Dites adieu aux orques, aux elfes, aux dragons !
Aujourd’hui, vous partez pour Alamänder. Allez donc saluer Anquidiath, le demi-dieu enfoui sous la montagne, chatouiller les monstrueux poulpes de guerre, flâner parmi les épis du champ de blé carnivore ! Aurez-vous le cran de suivre Maek, jeune homme en quête d’une mythique école d’exécuteurs ? Serez-vous digne de devenir le disciple de Jonas, détective spécialisé dans les affaires criminelles magiques ? Si c’est le cas, préparez-vous à découvrir un monde où se côtoient humour, intrigues policières et créatures improbables. Un monde original et farfelu d’où vous ne reviendrez peut-être pas indemne. On vous aura prévenu. |
éditions de l'homme sans nom - 365 pages - alexis flamand
Tout comme tous les livres de chez HSN, ce dernier était aussi dans ma Wish-List depuis le début ! Et à peine reçu, à peine lu et dévoré ! (l’effet HSN, je dirai !) Il faut bien avouer aussi que la couverture est juste à tomber. Sur ordi, elle est vraiment belle mais en vrai… Je n’ai pas cessé de la lorgner pendant ma lecture, tellement j’en suis amoureuse. Et elle correspond énormément à l’univers qu’à dépeint l’auteur, alors bravo à Alexandre Dainche !
Il est vrai qu’à la première lecture du résumé, j’étais complètement perdue, ne sachant vraiment où j’allais atterrir. C’est le genre de résumé qui habituellement me fait fuir, car j’aime savoir où je mets les pieds. Mais… L’humour et le peu d’informations m’ont convaincue de tenter l’expérience (et les avis sur la blogo aussi !).
Dans ce premier tome, l’auteur pose les bases de sa saga, mais l’action est d’autant plus présente, ce qui fait que le récit devient très vite addictif et on tourne les pages sans vraiment s’en rendre compte. Quand je débute un livre, j’aime regarder le nombre de chapitres mais aussi leur longueur. Ici, plus on avance, plus ils sont longs, mais contrairement à d’habitude, je n’ai pas ressenti cette longueur et j’ai avalé les pages aussi vite qu’un gâteau (ouais, vive la comparaison !). On se rend vite compte à la lecture que ce tome nous présente deux points de vue, comme presque mentionné dans le résumé.
Tout d’abord Maek, un jeune garçon presque rejeté par sa famille et les habitants de son village. Ces derniers ont pour but de devenir paysans et souhaitent ainsi faire perdurer cela de génération en génération. Mais voilà, Maek est vite le mouton noir du village, car il n’aspire qu’à une chose : faire partie de l’élite des T’Sanks et rejoindre cette mythique école où les bases y sont enseignées. De ce fait, un soir, il prend la grande décision de quitter son village et sa famille pour partir à la conquête d’espaces plus grands et de cette fameuse école qui l’attend !
Et je peux vous dire qu’il va en baver ! Son voyage ne sera pas de tout repos et il va devoir combattre des adversaires bien plus forts que lui. Il se perdra souvent dans sa conscience, reviendra en arrière, mais ressortira toujours plus fort de tous ces problèmes qui le guettent. J’ai bien apprécié ce personnage, car malgré le jeune âge qu’il a, il sait ce qu’il veut. Il est conquérant, fier et n’abandonne pas son envie de découvrir cette école. Bien sûr, il a des moments de faiblesse, mais qui sont tout bonnement compréhensibles, vu ce qu’il vit chaque jour. Il est vrai que les passages avec lui peuvent être longs, étant donné qu’il est seul et que le narratif prend une énorme place dans le récit, mais malgré ce fait, comme je vous le disais, les chapitres passent vite.
Puis en second point de vue, nous retrouvons Jonas, Jon pour les intimes. Lui est un mage reclus dans une maison de campagne, en compagnie de son démon Retzel. Entre les deux, existe une grande histoire d’amour (oui, moi aussi j’ai droit de jouer de sarcasme dans ma chronique). En réalité, Jonas a du mal à supporter son collègue, de fait que ce dernier lui fait beaucoup de blagues, mais surtout des bêtises que supporte de moins en moins son maître. Par un coup du sort, Jonas devra quitter son petit lopin de Terre et se rendre dans la capitale, afin de sauver sa maison qu’il aime par-dessus et qu’il a promis de garder coûte que coûte.
Mais en arrivant sur place, il se rendra compte qu’il est loin d’avoir l’avantage sur certains. S’il veut récupérer sa maison et éviter qu’elle ne soit détruite, il devra mener une enquête sur la mort d’un personnage important. Pour cela, il devra user de sa magie et découvrir le meurtrier. Il sera aidé de son compagnon de voyage, Edrick, un allié fidèle et qui cache bien des secrets sur lui.
Tout comme Maek, j’ai aimé ce personnage. Sûr de lui, il sera vite mis à l’épreuve et se rendra compte qu’il peut tout aussi bien se faire manipuler en beauté. Il a un caractère fort, et la relation qu’il entretient avec son démon rend le récit vraiment palpitant et drôle. De surprise en surprise, il découvrira les secrets que cache si bien cette capitale. Va-t-il découvrir qui est le fameux meurtrier ? à vous de le découvrir en lisant le livre…
Même si ces deux personnages m’ont plu, celui pour qui j’ai eu un réel coup de cœur est Retzel. Jamais en reste d’idioties et de bêtises, il vit dans le sarcasme constant, ce qui exaspère au plus haut point ceux qu’il côtoie. Il est vrai que dans certains situations, son humour ne va pas de paire, mais… ça apporte quelque chose en plus au récit. On m’avait bien prévenue que je rirai, mais à ce point-là, non. D’ailleurs, ceux qui suivent ma page, ont pu profiter d’extraits du livre qui m’ont fait glousser à plusieurs reprises.
J’ai vraiment tout apprécié dans ce roman : l’intrigue, la magie, l’enquête. Même si pour cette dernière, j’ai ressenti quelques longueurs parfois, ça n’a pas enlevé le plaisir de la découverte mais surtout de poursuivre l’aventure. Si je devais choisir un seul chapitre pour lequel j’ai vraiment été plongée dedans, je dirai le 6. Pour plein de raisons que je ne citerai pas, pour vous laisser la chance de le découvrir par vous-même. L’auteur sait de quoi je veux parler, car en plus d’avoir un humour vraiment génial, il est aussi très proche de ses lecteurs et n’hésite pas à échanger avec eux.
La fin est d’autant plus frustrante pour moi, car on n’a pas toutes les réponses aux questions qu’on se pose et on veut en savoir plus ! Mais une fois arrivé à la dernière page, on se dit : « Quoi, déjà ? ». Et on veut irrémédiablement la suite. Et c’est dans ces moments-là qu’on se dit que le compte en banque ne suit pas toujours… Un autre point positif c’est la fin qui se termine sur une interview entre l’auteur et les personnages. Elle permet de détendre l’atmosphère mais surtout d’en vouloir plus (bah ouais, l’auteur sait attiser la curiosité…)
Il est vrai qu’à la première lecture du résumé, j’étais complètement perdue, ne sachant vraiment où j’allais atterrir. C’est le genre de résumé qui habituellement me fait fuir, car j’aime savoir où je mets les pieds. Mais… L’humour et le peu d’informations m’ont convaincue de tenter l’expérience (et les avis sur la blogo aussi !).
Dans ce premier tome, l’auteur pose les bases de sa saga, mais l’action est d’autant plus présente, ce qui fait que le récit devient très vite addictif et on tourne les pages sans vraiment s’en rendre compte. Quand je débute un livre, j’aime regarder le nombre de chapitres mais aussi leur longueur. Ici, plus on avance, plus ils sont longs, mais contrairement à d’habitude, je n’ai pas ressenti cette longueur et j’ai avalé les pages aussi vite qu’un gâteau (ouais, vive la comparaison !). On se rend vite compte à la lecture que ce tome nous présente deux points de vue, comme presque mentionné dans le résumé.
Tout d’abord Maek, un jeune garçon presque rejeté par sa famille et les habitants de son village. Ces derniers ont pour but de devenir paysans et souhaitent ainsi faire perdurer cela de génération en génération. Mais voilà, Maek est vite le mouton noir du village, car il n’aspire qu’à une chose : faire partie de l’élite des T’Sanks et rejoindre cette mythique école où les bases y sont enseignées. De ce fait, un soir, il prend la grande décision de quitter son village et sa famille pour partir à la conquête d’espaces plus grands et de cette fameuse école qui l’attend !
Et je peux vous dire qu’il va en baver ! Son voyage ne sera pas de tout repos et il va devoir combattre des adversaires bien plus forts que lui. Il se perdra souvent dans sa conscience, reviendra en arrière, mais ressortira toujours plus fort de tous ces problèmes qui le guettent. J’ai bien apprécié ce personnage, car malgré le jeune âge qu’il a, il sait ce qu’il veut. Il est conquérant, fier et n’abandonne pas son envie de découvrir cette école. Bien sûr, il a des moments de faiblesse, mais qui sont tout bonnement compréhensibles, vu ce qu’il vit chaque jour. Il est vrai que les passages avec lui peuvent être longs, étant donné qu’il est seul et que le narratif prend une énorme place dans le récit, mais malgré ce fait, comme je vous le disais, les chapitres passent vite.
Puis en second point de vue, nous retrouvons Jonas, Jon pour les intimes. Lui est un mage reclus dans une maison de campagne, en compagnie de son démon Retzel. Entre les deux, existe une grande histoire d’amour (oui, moi aussi j’ai droit de jouer de sarcasme dans ma chronique). En réalité, Jonas a du mal à supporter son collègue, de fait que ce dernier lui fait beaucoup de blagues, mais surtout des bêtises que supporte de moins en moins son maître. Par un coup du sort, Jonas devra quitter son petit lopin de Terre et se rendre dans la capitale, afin de sauver sa maison qu’il aime par-dessus et qu’il a promis de garder coûte que coûte.
Mais en arrivant sur place, il se rendra compte qu’il est loin d’avoir l’avantage sur certains. S’il veut récupérer sa maison et éviter qu’elle ne soit détruite, il devra mener une enquête sur la mort d’un personnage important. Pour cela, il devra user de sa magie et découvrir le meurtrier. Il sera aidé de son compagnon de voyage, Edrick, un allié fidèle et qui cache bien des secrets sur lui.
Tout comme Maek, j’ai aimé ce personnage. Sûr de lui, il sera vite mis à l’épreuve et se rendra compte qu’il peut tout aussi bien se faire manipuler en beauté. Il a un caractère fort, et la relation qu’il entretient avec son démon rend le récit vraiment palpitant et drôle. De surprise en surprise, il découvrira les secrets que cache si bien cette capitale. Va-t-il découvrir qui est le fameux meurtrier ? à vous de le découvrir en lisant le livre…
Même si ces deux personnages m’ont plu, celui pour qui j’ai eu un réel coup de cœur est Retzel. Jamais en reste d’idioties et de bêtises, il vit dans le sarcasme constant, ce qui exaspère au plus haut point ceux qu’il côtoie. Il est vrai que dans certains situations, son humour ne va pas de paire, mais… ça apporte quelque chose en plus au récit. On m’avait bien prévenue que je rirai, mais à ce point-là, non. D’ailleurs, ceux qui suivent ma page, ont pu profiter d’extraits du livre qui m’ont fait glousser à plusieurs reprises.
J’ai vraiment tout apprécié dans ce roman : l’intrigue, la magie, l’enquête. Même si pour cette dernière, j’ai ressenti quelques longueurs parfois, ça n’a pas enlevé le plaisir de la découverte mais surtout de poursuivre l’aventure. Si je devais choisir un seul chapitre pour lequel j’ai vraiment été plongée dedans, je dirai le 6. Pour plein de raisons que je ne citerai pas, pour vous laisser la chance de le découvrir par vous-même. L’auteur sait de quoi je veux parler, car en plus d’avoir un humour vraiment génial, il est aussi très proche de ses lecteurs et n’hésite pas à échanger avec eux.
La fin est d’autant plus frustrante pour moi, car on n’a pas toutes les réponses aux questions qu’on se pose et on veut en savoir plus ! Mais une fois arrivé à la dernière page, on se dit : « Quoi, déjà ? ». Et on veut irrémédiablement la suite. Et c’est dans ces moments-là qu’on se dit que le compte en banque ne suit pas toujours… Un autre point positif c’est la fin qui se termine sur une interview entre l’auteur et les personnages. Elle permet de détendre l’atmosphère mais surtout d’en vouloir plus (bah ouais, l’auteur sait attiser la curiosité…)
Bref, je crois que mes chroniques pour HSN sont vouées à être les plus longues à lire, mais il y a tellement de choses à dire ! Ce premier tome m’a conquise, je l’ai dévoré sans m’en rendre compte et j’ai comme un manque de ne pas avoir la suite et une frustration qu’il reste encore plein de questions en suspend. Une intrigue hautement menée, un univers atypique et très prenant. Des personnages attachants, des actions omniprésentes. Bref, pour moi une très belle découverte que je conseille à ceux qui veulent se lancer dans la fantasy, mais gorgée d’humour et de personnages atypiques ! Par Akir en couche-culotte, je veux la suite !
Les ores, les elfes, les dragons, vous croyez que c 'est ça la fantasy ? Partez donc pour Alamänder ! Toujours vivant ? Vous n'êtes pourtant pas au bout de vos peines.
La révolte gronde dans la capitale, la menace d'ennemis terrifiants surgis du passé se fait plus précise. Après avoir triomphé de l'énigme de Pallas, Jonas n'aura pas trop de la venue de Rachelle, mercenaire aussi capricieuse que redoutable, pour mettre fin aux agissements de son terrible adversaire. De son côté, Ninfell voit son maître disparaître. Livré à lui-même, il va bientôt devoir affronter la plus cruelle épreuve de son existence. Souhaitons qu'il en ressorte grandi pour la gloire de l'Ecole. Le deuxième tome d'Alamänder monte en puissance et en tension. Comme le premier ouvrage, celui-ci peut être à l'origine de désordres neurologiques irréversibles. Il est encore temps de reculer. |
ÉDITIONS DE L'HOMME SANS NOM - 316 PAGES - ALEXIS FLAMAND
Je vais être honnête, tout le long de ma lecture, je pensais que cette chronique sera simple à faire, que les mots en découleraient tout seuls, mais que neni ! La fin du roman est à coupé le souffle ! Mon cœur en a pris un sacré choc, toutes les idées que je m'étais faites sont tombées comme un simple fétu de paille. L'auteur a su me mener sur des chemins boueux et remplis de trous. Il a su me mener en bateau, tout simplement ! Et rien que pour ça, il mérite un grand bravo ! Plus je lis, plus j'arrive à deviner les choses et là... rien du tout, il m'a totalement surprise et choquée par les révélations !
Comme vous le savez, le premier tome avait été une excellente découverte, bourrée d'humour, de découvertes et d'un univers atypique mais non moins complexe et complet. Je l'avais dévoré, et je n'avais qu'une hâte : pouvoir me procurer la suite pour poursuivre les aventures de Jon, Maek et compagnie. Alors, quand j'ai enfin craqué (oui, je suis faible, je sais), et que j'ai reçu le tome 2, il ne m'a pas fallu longtemps pour le commencer !
J'étais ravie de retrouver les personnages, mais surtout mon petit chouchou d'amour (oui, à ce stade-là, on appelle un chat, un chat, hein!) : Retzel ! Même s'il est très peu présent dans ce tome-ci, l'auteur m'a rassurée en me disant qu'il reviendrait en fanfare dans le tome 3 (je crains le pire autant que je suis pressée de voir tout ça...). Mais pour le peu qu'il a été présent, ça n'a été que bonheur, crise de fou-rire et larmes aux yeux tant il est... unique en son genre. Même dans les situations les plus critiques, il a le don de vous faire rire et de vous détourner du pire (merci à l'auteur de l'inventer, vraiment!).
Mais pour combler cette absence, un nouveau personnage fait son entrée, et pas des moindres : Rachelle, une ancienne collègue de ce cher Jonas. Nous en avions déjà eu un aperçu dans le tome 1, mais très léger, où l'on avait juste parlé d'elle en une page ou par-ci, par-là. Mais là, elle entre vraiment dans le vif du sujet, devient l'un des personnages principaux et me plaît. Même si au début, vu le tableau qu'on en dépeignait dans le 1, j'en suis arrivée à la détester sans la connaître, mon avis a changé très rapidement. Bien qu'arrogante et sarcastique, elle est en fait très attachante par ses gestes et ses paroles. Elle devient un pion important dans cette aventure et on ne voit pas la suite de l'aventure sans elle.
Même si pour ce tome 2, les passages des T'Sanks sont plus discrets et moins présents, on en apprécie leur présence. Plus on avance, plus des révélations tombent, et plus on comprend le fonctionnement réel d'Alamänder et ce qui en découle. On se fait plein d'idées sur cette Ecole, et finalement, on se retrouve avec de nouvelles vérités et en en reste scotché.
Quant à Jonas, il est fidèle à lui-même, et même s'il prend du « grade » au fil de temps, il reste très humble et ne prend pas la grosse tête comme beaucoup le feraient. Il est vraiment un personnage attachant, et on a du mal à croire qu'il pourrait changer par la suite. Edrick est aussi un personnage que j'étais heureuse de retrouver. Le fidèle ami de Jonas nous en fait voir de toutes les couleurs, il cache bien des choses qui nous laisseront babas lors de la révélation. Les autres personnages sont tout autant intéressants mais je vous laisse les découvrir par vous-même !
Et l'intrigue, me direz-vous ! Eh bien... je dois dire que je ne sais pas trop comment enclencher cette partie. Bien sûr que je l'ai aimée, que mon cœur a fait les montagnes russes tout le long mais... (non, pas de mais négatif, oh!) si j'en dis trop, vous n'aurez pas la surprise de la découverte ! Sachez juste que nos personnages ne sont pas au bout de leurs surprises (oh non, loin de là!), qu'ils vont souffrir, devoir faire des choix pas toujours faciles à prendre et... découvrir des choses qui changeront leur façon de faire et de penser.
Et croyez-le ou non, mais ces CHOSES m'ont déboussolée, surprise, étonnée, choquée pour certaines. Oui, oui à ce point. (D'ailleurs, Alexis, je te demande pardon pour mes réactions à chaud en privé mais... tu m'as bien eue ! ^^). Les dernières pages sont empruntes de beaucoup de révélations mais du coup d'énormément de sentiments qui sont parfaitement dosés. Pour moi, cette fin est parfaite, rien est à changer, tout est authentique.
Oui, je l'avoue, la fin signe aussi le retour de mon chouchou Retzel et un retour... Ouah. Je crois que je n'ai jamais autant pleuré de rire qu'avec cette saga, ce retour, ce personnage. Encore une fois, l'auteur a su me surprendre par cet événement, je savais qu'il reviendrait, mais de cette manière... pas du tout, ce qui rend la chose encore meilleure et divine. Vous l'aurez compris, j'aime cette saga à un tel point que là je ne vous conseille pas de la lire, je vous L'OBLIGE ! OK, message passé ? Puis si jamais, plus bas je vous mets le lien de la boutique du site donc... vous savez ce qu'il vous reste à faire.
Comme vous le savez, le premier tome avait été une excellente découverte, bourrée d'humour, de découvertes et d'un univers atypique mais non moins complexe et complet. Je l'avais dévoré, et je n'avais qu'une hâte : pouvoir me procurer la suite pour poursuivre les aventures de Jon, Maek et compagnie. Alors, quand j'ai enfin craqué (oui, je suis faible, je sais), et que j'ai reçu le tome 2, il ne m'a pas fallu longtemps pour le commencer !
J'étais ravie de retrouver les personnages, mais surtout mon petit chouchou d'amour (oui, à ce stade-là, on appelle un chat, un chat, hein!) : Retzel ! Même s'il est très peu présent dans ce tome-ci, l'auteur m'a rassurée en me disant qu'il reviendrait en fanfare dans le tome 3 (je crains le pire autant que je suis pressée de voir tout ça...). Mais pour le peu qu'il a été présent, ça n'a été que bonheur, crise de fou-rire et larmes aux yeux tant il est... unique en son genre. Même dans les situations les plus critiques, il a le don de vous faire rire et de vous détourner du pire (merci à l'auteur de l'inventer, vraiment!).
Mais pour combler cette absence, un nouveau personnage fait son entrée, et pas des moindres : Rachelle, une ancienne collègue de ce cher Jonas. Nous en avions déjà eu un aperçu dans le tome 1, mais très léger, où l'on avait juste parlé d'elle en une page ou par-ci, par-là. Mais là, elle entre vraiment dans le vif du sujet, devient l'un des personnages principaux et me plaît. Même si au début, vu le tableau qu'on en dépeignait dans le 1, j'en suis arrivée à la détester sans la connaître, mon avis a changé très rapidement. Bien qu'arrogante et sarcastique, elle est en fait très attachante par ses gestes et ses paroles. Elle devient un pion important dans cette aventure et on ne voit pas la suite de l'aventure sans elle.
Même si pour ce tome 2, les passages des T'Sanks sont plus discrets et moins présents, on en apprécie leur présence. Plus on avance, plus des révélations tombent, et plus on comprend le fonctionnement réel d'Alamänder et ce qui en découle. On se fait plein d'idées sur cette Ecole, et finalement, on se retrouve avec de nouvelles vérités et en en reste scotché.
Quant à Jonas, il est fidèle à lui-même, et même s'il prend du « grade » au fil de temps, il reste très humble et ne prend pas la grosse tête comme beaucoup le feraient. Il est vraiment un personnage attachant, et on a du mal à croire qu'il pourrait changer par la suite. Edrick est aussi un personnage que j'étais heureuse de retrouver. Le fidèle ami de Jonas nous en fait voir de toutes les couleurs, il cache bien des choses qui nous laisseront babas lors de la révélation. Les autres personnages sont tout autant intéressants mais je vous laisse les découvrir par vous-même !
Et l'intrigue, me direz-vous ! Eh bien... je dois dire que je ne sais pas trop comment enclencher cette partie. Bien sûr que je l'ai aimée, que mon cœur a fait les montagnes russes tout le long mais... (non, pas de mais négatif, oh!) si j'en dis trop, vous n'aurez pas la surprise de la découverte ! Sachez juste que nos personnages ne sont pas au bout de leurs surprises (oh non, loin de là!), qu'ils vont souffrir, devoir faire des choix pas toujours faciles à prendre et... découvrir des choses qui changeront leur façon de faire et de penser.
Et croyez-le ou non, mais ces CHOSES m'ont déboussolée, surprise, étonnée, choquée pour certaines. Oui, oui à ce point. (D'ailleurs, Alexis, je te demande pardon pour mes réactions à chaud en privé mais... tu m'as bien eue ! ^^). Les dernières pages sont empruntes de beaucoup de révélations mais du coup d'énormément de sentiments qui sont parfaitement dosés. Pour moi, cette fin est parfaite, rien est à changer, tout est authentique.
Oui, je l'avoue, la fin signe aussi le retour de mon chouchou Retzel et un retour... Ouah. Je crois que je n'ai jamais autant pleuré de rire qu'avec cette saga, ce retour, ce personnage. Encore une fois, l'auteur a su me surprendre par cet événement, je savais qu'il reviendrait, mais de cette manière... pas du tout, ce qui rend la chose encore meilleure et divine. Vous l'aurez compris, j'aime cette saga à un tel point que là je ne vous conseille pas de la lire, je vous L'OBLIGE ! OK, message passé ? Puis si jamais, plus bas je vous mets le lien de la boutique du site donc... vous savez ce qu'il vous reste à faire.
Même si à plusieurs moments j'avais du mal à imaginer les lieux et où ils se trouvaient, j'ai passé un excellent moment, à tel point que j'ai, encore une fois, dévoré le contenu. Je vais bien sûr continuer l'aventure, mais avec une petite pause (mon cœur m'en demande une très gentiment, et il faut que je me remette de mes émotions, surtout que ma bînomette chérie m'a dit que je n'étais pas au bout de mes surprises...). Si avec ces deux avis je ne vous ai pas convaincus, je ne sais plus quoi faire pour vous dire que ce genre de fantasy est si rare que quand on le découvre c'est un bonheur sans nom. Bien que l'univers soit complexe et devienne de plus en plus noir, il n'empêche que c'est une bouffée de fraîcheur. Vous allez très vite me retrouver avec mon avis sur le tome 3, car je ne tiendrai pas longtemps avant de l'ouvrir ! Et je salue encore une fois le talent de Alexandre Dainche qui nous offre un plaisir des yeux immense.
Vous pensez tout savoir de la Fantasy ? Quelle erreur ! Partez donc pour Alamänder !
Encore vous ? Décidément, vous cherchez les ennuis. À bord du Locust, énorme vaisseau filant à travers le champ carnivore, Jon et ses compagnons sont engagés dans une course poursuite contre Vilo, le savant en bocaux. Sur leur route, les obstacles s’accumulent et risquent de changer à jamais la face d’Alamänder. En première ligne, les sinistres Xéols choisissent après toutes ces années de révéler leur vraie nature. Yamataëh, rival titanesque d’Anquidiath, décide lui aussi d’entrer dans la danse. Enfin, les Mehnzotains spéculent sur la fragilité du royaume et lancent leur puissance thaumaturgique à l’assaut de la capitale. |
Le tome 3 d’Alamänder voit l’horizon s’assombrir. Les enjeux se précisent, les héros malmenés par les forces en présence tentent de tirer leur épingle du jeu dans un univers original mêlant intrigues, action et créatures étranges, sans oublier une bonne dose d’humour.
Comme les précédents, le présent ouvrage peut être la cause de perturbations physiques et mentales. Ne venez pas vous plaindre ensuite.
Comme les précédents, le présent ouvrage peut être la cause de perturbations physiques et mentales. Ne venez pas vous plaindre ensuite.
ÉDITIONS DE L'HOMME SANS NOM - 347 PAGES - ALEXIS FLAMAND
Comme vous pouvez le constater, je n'ai pas attendu très longtemps avant de commencer ce tome 3. Bah ouais, quand on devient accro à une série on ne veut qu'une chose : la poursuivre afin de retrouver ce qui nous a charmés. Et encore une fois, Alexis Flamand a fait quelque chose d'énorme qui nous transporte dans un univers de plus en plus complexe.
Nous quittions Jon et compagnie sur une grosse révélation qui a fait basculer toutes nos idées et nos pensées. En tout cas pour moi, ça été le cas. J'ai donc repris cette lecture, en sachant d'avance que la suite me plairait car dans ce tome 3, je me doutais que l'action serait plus présente, ainsi que des informations données par l'auteur. Dans ce troisième opus, Jon et ses collègues se voient contraints de rejoindre le Locust, un improbable vaisseau, afin de rattraper Vilo, qui s'est enfuit de sa prison.
Vous vous doutez que ce voyage ne sera pas une partie de plaisir. Les Xéols choisissent ce moment précis pour sortir de leur cachette et montrer leurs vrais visages. Il est temps pour Jon et son équipe de sortir les armes et de mettre l'humour de côté, pour sauver leur pays.
Ce tome trois signe aussi le grand retour de mon petit chouchou : Retzel ! Il n'en rate jamais une, même si je trouve qu'il s'est un peu calmé depuis le tome 1. Je pense que lui aussi ressent ce côté oppressant qui s'agite de plus en plus. Je l'ai même aperçu sérieux, et je peux vous dire que venant de lui, c'est très, très bizarre !
Ici, vous ne verrez que très rarement l'extérieur, ce qui profite aux personnages pour parler politique d'Alamänder. Si parfois dans les romans je trouve que l'aspect politique peut vite soûler ou endormir, ici ça été tout le contraire ! Même si l'on connaissait un peu le fonctionnement du pays, on se rend vite compte que l'auteur ne nous a pas tout dévoiler. Il le fait tout en douceur, sans nous abrutir d'informations qui pourrait nous abattre. C'est ce que j'ai le plus apprécié de cet opus : l'action mêlée à la politique de ce monde.
Bien sûr, l'humour qui fait le charme du roman est toujours présent, mais à petite dose, pour laisser place aux soucis, aux actions, aux retournements de situation et aux vérités qui éclatent, encore et encore. Bon, je m'étais préparée à me prendre encore pire que le grand huit dans le visage, prévenue par ma bînome chérie et l'auteur lui-même mais... c'est un auteur sadique qui aime jouer avec les sentiments de ses lecteurs ! Et c'est ce qui fait que je l'aime d'autant plus : il arrive à me surprendre, me faire le détester, puis, la page d'après, me faire l'aimer de nouveau. De situations cocasses en situations cocasses, il parvient tout de même à rester simple et nous faire passer d'excellents moments.
Bon, je vous avoue que plusieurs fois j'ai fait des grimaces quand il décrit certaines scènes euh... choquantes, mais c'est ce qui fait un livre, tout ne peut pas être rose, c'est évident. Et sans tomber dans le gore et la lourdeur, il arrive à trouver les mots qu'il faut pour que l'on s'imagine comme il le souhaite ces fameux moments.
Tous les personnages sont tels qu'on s'attache obligatoirement à eux (sauf un, peut-être) qu'ils soient bons ou méchants. Et ça c'est quand même assez rare dans un livre, d'être triste de voir un méchant mourir, eh bien moi c'est arrivé, et je peux vous dire que ça fait bizarre. Même si j'ai détesté cette personne tout le long, je n'en ai pas moins apprécié, voire aimé sa présence. Ça peut paraître contradictoire, ça l'est, mais c'est ainsi. Alexis Flamand crée des personnages avec de caractères certes différents, mais des valeurs qui se rejoignent, ce qui les rend réels (à petite dose pour certains, quand même!)
Si la fin de ce tome 3 a fait couler quelques larmes, elles ont vite été taries par la postface, que je prends toujours autant de plaisir à retrouver. Il arrive à nous redonner le sourire et surtout, surtout, de nous frustrer de ne pas avoir la suite à portée de main !
Nous quittions Jon et compagnie sur une grosse révélation qui a fait basculer toutes nos idées et nos pensées. En tout cas pour moi, ça été le cas. J'ai donc repris cette lecture, en sachant d'avance que la suite me plairait car dans ce tome 3, je me doutais que l'action serait plus présente, ainsi que des informations données par l'auteur. Dans ce troisième opus, Jon et ses collègues se voient contraints de rejoindre le Locust, un improbable vaisseau, afin de rattraper Vilo, qui s'est enfuit de sa prison.
Vous vous doutez que ce voyage ne sera pas une partie de plaisir. Les Xéols choisissent ce moment précis pour sortir de leur cachette et montrer leurs vrais visages. Il est temps pour Jon et son équipe de sortir les armes et de mettre l'humour de côté, pour sauver leur pays.
Ce tome trois signe aussi le grand retour de mon petit chouchou : Retzel ! Il n'en rate jamais une, même si je trouve qu'il s'est un peu calmé depuis le tome 1. Je pense que lui aussi ressent ce côté oppressant qui s'agite de plus en plus. Je l'ai même aperçu sérieux, et je peux vous dire que venant de lui, c'est très, très bizarre !
Ici, vous ne verrez que très rarement l'extérieur, ce qui profite aux personnages pour parler politique d'Alamänder. Si parfois dans les romans je trouve que l'aspect politique peut vite soûler ou endormir, ici ça été tout le contraire ! Même si l'on connaissait un peu le fonctionnement du pays, on se rend vite compte que l'auteur ne nous a pas tout dévoiler. Il le fait tout en douceur, sans nous abrutir d'informations qui pourrait nous abattre. C'est ce que j'ai le plus apprécié de cet opus : l'action mêlée à la politique de ce monde.
Bien sûr, l'humour qui fait le charme du roman est toujours présent, mais à petite dose, pour laisser place aux soucis, aux actions, aux retournements de situation et aux vérités qui éclatent, encore et encore. Bon, je m'étais préparée à me prendre encore pire que le grand huit dans le visage, prévenue par ma bînome chérie et l'auteur lui-même mais... c'est un auteur sadique qui aime jouer avec les sentiments de ses lecteurs ! Et c'est ce qui fait que je l'aime d'autant plus : il arrive à me surprendre, me faire le détester, puis, la page d'après, me faire l'aimer de nouveau. De situations cocasses en situations cocasses, il parvient tout de même à rester simple et nous faire passer d'excellents moments.
Bon, je vous avoue que plusieurs fois j'ai fait des grimaces quand il décrit certaines scènes euh... choquantes, mais c'est ce qui fait un livre, tout ne peut pas être rose, c'est évident. Et sans tomber dans le gore et la lourdeur, il arrive à trouver les mots qu'il faut pour que l'on s'imagine comme il le souhaite ces fameux moments.
Tous les personnages sont tels qu'on s'attache obligatoirement à eux (sauf un, peut-être) qu'ils soient bons ou méchants. Et ça c'est quand même assez rare dans un livre, d'être triste de voir un méchant mourir, eh bien moi c'est arrivé, et je peux vous dire que ça fait bizarre. Même si j'ai détesté cette personne tout le long, je n'en ai pas moins apprécié, voire aimé sa présence. Ça peut paraître contradictoire, ça l'est, mais c'est ainsi. Alexis Flamand crée des personnages avec de caractères certes différents, mais des valeurs qui se rejoignent, ce qui les rend réels (à petite dose pour certains, quand même!)
Si la fin de ce tome 3 a fait couler quelques larmes, elles ont vite été taries par la postface, que je prends toujours autant de plaisir à retrouver. Il arrive à nous redonner le sourire et surtout, surtout, de nous frustrer de ne pas avoir la suite à portée de main !
En résumé, un tome 3 que j'ai bien apprécié tout autant que dévoré. Même si pour le moment, le tome 2 reste mon préféré (alors que mon chouchou est absent, allez comprendre), avec cette suite, mon cœur a encore fait des loopings vers la fin, et j'ai ri, été choquée, surprise. J'ai même aussi verser ma petite larme à la fin, ce qui peut être présenté comme une réussite ! Je vous conseille toujours autant cette saga, rien que pour le mélange incongru qu'elle propose : fantasy, humour, univers atypique, personnages uniques ! Ah et pis le plus important : un auteur très à l'écoute de ses lecteurs ! Et je n'ai que deux mots à dire pour conclure cette chronique : Marionnettes, action ! (Alexis, ça c'est pour toi hihi)
* Je remercie Céline Landressie et Alexis de m'avoir fait confiance et permis de lire ce troisième tome ♥ *
* Je remercie Céline Landressie et Alexis de m'avoir fait confiance et permis de lire ce troisième tome ♥ *
Suite à leurs mésaventures à bord du Locust, nos héros arrivent à YArkhan, où Jon se voit confier l’affaire criminelle la plus difficile de sa carrière. Il aura besoin de toute son énergie et de l’aide de ses alliés pour vaincre des criminels de génie et contrer les nombreuses menaces qui guettent la capitale de la magie : intrigues humaines et divines, coups de théâtre, trahisons et évasion rocambolesque, sans oublier l’arrivée du sinistre Lan Maek et celle du Champ qui compte bien profiter du chaos naissant.
Les enjeux du cycle accèdent à une autre dimension avec le tome 4 d’Alamänder, qui ouvre de nouveaux horizons, bouleverse les perspectives et multiplie les révélations fracassantes. Si vous êtes venu à bout des tomes précédents, réfléchissez à deux fois avant d’exposer votre encéphale à celui-ci. Ne dites pas que nous ne vous avons pas prévenu. |
ÉDITIONS DE L'HOMME SANS NOM - 367 PAGES - ALEXIS FLAMAND
Enfin, ENFIN, je lis ce tome 4 ! Je ne sais absolument pas pourquoi je l'ai autant fait attendre dans ma PAL, parce que pour ceux qui me connaissent bien, vous savez à quel point j'aime cette saga. Bon, j'avoue, j'ai un peu honte de moi ! En tout cas, encore une fois, j'ai passé un excellent moment de lecture et mon cœur a fait les montagnes russes avec tous les bouleversements que nous a offert l'auteur ! Et un petit clin d’œil à ma binôme qui m'a permis de le sortir, grâce à notre challenge ! :p
Suite à leurs mésaventures au bord du Locust, nos héros arrivent à Yarkhan, où Jon se voit confier sa plus difficile enquête, où il se rendra compte que se fier aux gens n'est pas toujours la meilleure chose à faire. Entre révélation, trahison, enquête et action, Jon ne saura plus trop où donner de la tête, d'autant plus que le retour de Lan Maek risque d'en surprendre plus d'un et apporter des réponse auxquelles ils ne s'attendaient sans doute pas.
Je sais, je sais... c'est un résumé tellement court pour tout ce que l'on vit au fil du roman et pourtant ! Je ne peux pas vous en dire plus, car ce tome 4 est LE tome de révélation. LE tome qui abat toutes nos cartes. LE tome qui détruit notre petit cœur de lecteur qui a eu le malheur de s'attacher à des personnages. (Non, non, vous n'en saurez pas plus. La seule chose que je peux vous dire c'est : « Ne vous fiez pas aux apparences »!). Je crois qu'avec ce tome 4, je n'ai jamais autant aimé et détesté l'auteur à la fois. Les révélations vont vous mettre à terre tant elles sont inattendues. Et je vous jure, même ceux qui ont du nez ne penseront JAMAIS à ce que compte nous dévoiler Alexis Flamand.
Comme je vous le disais plus haut, mon cœur a fait des loopings insensés et je n'ai jamais été aussi dégoûtée de m'être autant trompée ! Et a contrario, j'ai adoré être autant contrariée (même si... xD), parce que ça prouve aussi la qualité et la performance de cet auteur qui mérite d'être connu et découvert par tout le monde ! Je ne dis pas ça parce que c'est mon ami (parce qu'en ce moment, je lui en veux terriblement du choix qu'il a fait!), mais parce que vraiment, c'est un auteur incontournable de fantasy, avec des retournements de situation en veux-tu en voilà et beaucoup, beaucoup d'humour.
D'ailleurs, nous retrouvons enfin Retzel, ce petit diablotin qui n'a pas la langue dans sa poche et qui a toujours des idées plus farfelues les unes que les autres pour mettre à bout ses compagnons, mais surtout Jon ! Bien sûr, il y a toute une panoplie de personnages, avec des nouveaux qui apportent de la fraîcheur (mention pour Lia) et d'autres des moments assez cocasses dans certaines situations.
Honnêtement, j'aimerais tellement vous en dire plus sur ce quatrième tome, vous décrire tout ce que j'ai ressenti aux moments les plus importants, la peur que j'ai ressenti pour certains personnages, ou encore la grosse déception quant aux révélations qui ont brisé mon cœur, mais ce serait vraiment dommage de vous gâcher la surprise. Je sais que malheureusement ils ne sont plus disponibles, mais je ne garde pas espoir de les revoir un jour dans les rayons d'une librairie, là où est assurément leur place. Donc si jamais des maisons d'édition passent par là et prennent le temps de lire jusqu'ici, ne passez vraiment pas à côté de cette saga merveilleuse. Pour être plus claire, avec ce tome 4, il n'y a pas un seul moment où l'on peut respirer. Une fois dans le roman, vous ne pourrez pas décrocher !
Suite à leurs mésaventures au bord du Locust, nos héros arrivent à Yarkhan, où Jon se voit confier sa plus difficile enquête, où il se rendra compte que se fier aux gens n'est pas toujours la meilleure chose à faire. Entre révélation, trahison, enquête et action, Jon ne saura plus trop où donner de la tête, d'autant plus que le retour de Lan Maek risque d'en surprendre plus d'un et apporter des réponse auxquelles ils ne s'attendaient sans doute pas.
Je sais, je sais... c'est un résumé tellement court pour tout ce que l'on vit au fil du roman et pourtant ! Je ne peux pas vous en dire plus, car ce tome 4 est LE tome de révélation. LE tome qui abat toutes nos cartes. LE tome qui détruit notre petit cœur de lecteur qui a eu le malheur de s'attacher à des personnages. (Non, non, vous n'en saurez pas plus. La seule chose que je peux vous dire c'est : « Ne vous fiez pas aux apparences »!). Je crois qu'avec ce tome 4, je n'ai jamais autant aimé et détesté l'auteur à la fois. Les révélations vont vous mettre à terre tant elles sont inattendues. Et je vous jure, même ceux qui ont du nez ne penseront JAMAIS à ce que compte nous dévoiler Alexis Flamand.
Comme je vous le disais plus haut, mon cœur a fait des loopings insensés et je n'ai jamais été aussi dégoûtée de m'être autant trompée ! Et a contrario, j'ai adoré être autant contrariée (même si... xD), parce que ça prouve aussi la qualité et la performance de cet auteur qui mérite d'être connu et découvert par tout le monde ! Je ne dis pas ça parce que c'est mon ami (parce qu'en ce moment, je lui en veux terriblement du choix qu'il a fait!), mais parce que vraiment, c'est un auteur incontournable de fantasy, avec des retournements de situation en veux-tu en voilà et beaucoup, beaucoup d'humour.
D'ailleurs, nous retrouvons enfin Retzel, ce petit diablotin qui n'a pas la langue dans sa poche et qui a toujours des idées plus farfelues les unes que les autres pour mettre à bout ses compagnons, mais surtout Jon ! Bien sûr, il y a toute une panoplie de personnages, avec des nouveaux qui apportent de la fraîcheur (mention pour Lia) et d'autres des moments assez cocasses dans certaines situations.
Honnêtement, j'aimerais tellement vous en dire plus sur ce quatrième tome, vous décrire tout ce que j'ai ressenti aux moments les plus importants, la peur que j'ai ressenti pour certains personnages, ou encore la grosse déception quant aux révélations qui ont brisé mon cœur, mais ce serait vraiment dommage de vous gâcher la surprise. Je sais que malheureusement ils ne sont plus disponibles, mais je ne garde pas espoir de les revoir un jour dans les rayons d'une librairie, là où est assurément leur place. Donc si jamais des maisons d'édition passent par là et prennent le temps de lire jusqu'ici, ne passez vraiment pas à côté de cette saga merveilleuse. Pour être plus claire, avec ce tome 4, il n'y a pas un seul moment où l'on peut respirer. Une fois dans le roman, vous ne pourrez pas décrocher !
En résumé, un tome 4 énorme, avec des révélations auxquelles on ne s'attend absolument pas, des trahisons, de nouveaux personnages et une intrigue qui tient en haleine. Avec ce tome, vous aller apprendre à détester l'auteur et adorer ça ! Une saga que je vous conseille vraiment, vraiment. Je croise les doigts pour qu'elle trouve une maison d'édition qui lui permettra une nouvelle vie !