C'est le premier livre de l'auteure que je découvre (et certainement pas le dernier), mais pour le coup, tout m'a tenté : la couverture atypique dont je suis totalement fan, les titre et sous-titre terriblement accrocheurs et le résumé très poétique et magique. Clairement, je ne pouvais pas passer à côté. Et en plus de cela, j'ai adoré ce premier tome, que demander de mieux ? Ah si... la suite !

Les contes d'Aucelaire, c'est un roman si particulier, qu'il est difficile d'en faire un résumé banal et simple. Alors, prenez juste le temps de tourner la première page, de déguster un gâteau, et de découvrir un univers magique, enchanteur et ensorceleur à souhait. Tel un bonbon acidulé, vous allez découvrir chaque nuance de cette histoire, chaque facette que l'auteure veut bien vous dévoiler. Mais pas d'un coup, plutôt petit à petit, comme si vous ouvriez votre cadeau de Noël, vous voyez ? Alors, laissez-vous transporter à votre tour...

Ginie est une jeune femme brimée par les convictions religieuses de sa mère et n'a connu l'amour qu'au travers des livres qu'elle a pu lire. Tito, lui, n'est que de passage mais semble bien connaître tout ce qui s'y passe... Ces deux personnages sont ont antipodes l'un de l'autre, mais pourtant... beaucoup de choses semblent les rapprocher et surtout leur attirance mutuelle. Certes, j'ai trouvé que la romance arrivait beaucoup, beaucoup trop vite à mon goût, mais, honnêtement, je m'en contrefiche, pour ce roman. Pourquoi ? Parce que tout simplement, ce qui se cache derrière cet amour est encore plus beau et touchant et magique et adorable et... plein d'adjectifs d'amour possibles et inimaginables.

Je vous assure qu'il est vraiment difficile de vous faire cette chronique, parce que même si on se doute de beaucoup de choses dès le départ, les révélations qui viennent par la suite sont tellement bien amenées et menées que... on oublie tout ce qui pourrait pêcher et être trop rapide. Sachez juste que vous allez aimer et détester les personnages. Vouloir, vous aussi, vous rendre au sorbier des Oiseleurs et rencontrer tout ce beau monde. Vouloir insulter, remuer, secouer la mère de Ginie qui est le mal personnifié, en quelque sorte. Vouloir aussi avoir un Tito à vous. Tout ça à la fois et encore bien plus. Vous allez aussi vouloir le tome 2 et la suite tout de suite, maintenant, dans la foulée.

Mais en dehors de cette romance et de cet univers chimérique, l'amitié a également une place très importante dans ce récit. Les amies de Ginie sont les meilleures que l'on puisse compter dans une vie. Bien qu'elles ne sachent pas tout ce qu'il se passe, elles sont cependant présente et d'une amitié inébranlable.​

Bon, je triche un peu avec ce tome 2, étant donné que je savais que j'allais l'aimer, puisque j'avais eu la chance à l'époque de le corriger. Mais oui, il a traîné trop longtemps dans ma PAL pour que j'en fasse une chronique détaillée... Oups. Mais l'erreur est réparée et comme vous vous en doutez, j'ai adoré cette lecture!
 
J'avais besoin d'une lecture légère et comme je savais que ce roman ferait son office, mon choix s'est immédiatement porté sur ce titre. Bon, soyons honnêtes, même si je me souvenais de certains passages, ma mémoire de poisson rouge a cependant trop bien fait son travail... Mais c'est tant mieux, dans un sens. Comme ça, j'ai pu re-découvrir l'histoire, cette fois sous l'œil d'une simple lectrice. 
 
Et c'était vraiment génial. Tout était là pour un cocktail parfait : l'humour, un peu de magie (si, si), de l'amour, une intrigue très chouette et une plume enchanteresse. Autant dire que j'ai été comblée. Les personnages aussi font beaucoup dans cette histoire. On s'attache très vite à eux et retrouver ceux du premier tome, c'est aussi retrouver une bande d'amis qu'on aime beaucoup.
 
C'est typiquement le genre de romans qu'on reliait à l'envie, pour retrouver ces personnages, mais aussi l'ambiance à la fois magique et douce que transmet l'auteure. À travers ses mots, le legteur est immédiatement embarqué dans un univers maîtrisé, doux et qui fait du bien au moral.