Enza Vergara est l’ennemi public numéro 1 des vampires. Pour cause, elle est la dernière nymphe de New York. Alors qu’elle se pensait encore à l’abri des agents tueurs de nymphes du pays, elle se retrouve au beau milieu de la traque la plus importante du siècle. Une lutte sans merci s’engage alors entre Enza et l’agent tueur engagé pour lui arracher les ailes et la réduire en cendres, la menant tout droit au sein d’un conflit aussi vieux que la vie elle-même. Pourtant, pour survivre, Enza n’a d’autre choix que de révéler au monde les pouvoirs ténébreux que les nymphes recèlent… À la nuit tombée, au fond de ruelles sombres et sordides, ce ne sont plus les vampires qui font la loi… Mais les nymphes.
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Rebelle Editions - 292 pages (numérique) - Marjorie Burbaud
Comme beaucoup des livres de chez Rebelle, ce sont les couvertures qui m'attirent l’œil en premier. Et cette couverture n'y a pas échappé ! J'ai tout de suite adoré l'effet qu'elle fait ressortir. Et puis le sujet des nymphes m'a convaincue de tenter l'expérience. Et je ne regrette absolument pas, j'ai vraiment adoré cette lecture, et il me tard déjà de pouvoir découvrir la suite !
Enza Vergara est l'ennemi public n°1 des vampires, et pour cause : elle est la dernière nymphe de New York. En effet, depuis des années, les vampires ont pris le pouvoir sur Terre, et ont en horreur les nymphes, qui, la nuit, ont toujours le dessus sur eux. Un regard et ces gens aux dents longues sont subjugués par la beauté de leurs ennemies. Leur souffle de vie est important pour les les nymphes survivent, et pour Enza, le danger n'a jamais été aussi proche, surtout depuis l'arrivée du meilleur tueur de nymphes : Eidon Callaghan. Il est prêt à tout pour la débusquer, mais elle, est-elle prête à se battre bec et ongles pour s'en sortir ?
Pour le coup, j'ai accroché dès les premières pages à ce roman. Pourquoi ? Parce que j'ai immédiatement vu que l'auteure avait beaucoup d'imagination, mais surtout qu'elle avait un peu réinventé le mythes des vampires. Vous le savez, cela fait un moment que je fuis comme la peste les histoires de vampires, mais ici, tout est différent. Exit, les vampires beaux à se damner, riches et gentils. Et bonjour les vampires normaux avec des défauts, méchants et surtout qui n'ont aucun remord à faire souffrir. Et mon Dieu, que ça fait du bien ! Parce qu'il y en avait marre des vampires gentils et qui brillent au soleil.
Et c'est bien cela le gros point fort du roman : l'auteure a osé revenir aux bases des vrais vampires sans pitié et qui ne sont pas forcément d'une beauté indécente. En plus de cela, elle mélange ce mythe avec les nymphes, ce qui fait un cocktail détonnant et qui fonctionne merveilleusement bien pour moi. Les personnages ont chacun leur personnalité, ce qui n’empêche pas que pour certains, ils se complètent très bien. Mais au-delà de ça, j’ai trouvé que leur psychologie était vraiment poussée et intrusive. Et c'est aussi un excellent point.
En effet, Enza sait ce qu'elle est et sait aussi qu'elle doit faire attention à ce qu’elle fait ou dit. Les nymphes étant devenues l’ennemi public de tous, elle doit vraiment être suspicieuse de tout et ne faire confiance à personne. Heureusement qu’elle peut compter sur sa meilleure amie et le frère de celle-ci. Étant assez solitaire, elle n'a que leurs épaules pour se reposer et essayer de penser à autre chose. Mais évidemment, le Destin n'est pas de son côté, et dès qu’elle va croiser la route d'Eidon, tout va s'intensifier pour elle et tout va partir en vrille. Car Eidon n'est pas prêt à la laisser tomber. Il sent qu’elle cache quelque chose et il veut découvrir quoi.
Eidon est quelqu’un d'assez spécial. Car à des moments, on s’attache beaucoup à lui, et quelques lignes plus loin, on le déteste. Certes, il est un vampire et il voue une haine monstrueuse envers les nymphes, mais à côté de ça, il a une psychologie assez spéciale qui fait qu’on s’attache a lui. Même s'il paraît dur au premier abord, sa carapace se fend de plus en plus et on découvre une toute autre personne.
L'autre point positif et pas des moindres, c'est que l'auteure a découpé les chapitres sous deux points de vue : celui d'Enza et celui d'Eidon. Ne m'y attendant pas du tout, j’avoue avoir été agréablement surprise. Car ainsi, le récit apporte une nouvelle dimension qui n'est pas pour nous déplaire, car on entre ainsi dans l’intimité de nos deux ennemis et apprenons à les connaître plus rapidement.
Concernant l’intrigue que puis-je vous dire à part que vous n’êtes pas au bout de vos surprises ! Ouh non ! L’auteure nous promet de beaux retournements de situation, des révélations inattendues, des secrets dévoilés et des surprises sur de nombreux personnages. Tout cela avec une plume à la fois enchanteresse et intrusive.
Enza Vergara est l'ennemi public n°1 des vampires, et pour cause : elle est la dernière nymphe de New York. En effet, depuis des années, les vampires ont pris le pouvoir sur Terre, et ont en horreur les nymphes, qui, la nuit, ont toujours le dessus sur eux. Un regard et ces gens aux dents longues sont subjugués par la beauté de leurs ennemies. Leur souffle de vie est important pour les les nymphes survivent, et pour Enza, le danger n'a jamais été aussi proche, surtout depuis l'arrivée du meilleur tueur de nymphes : Eidon Callaghan. Il est prêt à tout pour la débusquer, mais elle, est-elle prête à se battre bec et ongles pour s'en sortir ?
Pour le coup, j'ai accroché dès les premières pages à ce roman. Pourquoi ? Parce que j'ai immédiatement vu que l'auteure avait beaucoup d'imagination, mais surtout qu'elle avait un peu réinventé le mythes des vampires. Vous le savez, cela fait un moment que je fuis comme la peste les histoires de vampires, mais ici, tout est différent. Exit, les vampires beaux à se damner, riches et gentils. Et bonjour les vampires normaux avec des défauts, méchants et surtout qui n'ont aucun remord à faire souffrir. Et mon Dieu, que ça fait du bien ! Parce qu'il y en avait marre des vampires gentils et qui brillent au soleil.
Et c'est bien cela le gros point fort du roman : l'auteure a osé revenir aux bases des vrais vampires sans pitié et qui ne sont pas forcément d'une beauté indécente. En plus de cela, elle mélange ce mythe avec les nymphes, ce qui fait un cocktail détonnant et qui fonctionne merveilleusement bien pour moi. Les personnages ont chacun leur personnalité, ce qui n’empêche pas que pour certains, ils se complètent très bien. Mais au-delà de ça, j’ai trouvé que leur psychologie était vraiment poussée et intrusive. Et c'est aussi un excellent point.
En effet, Enza sait ce qu'elle est et sait aussi qu'elle doit faire attention à ce qu’elle fait ou dit. Les nymphes étant devenues l’ennemi public de tous, elle doit vraiment être suspicieuse de tout et ne faire confiance à personne. Heureusement qu’elle peut compter sur sa meilleure amie et le frère de celle-ci. Étant assez solitaire, elle n'a que leurs épaules pour se reposer et essayer de penser à autre chose. Mais évidemment, le Destin n'est pas de son côté, et dès qu’elle va croiser la route d'Eidon, tout va s'intensifier pour elle et tout va partir en vrille. Car Eidon n'est pas prêt à la laisser tomber. Il sent qu’elle cache quelque chose et il veut découvrir quoi.
Eidon est quelqu’un d'assez spécial. Car à des moments, on s’attache beaucoup à lui, et quelques lignes plus loin, on le déteste. Certes, il est un vampire et il voue une haine monstrueuse envers les nymphes, mais à côté de ça, il a une psychologie assez spéciale qui fait qu’on s’attache a lui. Même s'il paraît dur au premier abord, sa carapace se fend de plus en plus et on découvre une toute autre personne.
L'autre point positif et pas des moindres, c'est que l'auteure a découpé les chapitres sous deux points de vue : celui d'Enza et celui d'Eidon. Ne m'y attendant pas du tout, j’avoue avoir été agréablement surprise. Car ainsi, le récit apporte une nouvelle dimension qui n'est pas pour nous déplaire, car on entre ainsi dans l’intimité de nos deux ennemis et apprenons à les connaître plus rapidement.
Concernant l’intrigue que puis-je vous dire à part que vous n’êtes pas au bout de vos surprises ! Ouh non ! L’auteure nous promet de beaux retournements de situation, des révélations inattendues, des secrets dévoilés et des surprises sur de nombreux personnages. Tout cela avec une plume à la fois enchanteresse et intrusive.
En résumé, vous l’aurez compris, j’ai adoré ce premier tome. Je ne savais pas à quoi m’attendre, je n'avais pas lu le résumé et honnêtement, je suis contente d’avoir plongé autant dans l'inconnu. J’ai vraiment tout adoré mais surtout le fait que l'auteure mélange aussi bien les vampires et les nymphes et qu’elle sorte du stéréotype du vampire tout mignon et gentil. Quant à l’intrigue, elle a réussi à m’étonner à plusieurs reprises, et je ne peux que vous conseiller de découvrir cette histoire !
*Je remercie Astrid et Rebelle pour leur confiance ! *
*Je remercie Astrid et Rebelle pour leur confiance ! *
Enza Vergara était la dernière nymphe à abattre. Mais qui aurait cru qu il existerait bien pire qu une nymphe en cavale ? Enza n'aurait jamais pensé que défendre sa liberté l'entraînerait au coeur des secrets de l'Assemblée, là où les complots riment avec trahison. Dans les rues ténébreuses de New York et dans les forêts humides du Sud, le danger est tout proche et peut prendre de multiples visages... Après tout, la traque n'a jamais pris fin. Méfiez-vous des ombres tapies dans les eaux troubles de l'Hudson, elles renferment de charmantes créatures... assoiffées de sang.
4.5/5 |
Rebelle - 289 pages - Marjorie Burbaud
Honnêtement, je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à lire ce tome 2, parce que j'avais vraiment hâte de lire cette suite. Et je n'ai pas été du tout déçue, bien au contraire ! J'ai été embarquée du début à la fin... Qui donne clairement envie de lire la suite !
Enza était la dernière nymphe à abattre... Mais elle n'aurait jamais pensé que devoir défendre sa liberté la mènerait au cœur des secrets de l'Assemblée. Et si, finalement, les nymphes n'étaient pas les monstres tant redoutés des humains et tant détestés des vampires. Et si tout ceci cachait quelque chose de plus grave et de plus dangereux ?
Comme à chaque suite que je lis, j'avais un peu peur d'avoir oublié le premier tome. Pas que je ne l'ai pas aimé, au contraire, juste que ma mémoire de poisson rouge me fait souvent défaut. Eh bien j'ai vite été détrompée, car l'auteure a eu la bonne idée de faire des petits rappels qui permettent de plonger plus rapidement dans la suite. Et quelle suite !
Le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer. Si Enza peut avoir des moments de tranquillité, ils sont aussi très vite mis à plat par des rebondissements et des retournements de situation. Enza n'est pas au bout de ses surprises, mais surtout, elle risque d'avoir quelques désillusions. Et on ne peut pas dire que la présence d'Eidon l'aide à voir quel chemin elle doit emprunter.
Tout comme dans le premier opus, leur relation est ainsi faite qu'ils passent constamment leur temps à se lancer des piques, à se détester autant qu'à s'aimer, mais ils ne peuvent pas s'empêcher de bosser main dans la main pour essayer de ramener un semblant de paix entre les humains, vampires et nymphes. Mais qui a dit que tout était simple et que seules deux personnes pouvaient parvenir à de telles réussites ?
J'aimerai beaucoup vous en dire plus, vous décortiquer ce que j'ai aimé, ce qui m'a pris aux tripes, les révélations, les secrets, les trahisons, mais je vais me retenir. Comme toujours. Et sachez que c'est frustrant de ne pas pouvoir dire qu'on aimerait dire ! Tout ce que je peux révéler, c'est que l'imagination de l'auteure est débordante, qu'elle ne nous laisse pas souffler, et que nous aussi, on veut voir tous ces soucis s'arranger. Et quand on pense que c'est enfin plus ou moins le cas, elle nous rappelle insidieusement que c'est elle l'auteure, et que c'est elle qui décide du futur de ses personnages.
Mais ce que j'ai vraiment apprécié dans ma lecture, outre l'intrigue qui m'a vraiment amenée sur des chemins tortueux, ce sont les relations entre les personnages, mais surtout entre Enza et ses parents. Je ne vais pas en dire trop, mais ici, l'auteure dépeint des relations malsaines, violentes et sans amour. On se demande d'ailleurs comment on peut continuer à vivre sans ressentir l'amour maternel, la protection paternel, la confiance des parents envers leurs enfants. Leur relation est tournée de telle sorte qu'on se prend, malgré nous, d'affection pour ce trio si atypique mais qu'on ne rêverait pas de vivre nous-mêmes.
Enza était la dernière nymphe à abattre... Mais elle n'aurait jamais pensé que devoir défendre sa liberté la mènerait au cœur des secrets de l'Assemblée. Et si, finalement, les nymphes n'étaient pas les monstres tant redoutés des humains et tant détestés des vampires. Et si tout ceci cachait quelque chose de plus grave et de plus dangereux ?
Comme à chaque suite que je lis, j'avais un peu peur d'avoir oublié le premier tome. Pas que je ne l'ai pas aimé, au contraire, juste que ma mémoire de poisson rouge me fait souvent défaut. Eh bien j'ai vite été détrompée, car l'auteure a eu la bonne idée de faire des petits rappels qui permettent de plonger plus rapidement dans la suite. Et quelle suite !
Le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer. Si Enza peut avoir des moments de tranquillité, ils sont aussi très vite mis à plat par des rebondissements et des retournements de situation. Enza n'est pas au bout de ses surprises, mais surtout, elle risque d'avoir quelques désillusions. Et on ne peut pas dire que la présence d'Eidon l'aide à voir quel chemin elle doit emprunter.
Tout comme dans le premier opus, leur relation est ainsi faite qu'ils passent constamment leur temps à se lancer des piques, à se détester autant qu'à s'aimer, mais ils ne peuvent pas s'empêcher de bosser main dans la main pour essayer de ramener un semblant de paix entre les humains, vampires et nymphes. Mais qui a dit que tout était simple et que seules deux personnes pouvaient parvenir à de telles réussites ?
J'aimerai beaucoup vous en dire plus, vous décortiquer ce que j'ai aimé, ce qui m'a pris aux tripes, les révélations, les secrets, les trahisons, mais je vais me retenir. Comme toujours. Et sachez que c'est frustrant de ne pas pouvoir dire qu'on aimerait dire ! Tout ce que je peux révéler, c'est que l'imagination de l'auteure est débordante, qu'elle ne nous laisse pas souffler, et que nous aussi, on veut voir tous ces soucis s'arranger. Et quand on pense que c'est enfin plus ou moins le cas, elle nous rappelle insidieusement que c'est elle l'auteure, et que c'est elle qui décide du futur de ses personnages.
Mais ce que j'ai vraiment apprécié dans ma lecture, outre l'intrigue qui m'a vraiment amenée sur des chemins tortueux, ce sont les relations entre les personnages, mais surtout entre Enza et ses parents. Je ne vais pas en dire trop, mais ici, l'auteure dépeint des relations malsaines, violentes et sans amour. On se demande d'ailleurs comment on peut continuer à vivre sans ressentir l'amour maternel, la protection paternel, la confiance des parents envers leurs enfants. Leur relation est tournée de telle sorte qu'on se prend, malgré nous, d'affection pour ce trio si atypique mais qu'on ne rêverait pas de vivre nous-mêmes.
En résumé, une suite à la hauteur de mes attentes, avec une fin horrible, qui donne cruellement envie de se jeter sur le dernier tome. Une intrigue qui évolue, des personnages attachants avec leur caractère et leur faiblesse. Une plume très prenante, avec également des métaphores très bien menées et qui m'ont vraiment plu et surprise plus d'une fois. Vivement mai que je me procure la fin !
Si Enza Vergara avait su ce qu’allait devenir sa vie, elle aurait sûrement profité du temps où elle était encore la dernière nymphe de la ville. Aujourd’hui, il est déjà trop tard. Condamnée par sa propre ville, Enza passe du statut de nymphe traquée à celui de criminelle. Si le monde semble en avoir fini avec elle, elle va vite s’apercevoir que New York n’a pas dit son dernier mot. Entre le vent de panique qui se lève sur la ville pour décimer la population et le nouveau règne des vampires, les nymphes se retrouvent en plein cataclysme... Finalement, Enza aurez dû se méfier... car la paix à un goût de pomme empoisonnée. Prenez garde aux lueurs féeriques qui ondulent sous la surface et aux douces mélodies portées par le vent... les nymphes n’ont jamais été plus féroces.
4.5/5 |
Rebelle - 330 pages - Marjorie Burbaud
Si vous me suivez depuis un moment, vous savez que j'ai adoré les deux premiers tomes de cette trilogie et que j'attendais ce dernier avec impatience. Et puis, cette couverture ! Elle est canon, non ? Alors, rassurez-vous, j'ai adoré ce final et je suis même triste que ce soit déjà terminé.
Suite aux événements des tomes précédents, Enza est à présent condamnée sur une île. Elle n'a pas le droit d'en sortir et cela, à vie... Du moins, en apparence. Parce que la paix qu'elle peut avoir sur cette île est loin de durer.
Je ne vous cache pas que cela faisait un moment que j'avais lu le tome 2 et que j'avais un peu oublié ce qu'il serait produit. Mais Marjorie Burbaud a cette façon de vous rappeler les faits dès le début, permettant ainsi au lecteur de plonger rapidement dans son histoire. De ce fait, dès les premières pages, j'ai su que j'allais apprécier ma lecture.
Ce tome 3 clôt parfaitement cette trilogie. L'auteure a une imagination débordante et réussit à mêler avec brio deux mythes qui pourtant n'ont rien en commun. Avez-vous déjà vu des nymphes et des vampires cohabiter ensemble ? Non ? Eh bien lisez cette série et vous comprendrez ce que je veux dire.
Au fil de ces trois tomes, nous voyons les personnages évoluer, l'intrigue devenir plus sombre et plus complexe qu'on ne le pense et ce tome 3 révèle enfin toutes les questions qu'on a pu se poser. L'auteure se réinvente à chaque tome et c'est toujours un plaisir de suivre les aventures d'Enza et compagnie.
Dans ce troisième opus, les nymphes n'ont jamais été aussi en danger. Un drôle de virus parcourt les terres et cause plus de dégâts que prévu. Et évidemment, Enza se retrouve encore sur la ligne de départ, en pôle position. Voilà le point fort de cette trilogie : l'auteure ne prend pas de gants et n'hésite pas à faire souffrir ses personnages, les rendant ainsi plus réalistes et crédibles.
Suite aux événements des tomes précédents, Enza est à présent condamnée sur une île. Elle n'a pas le droit d'en sortir et cela, à vie... Du moins, en apparence. Parce que la paix qu'elle peut avoir sur cette île est loin de durer.
Je ne vous cache pas que cela faisait un moment que j'avais lu le tome 2 et que j'avais un peu oublié ce qu'il serait produit. Mais Marjorie Burbaud a cette façon de vous rappeler les faits dès le début, permettant ainsi au lecteur de plonger rapidement dans son histoire. De ce fait, dès les premières pages, j'ai su que j'allais apprécier ma lecture.
Ce tome 3 clôt parfaitement cette trilogie. L'auteure a une imagination débordante et réussit à mêler avec brio deux mythes qui pourtant n'ont rien en commun. Avez-vous déjà vu des nymphes et des vampires cohabiter ensemble ? Non ? Eh bien lisez cette série et vous comprendrez ce que je veux dire.
Au fil de ces trois tomes, nous voyons les personnages évoluer, l'intrigue devenir plus sombre et plus complexe qu'on ne le pense et ce tome 3 révèle enfin toutes les questions qu'on a pu se poser. L'auteure se réinvente à chaque tome et c'est toujours un plaisir de suivre les aventures d'Enza et compagnie.
Dans ce troisième opus, les nymphes n'ont jamais été aussi en danger. Un drôle de virus parcourt les terres et cause plus de dégâts que prévu. Et évidemment, Enza se retrouve encore sur la ligne de départ, en pôle position. Voilà le point fort de cette trilogie : l'auteure ne prend pas de gants et n'hésite pas à faire souffrir ses personnages, les rendant ainsi plus réalistes et crédibles.
En résumé, un dernier tome qui clôt parfaitement cette trilogie. J'ai été prise dans ces dernières aventures du début à la fin, avec la difficulté de devoir reposer le livre de temps en temps. Enza et compagnie évoluent, souffrent et deviennent, de ce fait, beaucoup plus réalistes. Une trilogie que je conseille fortement ! Le mélange des nymphes et vampires est très bien amené !