Quand ils arrivent dans la ville de Saffron Hills, Darla et son père sont bien décidés à prendre un nouveau départ. Malheureusement, Darla s'intègre difficilement dans son lycée, où tous les élèves sont obsédés par les selfies, les grosses voitures et les concours de beauté. Sa situation ne fait qu'empirer quand elle commence a avoir des visions qui la projettent dans le corps d'un meurtrier qui semble s'attaquer à des étudiants de son campus.
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Milan - 280 pages - Tom Becker
Ce qui m’a attirée dans ce livre, c’est tout d’abord sa couverture. Il faut dire qu’elle fout un peu les jetons, et comme je lis trop peu souvent de romans qui font peur, je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais. Ensuite, le résumé a réussi à m’intriguer assez pour que je me lance. L’idée du tueur de tuer les plus beaux jeunes de la ville est assez angoissant et très intriguant. En tout cas, j’ai passé un bon moment de lecture.
Pour échapper une nouvelle fois aux créanciers qui les recherchent, Darla et son père sont obligés de fuir une nouvelle fois. Quand ils arrivent dans la ville de Saffron Hills, ils sont bien décidés à prendre un nouveau départ. Malheureusement, Darla s’intègre difficilement dans son lycée. En effet, ses camarades semblent plus s’intéresser aux selfies, grosses voitures et aux apparences. Et rien ne va en s’arrangeant, car elle commence à avoir des visions qui montrent un tueur semblant très intéressé par la beauté des jeunes…
Autant le dire : dès le début, nous savons que cette histoire sera glauque et angoissante. Le prologue que nous offre l’auteur est loin de nous mettre à l’aise et nous met immédiatement dans une ambiance particulière. On peut dire que l’histoire commence sur les chapeaux de roue, bien que ce prologue se passe plusieurs années avant l’intrigue principale.
Je n’ai pas particulièrement réussi à m’attacher aux personnages, mais l’auteur est tout de même parvenu à me tenir en haleine pendant la plupart du récit. Je voulais comprendre, je voulais savoir qui était ce tueur qui sévissait dans cette ville. Car bien que Darlait ait ces visions, elle ne voyait jamais le visage de cette personne, juste les méfaits qu’elle faisait. D’ailleurs, j’ai trouvé que ces visions tombaient un peu comme un cheveu dans la soupe. D’où viennent-elles, pourquoi Darla les a ? On n’a pas vraiment d’explications, et je trouve ça assez dommage.
Il est vrai que cette idée de visions était bien trouvée, mais j’aurais aimé avoir une explication censée sur cette arrivée soudaine. Néanmoins, le fait de voir à l’avance les meurtres commis apporte un plus au récit, c’est indéniable. Tout comme Darla, on a envie de sauver ces personnes qui vont bientôt mourir. Même si on sait qu’on ne peut rien faire, on veut tenter le maximum. Et c’est aussi ça qui m’a permis de me rapprocher un peu plus de Darla. Bien que je n’ai trouvé aucun point commun avec elle, il n’en est pas moins que ses visions m’ont autant inquiétée qu’elle. Et pourquoi ne voit-elle pas ce visage ? Pourquoi lui est-il caché jusqu’à la fin ?
Bon, je ne vais pas vous cacher que j’ai vite découvert l’identité du fameux tueur. Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne l’ai pas senti dès le départ. Quelque chose chez lui me dérangeait, je le trouvais trop… présent, trop « simple ». Donc pour moi, il était louche dès le départ. Néanmoins, si j’avais deviné son identité, je ne comprenais pas trop pourquoi il perpétrait tous ces meurtres. Bien qu’il était évident que tout cela avait un lien avec le prologue.
De ce fait, j’ai été surprise sans trop l’être des révélations de la fin. Il n’en est pas moins que j’ai apprécié ma lecture, bien qu’ayant deviné une grande partie de l’intrigue principale. Mais ce qui m’a le plus plu dans cette histoire, c’est la relation entre Darla et son père. De difficile et incompréhensible, elle s’ouvre peu à peu sur des dialogues et de la compréhension. On sait tous que les relations parents/enfants peuvent être compliquées, et ici, l’auteur nous en a donné un aperçu, et a très bien mené sa barque. Je me suis attachée à ce binôme.
Pour échapper une nouvelle fois aux créanciers qui les recherchent, Darla et son père sont obligés de fuir une nouvelle fois. Quand ils arrivent dans la ville de Saffron Hills, ils sont bien décidés à prendre un nouveau départ. Malheureusement, Darla s’intègre difficilement dans son lycée. En effet, ses camarades semblent plus s’intéresser aux selfies, grosses voitures et aux apparences. Et rien ne va en s’arrangeant, car elle commence à avoir des visions qui montrent un tueur semblant très intéressé par la beauté des jeunes…
Autant le dire : dès le début, nous savons que cette histoire sera glauque et angoissante. Le prologue que nous offre l’auteur est loin de nous mettre à l’aise et nous met immédiatement dans une ambiance particulière. On peut dire que l’histoire commence sur les chapeaux de roue, bien que ce prologue se passe plusieurs années avant l’intrigue principale.
Je n’ai pas particulièrement réussi à m’attacher aux personnages, mais l’auteur est tout de même parvenu à me tenir en haleine pendant la plupart du récit. Je voulais comprendre, je voulais savoir qui était ce tueur qui sévissait dans cette ville. Car bien que Darlait ait ces visions, elle ne voyait jamais le visage de cette personne, juste les méfaits qu’elle faisait. D’ailleurs, j’ai trouvé que ces visions tombaient un peu comme un cheveu dans la soupe. D’où viennent-elles, pourquoi Darla les a ? On n’a pas vraiment d’explications, et je trouve ça assez dommage.
Il est vrai que cette idée de visions était bien trouvée, mais j’aurais aimé avoir une explication censée sur cette arrivée soudaine. Néanmoins, le fait de voir à l’avance les meurtres commis apporte un plus au récit, c’est indéniable. Tout comme Darla, on a envie de sauver ces personnes qui vont bientôt mourir. Même si on sait qu’on ne peut rien faire, on veut tenter le maximum. Et c’est aussi ça qui m’a permis de me rapprocher un peu plus de Darla. Bien que je n’ai trouvé aucun point commun avec elle, il n’en est pas moins que ses visions m’ont autant inquiétée qu’elle. Et pourquoi ne voit-elle pas ce visage ? Pourquoi lui est-il caché jusqu’à la fin ?
Bon, je ne vais pas vous cacher que j’ai vite découvert l’identité du fameux tueur. Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne l’ai pas senti dès le départ. Quelque chose chez lui me dérangeait, je le trouvais trop… présent, trop « simple ». Donc pour moi, il était louche dès le départ. Néanmoins, si j’avais deviné son identité, je ne comprenais pas trop pourquoi il perpétrait tous ces meurtres. Bien qu’il était évident que tout cela avait un lien avec le prologue.
De ce fait, j’ai été surprise sans trop l’être des révélations de la fin. Il n’en est pas moins que j’ai apprécié ma lecture, bien qu’ayant deviné une grande partie de l’intrigue principale. Mais ce qui m’a le plus plu dans cette histoire, c’est la relation entre Darla et son père. De difficile et incompréhensible, elle s’ouvre peu à peu sur des dialogues et de la compréhension. On sait tous que les relations parents/enfants peuvent être compliquées, et ici, l’auteur nous en a donné un aperçu, et a très bien mené sa barque. Je me suis attachée à ce binôme.
En résumé, voilà un roman assez particulier. Avec une couverture qui prend tout son sens une fois le livre lu, vous êtes certains de ne pas ressortir indemnes de cette histoire. L’auteur traite de sujets qui mériteraient plus d’attention de la part des jeunes, mais aussi des adultes. La beauté est le centre de cette intrigue, et fait se poser pas mal de questions sur la société actuelle. Bien que j’ai deviné assez rapidement l’identité du tueur, j’ai apprécié tout ce qu’avait créée l’auteur autour de cette personne et des autres personnages qui constituent l’histoire.
* Je remercie Elodie et Milan pour leur confiance ! *
* Je remercie Elodie et Milan pour leur confiance ! *