Lorsque Gardick se voit confier par hasard une étrange et fascinante boule noire, il est loin de se douter que cet évènement va l’entraîner dans un périple plein de rebondissements et de dangers.
Convoité par d’inquiétants personnages, l’objet mystérieux révèle bientôt sa véritable nature et il réalise l’incroyable mission dont il se trouve investi. Avec l’aide de ses amis, il se lance dans une aventure périlleuse et fait la rencontre d’un peuple aux ressources insoupçonnées, tandis que des adversaires plus puissants encore se dressent en travers de sa route. Au terme d’une quête où magie et camaraderie ne sont jamais très loin, Gardick et ses compagnons parviendront-ils à instaurer un nouvel Age d’Or pour les peuples des Terres d’Ajna ? Et si tout dépendait de ces étranges créatures dont seules parlent les Anciennes Légendes ? |
Valentina éditions - 363 pages - pierre duval
Alors, je ne vais pas faire durer le suspense plus longtemps : je n'ai pas du tout aimé. J'ai pourtant essayé ! Je me suis dis que le temps de poser les idées, raconter l'histoire des peuples et tout ça prenait du temps et c'est normal. SAUF que c'est tout le long pareil.
Moi qui suis fervente de fantasy je m'attendais à quelque chose de... Douloureux à lire, remplit d'action, de sang, de combats en tout genre. Et non. Rien de tout ça, bien au contraire. Tout le long de l'histoire, on suit le personnage de Gardick qui fait son petit train-train quotidien voguant entre deux villes : Rama, sa ville et Trop la plus grande ville. Tous les jours, nous le voyons faire presque les mêmes gestes et je dois dire que s'en devient rasant et même gênant.
« l'action » met du temps à arriver, si tant est nous pouvons dire ça. Lorsqu'il reçoit cette mystérieuse boule noire on se dit « youpi, le périple va commencer, les combats vont s'enclencher et l'action suivra ». Eh bien non, il rentre tranquillement chez lui pour... vaquer à ses occupations. Comme si être détenteur de cette petite « boule noire », comme il l'appelle, ne lui faisait rien.
Le résumé nous promettait toutes sortes de découvertes et franchement j'ai été déçue. Déçue par ma lecture, par les longueurs des descriptions (oui, je sais, en fantasy c'est ça qui prime mais là...), des dialogues qui des fois n'étaient là que pour « combler » le manque d'action et des chapitres d'une longueur ! Beaucoup trop longs pour moi. Enfin après, ça n'engage que moi mais quand j'ai un livre j'aime bien que les chapitres soient entre les deux. Ni trop courts, sinon bah on a l'impression que ça va trop vite, ni trop long sinon ça traîne.
Parfois, tellement les explications étaient trop complètes j'arrivais à survoler des passages sans m'en rendre compte et « lire sans lire ». Et j'avoue que c'est assez frustrant lorsqu'on s'attend à quelque chose de mieux.
La chose qui m'a encore beaucoup gênée ce sont les noms. Ils finissent tous par « ick » et j'avoue que je me perdais souvent à me demander « mais c'est qui lui déjà ? » car on peut très bien donner des nom avec la même terminaison, mais des noms qui se ressemblent presque tous... on finit par s'y perdre vraiment et ça gâche la lecture !
Vient ensuite l'arrivée d'un être tout mignon appelé Yaouvi. J'avoue qu'il m'a permis d'alléger les tensions que j'avais pendant la lecture et je me suis vite attachée à cet animal. Jusqu'à son éclosion, je n'avais qu'une peur : que se soit un dragon. Vu comment l'auteur décrivait sa façon d'éclore j'ai pensé tout de suite à Eragon et je me suis dit « tout mais pas ça ». Pas que je n'ai pas aimé cette saga, bien au contraire ! Mais justement ça aurait donné l'impression qu'il n'avait pas assez d'imagination et qu'il copiait le genre de Christopher Paolini et j'aurais moyennement apprécié.
Bien, je crois que niveau points négatifs j'en ai dis assez non ? Passons aux quelques points positifs (bah oui il y en a quand même, je ne suis non plus une sadique qui ne pointe que le mauvais!)
Une écriture fluide, qui permet une bonne lecture. Ensuite, l'histoire que l'auteur a inventée est tout même intéressante. Des peuples qui luttent pour que le monde soit juste et une histoire de magie vieille de plusieurs centaines d'années. Justement, de ce côté-là, je pense qu'il aurait pu approfondir un peu plus, je pense que ça aurait été bien. Bon, pas tout donner en un seul chapitre, mais éparpiller tout au long de la lecture.
Moi qui suis fervente de fantasy je m'attendais à quelque chose de... Douloureux à lire, remplit d'action, de sang, de combats en tout genre. Et non. Rien de tout ça, bien au contraire. Tout le long de l'histoire, on suit le personnage de Gardick qui fait son petit train-train quotidien voguant entre deux villes : Rama, sa ville et Trop la plus grande ville. Tous les jours, nous le voyons faire presque les mêmes gestes et je dois dire que s'en devient rasant et même gênant.
« l'action » met du temps à arriver, si tant est nous pouvons dire ça. Lorsqu'il reçoit cette mystérieuse boule noire on se dit « youpi, le périple va commencer, les combats vont s'enclencher et l'action suivra ». Eh bien non, il rentre tranquillement chez lui pour... vaquer à ses occupations. Comme si être détenteur de cette petite « boule noire », comme il l'appelle, ne lui faisait rien.
Le résumé nous promettait toutes sortes de découvertes et franchement j'ai été déçue. Déçue par ma lecture, par les longueurs des descriptions (oui, je sais, en fantasy c'est ça qui prime mais là...), des dialogues qui des fois n'étaient là que pour « combler » le manque d'action et des chapitres d'une longueur ! Beaucoup trop longs pour moi. Enfin après, ça n'engage que moi mais quand j'ai un livre j'aime bien que les chapitres soient entre les deux. Ni trop courts, sinon bah on a l'impression que ça va trop vite, ni trop long sinon ça traîne.
Parfois, tellement les explications étaient trop complètes j'arrivais à survoler des passages sans m'en rendre compte et « lire sans lire ». Et j'avoue que c'est assez frustrant lorsqu'on s'attend à quelque chose de mieux.
La chose qui m'a encore beaucoup gênée ce sont les noms. Ils finissent tous par « ick » et j'avoue que je me perdais souvent à me demander « mais c'est qui lui déjà ? » car on peut très bien donner des nom avec la même terminaison, mais des noms qui se ressemblent presque tous... on finit par s'y perdre vraiment et ça gâche la lecture !
Vient ensuite l'arrivée d'un être tout mignon appelé Yaouvi. J'avoue qu'il m'a permis d'alléger les tensions que j'avais pendant la lecture et je me suis vite attachée à cet animal. Jusqu'à son éclosion, je n'avais qu'une peur : que se soit un dragon. Vu comment l'auteur décrivait sa façon d'éclore j'ai pensé tout de suite à Eragon et je me suis dit « tout mais pas ça ». Pas que je n'ai pas aimé cette saga, bien au contraire ! Mais justement ça aurait donné l'impression qu'il n'avait pas assez d'imagination et qu'il copiait le genre de Christopher Paolini et j'aurais moyennement apprécié.
Bien, je crois que niveau points négatifs j'en ai dis assez non ? Passons aux quelques points positifs (bah oui il y en a quand même, je ne suis non plus une sadique qui ne pointe que le mauvais!)
Une écriture fluide, qui permet une bonne lecture. Ensuite, l'histoire que l'auteur a inventée est tout même intéressante. Des peuples qui luttent pour que le monde soit juste et une histoire de magie vieille de plusieurs centaines d'années. Justement, de ce côté-là, je pense qu'il aurait pu approfondir un peu plus, je pense que ça aurait été bien. Bon, pas tout donner en un seul chapitre, mais éparpiller tout au long de la lecture.
En bref, une histoire qui ne m'a pas embarquée dans son monde, sa fantasy et sa magie. Trop de longueurs, pas assez d'action. Ce qui ne vous empêche pas d'essayer de le lire, peut-être qu'à vous il vous plaira.
[Lecture abandonnée à 264 pages]
[Lecture abandonnée à 264 pages]