dire sur cette fin à part... qu'elle est horrible, mais aussi un peu prévisible. Bah oui, quand on connaît le sadisme de l'auteur au fil des pages, on ne pouvait que s'attendre à une fin horrible, non ?
Leth Marek est un champion d'arènes, qui décide de prendre sa retraite anticipée à la suite d'un dernier combat gagné. En effet, il se retrouve avec ses deux fils adolescents qu'il ne connaît pas ou très peu. Pour cela, il décide d'aller s'installer à Kyrenia, la plus grande cité du monde, loin de la violence de sa terre natale. La rencontre sur sa route d'un culte itinérant va bouleverser sa vie, qui va sombrer dans le chaos. Difficile de penser que sa vie peut basculer du rêve au cauchemar en quelques secondes, non ?
Autant le dire : Gabriel Katz sait comment nous appâter dès le début. En effet, les premières pages m'avaient déjà conquise, et c'est pas peu dire ! La plupart du temps, il me faut une cinquantaine ou une centaine de pages pour entrer dans l'univers, mais pas avec Aeternia. Il nous fait entrer de suite dans le vif du sujet, et nous montre qu'il n'a aucune pitié avec ses personnages. En trente pages, vous devenez accro, et vous êtes certains de ne plus pouvoir décrocher de son histoire. Il faut croire que plus c'est horrible, plus les lecteurs aiment ! En tout cas, pour moi, ça a marché.
Leth Marek est un personnage pour qui on ne peut que avoir de la compassion t auquel on ne peut que s'attacher. Malgré ce qui lui arrive, il garde en quelque sorte le dessus. Lui, ce qu'il veut, c'est la vengeance. Hors de question de se laisser aller à la tristesse, il est un champion qui a combattu de grands hommes, impossible pour lui de pleurer sur son sort. Il est déterminé à se venger, et déterminé à y arriver. Ce dont il ne se doute pas, c'est que la guerre entre les deux cultes risque de prendre rapidement le dessus.
Évidemment, dans ce roman, nous ne suivons pas que ce personnage. Ce tome est fait de telle sorte que chaque chapitre correspond à un personnage en particulier. Je trouve cette idée très bonne, car ainsi, elle permet de mieux apprendre à connaître tous ceux que nous suivons, leurs habitudes, leur passé etc. Mais je dois dire que le personnage qui m'a le plus plu, le plus fait rire, c'est Desmeon. Il a beaucoup d'humour, est très bavard et très ironique. Il met un peu hors de lui Leth, au tout début, et c'est cette relation que j'ai adoré. Elle évolue au fil du temps, mais pas Desmeon, qui reste en quelque sorte un petit enfant, même si c'est un très bon guerrier. Oui, on peut le dire, c'est un peu mon coup de cœur personnage !
Pour ce qui est de l'intrigue, elle est très portée sur la religion, mais pas sur le bon côté. On voit vraiment les trahisons, ce que les gens sont prêts à faire pour monter en grade, pour mettre leurs intérêts en avant, pour gagner, tout simplement. J'ai trouvé que Gabriel Katz avait amené ça avec justesse et sans trop en faire. On se doute que dans chaque « caste », il y a toujours des gens à trahir, mais le décrire rend la chose encore plus réaliste. Pour une non croyante comme moi, je dois avouer que j'ai été prise totalement dans ce côté religion, ce qui prouve qu'avec une belle plume et des idées, on peut emmener n'importe qui à aimer un sujet difficile à aborder. S'il n'en fait pas trop, du côté des actions et de scènes barbares, il n'y va pas de mains mortes et n'hésite pas un seul instant à tuer. Il n'hésite pas à faire souffrir le lecteur qui s'attache peu à peu aux personnages. Ou alors retourner une situation, nous prouver que la trahison peut être partout sans qu'on s'y attende le moins du monde.
Ce qui me fait enclencher sur la fin. Cette fin. Mon Dieu, comme je comprends tous ces lecteurs qui étaient en colère, frustrés et choqués de devoir attendre un an pour la suite ! Eh bien je peux vous dire que j'étais très heureuse d'avoir la suite à portée de mains, tellement cette fin m'a retournée. Je ne sais même pas quoi vous dire sur cette fin à part... qu'elle est horrible, mais aussi un peu prévisible. Bah oui, quand on connaît le sadisme de l'auteur au fil des pages, on ne pouvait que s'attendre à une fin horrible, non ?
En résumé, un premier tome qui m'a tout simplement embarquée dans cet univers très bien travaillé. La plume de l'auteur est si incisive et si imagée, que quand vous lisez, vous avez l'impression d'être l'un des personnages qui suit les protagonistes comme leur ombre. Les personnages sont tous très bien travaillés, ils ont chacun leur caractère, mais surtout leurs objectifs. L'auteur n'hésite pas non plus à faire souffrir ses lecteurs, il va au bout des choses, et c'est ce qui rend cette lecture si addictive. En somme, je ne regrette absolument pas cette lecture, qui prend quand même pas mal aux tripes !
PAL imaginales : 15/34
C’est l’heure du duel décisif entre les deux camps qui s’entredéchirent pour la cité mère de Kyrenia. Deux champions vont s’affronter sur le sable de l’arène, un combat qui peut faire basculer le destin d’un peuple entier. Mais quelques heures à peine avant le coup de gong, le culte du Prophète a perdu son champion. Qui affrontera le Corbeau, redoutable gladiateur du Temple ?
Déchirée par les luttes de pouvoir, la plus grande cité du monde est au bord de la guerre civile. Le culte millénaire de la Grand déesse, menacé par celui d’Ochin qui se répand comme un raz-de-marée, n’a plus qu’un recours : la violence. Entre complots, combats et trahisons, chacun lutte pour sauver sa place et parfois sa vie… |
ÉDITIONS SRINEO - 390 PAGES - GABRIEL KATZ
À peine le premier tome terminé, que j'enchaînais avec le tome 2. Bah ouais, vu la fin offerte du 1, c'était obligé d'enchaîner ! Je voulais savoir, moi ! Et j'ai su... Et j'ai été frustrée. Et j'ai adoré. Et j'ai dévoré le livre. Un second volume que j'ai dévoré avec autant d'addiction que le tome 1. C'est vraiment un diptyque que je vous conseille fortement !
Après la fin et le retournement de situation du premier tome, nous retrouvons nos deux clans pour la bataille finale, entre les deux champions. Il est enfin l'heure de savoir qui va gagner. À côté de cela, Kyrénia est au bord de la guerre civile, déchirée entre deux cultes qui veulent chacun le pouvoir. Quel camp va gagner ? Quelles vont être les conséquences de cette guerre sans fin ? Les trahisons, les combats et les complots n'ont jamais été aussi sur le devant de la scène.
La première surprise pour moi, avec ce second tome, c'est qu'il est centré sur un autre personnage que Leth Marek. Mais même si ce dernier m'a beaucoup manqué, je dois dire que suivre Desmeon était vraiment très chouette. Vous le savez, ça été mon coup de cœur personnage du premier opus, alors le suivre afin d'en savoir un peu plus sur sa vie, ne pouvait que me plaire. Lui non plus n'a pas eu un passé très facile, et au fil des pages, nous apprenons à mieux le connaître et encore plus s'attacher à lui. Son humour et son sarcasme ne sont qu'en fait une façade qui cache quelque chose de plus sombre.
Tout comme le premier tome, celui-ci est addictif, et on veut savoir le fin mot de l'histoire, savoir ce qui va se passer mais surtout quel camp va gagner. Avec ce second opus, on apprend rapidement que les apparences peuvent être trompeuses. On ne fait plus confiance à personne (ou alors à très peu de gens), et comme Desmeon, on se méfie de tout. Parfois, mieux vaut être seul que mal accompagné ! L'intrigue est bien plus forte ici, et la religion est encore plus mise en avant. Mais pas le bon côté. Avec le premier tome, nous avions déjà un petit aperçu des dessous de ces deux cultes, ici, l'auteur a passé la vitesse supérieure, et on voit vraiment tous les dessous. Si certains sont honnêtes et veulent que la paix revienne, d'autres sont prêts à tout pour gagner. Le sang, les combats et les trahisons sont leur leitmotiv et nous ne pouvons rien faire pour cela. Nous sommes simples spectateurs, ce qui frustre énormément.
On voit le vrai visage de certains, ce qui peut vite être déplaisant. On a fait confiance, on s'est fait avoir. L'auteur a sa façon de nous montrer les trahisons, mais surtout sans nous mettre d'indices sous le nez. Et c'est ça que j'ai le plus aimé : me faire balader de A à Z tout le long de la série. J'aimerais tellement vous faire une description de chaque personnage que l'on rencontre, mais ce serait vous spoiler et vous gâcher la découverte, clairement. Juste, méfiez-vous de tout et tout le monde (ou presque!).
Comme je vous le disais plus haut, l'intrigue prend un nouvel envol avec ce second et dernier tome. On en apprend plus sur la définition du titre, et je peux vous dire que tout ça est bien glauque et inimaginable. En réalité, les cultes que défendent les adhérents se rapprochent très facilement de sectes. Un gourou, des personnes qui acceptent tout les yeux fermés, et vous avez votre secte en marche. C'est à la fois dérangeant, mais tellement bien décrit. Ce n'est peut-être que de la fiction, mais au-delà de ça, ça existe réellement à notre époque, et ça fait peur.
La plume de l'auteur est toujours aussi incisive et prenante. Ce que j'aime avec cette saga, c'est qu'il va au bout des choses, qu'il ose des actions que certains ne feraient pas. C'est ce qui rend sa saga aussi prenante, même si on en vient à détester (un peu) l'auteur. Tout comme la fin du premier tome, la fin du second est... inattendue et triste. J'en ai eu les larmes aux yeux, j'étais en colère de cette finalité, tout en me disant que c'était le plus logique à faire. Et pourtant, on finit par s'attacher, pour se voir arracher une partie de notre cœur.
Après la fin et le retournement de situation du premier tome, nous retrouvons nos deux clans pour la bataille finale, entre les deux champions. Il est enfin l'heure de savoir qui va gagner. À côté de cela, Kyrénia est au bord de la guerre civile, déchirée entre deux cultes qui veulent chacun le pouvoir. Quel camp va gagner ? Quelles vont être les conséquences de cette guerre sans fin ? Les trahisons, les combats et les complots n'ont jamais été aussi sur le devant de la scène.
La première surprise pour moi, avec ce second tome, c'est qu'il est centré sur un autre personnage que Leth Marek. Mais même si ce dernier m'a beaucoup manqué, je dois dire que suivre Desmeon était vraiment très chouette. Vous le savez, ça été mon coup de cœur personnage du premier opus, alors le suivre afin d'en savoir un peu plus sur sa vie, ne pouvait que me plaire. Lui non plus n'a pas eu un passé très facile, et au fil des pages, nous apprenons à mieux le connaître et encore plus s'attacher à lui. Son humour et son sarcasme ne sont qu'en fait une façade qui cache quelque chose de plus sombre.
Tout comme le premier tome, celui-ci est addictif, et on veut savoir le fin mot de l'histoire, savoir ce qui va se passer mais surtout quel camp va gagner. Avec ce second opus, on apprend rapidement que les apparences peuvent être trompeuses. On ne fait plus confiance à personne (ou alors à très peu de gens), et comme Desmeon, on se méfie de tout. Parfois, mieux vaut être seul que mal accompagné ! L'intrigue est bien plus forte ici, et la religion est encore plus mise en avant. Mais pas le bon côté. Avec le premier tome, nous avions déjà un petit aperçu des dessous de ces deux cultes, ici, l'auteur a passé la vitesse supérieure, et on voit vraiment tous les dessous. Si certains sont honnêtes et veulent que la paix revienne, d'autres sont prêts à tout pour gagner. Le sang, les combats et les trahisons sont leur leitmotiv et nous ne pouvons rien faire pour cela. Nous sommes simples spectateurs, ce qui frustre énormément.
On voit le vrai visage de certains, ce qui peut vite être déplaisant. On a fait confiance, on s'est fait avoir. L'auteur a sa façon de nous montrer les trahisons, mais surtout sans nous mettre d'indices sous le nez. Et c'est ça que j'ai le plus aimé : me faire balader de A à Z tout le long de la série. J'aimerais tellement vous faire une description de chaque personnage que l'on rencontre, mais ce serait vous spoiler et vous gâcher la découverte, clairement. Juste, méfiez-vous de tout et tout le monde (ou presque!).
Comme je vous le disais plus haut, l'intrigue prend un nouvel envol avec ce second et dernier tome. On en apprend plus sur la définition du titre, et je peux vous dire que tout ça est bien glauque et inimaginable. En réalité, les cultes que défendent les adhérents se rapprochent très facilement de sectes. Un gourou, des personnes qui acceptent tout les yeux fermés, et vous avez votre secte en marche. C'est à la fois dérangeant, mais tellement bien décrit. Ce n'est peut-être que de la fiction, mais au-delà de ça, ça existe réellement à notre époque, et ça fait peur.
La plume de l'auteur est toujours aussi incisive et prenante. Ce que j'aime avec cette saga, c'est qu'il va au bout des choses, qu'il ose des actions que certains ne feraient pas. C'est ce qui rend sa saga aussi prenante, même si on en vient à détester (un peu) l'auteur. Tout comme la fin du premier tome, la fin du second est... inattendue et triste. J'en ai eu les larmes aux yeux, j'étais en colère de cette finalité, tout en me disant que c'était le plus logique à faire. Et pourtant, on finit par s'attacher, pour se voir arracher une partie de notre cœur.
En résumé, un dernier tome qui clôt très bien ce diptyque, même si la fin est... cruelle. Desmeon est mis en avant, et c'est le point que j'ai préféré, car c'est un personnage que j'ai adoré découvrir et appris à connaître. L'intrigue devient plus sombre, plus sanglante, et les mensonges et trahisons sont encore plus présents. Vraiment, c'est une série que je vous conseille de toute urgence, surtout qu'elle est terminée ! Alors n'hésitez plus un seul instant !
PAL imaginales : 16/34