Dès que la couverture de ce livre a été dévoilée, elle m'a attirée. Pouquoi ? Je ne sais pas, mais elle dégage quelque chose d'intrigant. Puis bon, le thème abordé me plaît beaucoup. Non, je ne dirai pas lequel, même si tout le monde le sait, je n'ai pas envie qu'on me dise que je spoile, sait-on jamais ! Même si au début j'ai eu du mal avec Emily de la Nuit, après, j'ai vraiment apprécié ce roman et je suis curieuse d'avoir la suite !
Emily est une jeune fille timide, assez renfermée qui ne se mélange pas trop aux autres à cause de sa timidité, justement. Elle se sort pas, ne va pas en boite, ne boit pas. On peut dire que c'est une adolescente banale. Jusqu'à un soir. 8 PM. Jusqu'au meurtre d'une fille de sa classe.
Pourquoi ? Comment ? Toutes les réponses sont dans le premier tome, ou presque. À cause de cet événement, Emily va changer du tout au tout le soir, à partir de vingt heures. Dévergondée, une grande gueule, elle sera tout l'opposé de sa vraie personnalité. Je dois bien avouer qu'au début j'ai eu beaucoup de mal avec elle. En fait, l'auteur l'annonce de but en blanc et on a pas vraiment le temps de s'y faire. Son caractère est insupportable et plusieurs fois j'ai eu envie de lui foutre des claques. Irréfléchie, inconsciente, insupportable, elle a tous les vices que n'a pas son double du jour. Alors que la vraie Emily resterait sagement chez elle, la Emily de la Nuit, elle, n'hésite pas à aller mettre la zizanie aux soirée et à s'habiller à la limite du raisonnable.
Puis par la suite du récit, on s'y habitue et on découvre que finalement, cette nouvelle personnalité n'est pas si bête que ça, et qu'elle finira par réfléchir à tout ce qui lui arrive. Finalement, la part de Emily du Jour prendra ses marques et arrivera à cohabiter avec son second caractère. Dit comme ça, on dirait qu'elle est un peu schizophrène, mais non : le roman est vraiment très bien écrit, à tel point que plus on avance, plus on se rend compte qu'elles ne sont qu'une même personne, bien que leurs caractères diffèrent.
L'auteur a une plume qui fait qu'on s'immerge très vite dans le livre. Même s'il n'y a pas énormément d'action, il en devient tout de même addictif, à tel point qu'on tourne les pages sans s'en rendre compte. J'ai beaucoup aimé le fait que l'auteure s'approprie le mythe décrit, et en face quelque chose de nouveau et de jamais vu. Ça change des romans de d'habitude, et rien que pour ça, j'ai envie de voir la suite. Car oui, il invente une nouvelle façon à ce mythe, mais en plus, il ne donne pas toutes les réponses à nos questions. J'ai eu tout de même peur qu'arrivé au bout de ce premier opus, je n'ai pas quelques réponses. Mais ouf, il en donne un peu, pas beaucoup, c'est vrai, mais justement, ces dernières amènent d'autres questions et on se retrouve dans un cercle infernal où l'on veut la suite.
Emily est une jeune fille timide, assez renfermée qui ne se mélange pas trop aux autres à cause de sa timidité, justement. Elle se sort pas, ne va pas en boite, ne boit pas. On peut dire que c'est une adolescente banale. Jusqu'à un soir. 8 PM. Jusqu'au meurtre d'une fille de sa classe.
Pourquoi ? Comment ? Toutes les réponses sont dans le premier tome, ou presque. À cause de cet événement, Emily va changer du tout au tout le soir, à partir de vingt heures. Dévergondée, une grande gueule, elle sera tout l'opposé de sa vraie personnalité. Je dois bien avouer qu'au début j'ai eu beaucoup de mal avec elle. En fait, l'auteur l'annonce de but en blanc et on a pas vraiment le temps de s'y faire. Son caractère est insupportable et plusieurs fois j'ai eu envie de lui foutre des claques. Irréfléchie, inconsciente, insupportable, elle a tous les vices que n'a pas son double du jour. Alors que la vraie Emily resterait sagement chez elle, la Emily de la Nuit, elle, n'hésite pas à aller mettre la zizanie aux soirée et à s'habiller à la limite du raisonnable.
Puis par la suite du récit, on s'y habitue et on découvre que finalement, cette nouvelle personnalité n'est pas si bête que ça, et qu'elle finira par réfléchir à tout ce qui lui arrive. Finalement, la part de Emily du Jour prendra ses marques et arrivera à cohabiter avec son second caractère. Dit comme ça, on dirait qu'elle est un peu schizophrène, mais non : le roman est vraiment très bien écrit, à tel point que plus on avance, plus on se rend compte qu'elles ne sont qu'une même personne, bien que leurs caractères diffèrent.
L'auteur a une plume qui fait qu'on s'immerge très vite dans le livre. Même s'il n'y a pas énormément d'action, il en devient tout de même addictif, à tel point qu'on tourne les pages sans s'en rendre compte. J'ai beaucoup aimé le fait que l'auteure s'approprie le mythe décrit, et en face quelque chose de nouveau et de jamais vu. Ça change des romans de d'habitude, et rien que pour ça, j'ai envie de voir la suite. Car oui, il invente une nouvelle façon à ce mythe, mais en plus, il ne donne pas toutes les réponses à nos questions. J'ai eu tout de même peur qu'arrivé au bout de ce premier opus, je n'ai pas quelques réponses. Mais ouf, il en donne un peu, pas beaucoup, c'est vrai, mais justement, ces dernières amènent d'autres questions et on se retrouve dans un cercle infernal où l'on veut la suite.
En résumé, un premier tome qui a su me surprendre par l'originalité et surtout par le fait que l'auteur s'est approprié un mythe et l'a modifié à sa sauce, ce qui rend le récit d'autant plus intéressant. Même si au début j'ai détesté le seconde personnalité d'Emily, par la suite j'ai réussi à m'attacher à elle et à l'apprécier à sa juste valeur. Un tome 1 où l'on a quelques réponses à la fin, mais ces dernières nous apportent tout un lot de nouvelles questions, qui auront, je l'espère, une réponse dans le second opus ! Il est sûr que je vais continuer l'aventure et que je me procurerai le second tome dès sa sortie ! Merci à la collection Macadam pour les découvertes qu'elle me fait vivre. Je n'ai encore jamais été déçue, et j'espère que ça continuera ainsi !