Été 1977, village de Yonaki. Les adolescents de ce petit hameau de montagne ont enfin trouvé de quoi pimenter leurs longues journées de vacances : Yûji, le meilleur ami du jeune Kazunari Honda, a reçu dans sa boîte aux lettres une étrange enveloppe noire qui contient un message… plutôt effrayant. Les jeunes gens décident de se prêter au jeu de son mystérieux expéditeur, le roi, et de relever le macabre défi : ils doivent toucher avant la fin du jour un cadavre humain…
Mais ce que Kazunari et ses amis prenaient au départ pour un canular vire en un rien de temps au cauchemar. D’autres missives leur parviennent – des challenges de plus en plus insurmontables –, et les habitants de Yonaki succombent un à un aux châtiments attribués par le roi, sous les yeux de la police impuissante. |
Pour les 32 villageois, c’est le début d’une partie d’échecs mortelle contre un ennemi invisible et tout-puissant ! Combien survivront au carnage ?
Dans la saison 3 de King’s Game, découvrez comment tout a commencé ! Plongez dans les entrailles de Yonaki et remontez le temps grâce à cette préquelle terrifiante…
Dans la saison 3 de King’s Game, découvrez comment tout a commencé ! Plongez dans les entrailles de Yonaki et remontez le temps grâce à cette préquelle terrifiante…
LUMEN ÉDITIONS - 408 PAGES - NOBUAKI KANAZAWA
Ayant été complètement happée par les deux premiers tomes lus, j'étais vraiment curieuse de lire cette suite. Enfin ce préquelle, car l'intrigue se passe en 1977, des années avant les deux autres opus. Ici, on apprend l'origine du jeu du roi. On a enfin les réponses aux questions laissées en suspens à la fin du tome 2. Je dois vous avouer : jusqu'à la fin, j'ai cru que ces fameuses réponses n'y seraient pas, que l'auteur allait encore nous faire mariner, mais rassurez-vous : on les a ! Et je peux vous dire qu'elles m'ont assez surprise même si on se doute rapidement de l'identité du roi, ou du moins celui qui fait ses petits jeux, cela n'empêche pas du tout d'être pris dans la tourmente des personnages et de tourner les pages à une allure folle !
Nous sommes à l'été 1977, dans le village de Yanoki. Alors que ce dernier semble assez reculé de la grande ville la plus proche, Yûji, le meilleur ami de Kazunari reçoit une enveloppe bien étrange, avec un jeu qui doit être fait dans les 24h qui suivent. Les adolescents trouvent que cela pimente leur été et ne prennent pas ça au sérieux. Cependant, si avant la fin de la journée, ils n'ont pas chacun touché un mort, les conséquences risquent d'être terribles. Le jeu du roi peut commencer.
Alors que tous (ou presque) se prennent au jeu du roi, ils ne se doutent pas que chaque jour se verra être plus difficile que les autres. Que les « jeux » vont s'intensifier, avec toujours au bout une sentence de plus en plus terrible. Alors, s'en sortiront-ils ? Parviendront-ils à découvrir qui se cache derrière ces mots et directives mystérieux ? Combien de peine et de douleur sera causé à cette suite ?
Eh bien je peux vous dire que comme les précédents, j'ai été prise dans ce cercle vicieux dès le début, et ce, jusqu'au bout ! Comme je le disais, les sentences sont toutes aussi terribles les unes que les autres et les mentalités changent rapidement. On découvre que certaines personnes, sous un visage d'ange, cachent en réalité une personnalité plus sombre et qu'elles sont prêtes à tout pour survivre, même à tuer leurs amis.
J'ai tout de suite adhéré à Kazunari. À la fois fort et innocent, il garde sa personnalité jusqu'au bout. Même s'il a peur de mourir, il n'en reste pas moi que jusqu'à la fin, il va essayer de sauver les habitants de son village, pour qui il ressent un amour inconditionnel. Quitte à se mettre des personnes à dos, il ne changera jamais de cap, et c'est aussi ce qui fait de lui cette force qu'il emmagasine en lui.
Évidemment, nous suivons d'autres personnages, étant donné que c'est tout un village qui est touché, mais je me suis vraiment attaché à ce personnage en particulier, pour les points cités plus haut. Un autre m'a énormément déçue, car son vrai visage se dévoile très rapidement et son caractère devient vraiment mauvais au fil des pages que l'on tourne.
Concernant l'intrigue, je dois dire que j'ai été surprise, car même si l'on sait que cela se passe avant les deux premiers tomes, ce n'est qu'à la toute fin que j'ai fait le lien entre ces trois tomes. Peut-être aussi le fait que les précédents, je les ai lus il y a quelques mois, je ne sais pas. En tout cas, je suis vraiment contente d'avoir pu lire cette préquelle, qui nous offre vraiment des réponses que l'on se pose depuis le début : qui est le roi ? Comment tout à commencé ? Quel a été l'élément déclencheur ? Et tout comme les deux précédents romans, les jeux sont tous plus difficiles les uns que les autres au fil des pages, et les sentences s'ils ne sont pas exécutés juste horribles. Honnêtement, je me demande vraiment où l'auteur a eu cette idée, et comment il en est venu à en faire une série. Tout ce que je peux dire, c'est que c'est très addictif et très prenant !
Nous sommes à l'été 1977, dans le village de Yanoki. Alors que ce dernier semble assez reculé de la grande ville la plus proche, Yûji, le meilleur ami de Kazunari reçoit une enveloppe bien étrange, avec un jeu qui doit être fait dans les 24h qui suivent. Les adolescents trouvent que cela pimente leur été et ne prennent pas ça au sérieux. Cependant, si avant la fin de la journée, ils n'ont pas chacun touché un mort, les conséquences risquent d'être terribles. Le jeu du roi peut commencer.
Alors que tous (ou presque) se prennent au jeu du roi, ils ne se doutent pas que chaque jour se verra être plus difficile que les autres. Que les « jeux » vont s'intensifier, avec toujours au bout une sentence de plus en plus terrible. Alors, s'en sortiront-ils ? Parviendront-ils à découvrir qui se cache derrière ces mots et directives mystérieux ? Combien de peine et de douleur sera causé à cette suite ?
Eh bien je peux vous dire que comme les précédents, j'ai été prise dans ce cercle vicieux dès le début, et ce, jusqu'au bout ! Comme je le disais, les sentences sont toutes aussi terribles les unes que les autres et les mentalités changent rapidement. On découvre que certaines personnes, sous un visage d'ange, cachent en réalité une personnalité plus sombre et qu'elles sont prêtes à tout pour survivre, même à tuer leurs amis.
J'ai tout de suite adhéré à Kazunari. À la fois fort et innocent, il garde sa personnalité jusqu'au bout. Même s'il a peur de mourir, il n'en reste pas moi que jusqu'à la fin, il va essayer de sauver les habitants de son village, pour qui il ressent un amour inconditionnel. Quitte à se mettre des personnes à dos, il ne changera jamais de cap, et c'est aussi ce qui fait de lui cette force qu'il emmagasine en lui.
Évidemment, nous suivons d'autres personnages, étant donné que c'est tout un village qui est touché, mais je me suis vraiment attaché à ce personnage en particulier, pour les points cités plus haut. Un autre m'a énormément déçue, car son vrai visage se dévoile très rapidement et son caractère devient vraiment mauvais au fil des pages que l'on tourne.
Concernant l'intrigue, je dois dire que j'ai été surprise, car même si l'on sait que cela se passe avant les deux premiers tomes, ce n'est qu'à la toute fin que j'ai fait le lien entre ces trois tomes. Peut-être aussi le fait que les précédents, je les ai lus il y a quelques mois, je ne sais pas. En tout cas, je suis vraiment contente d'avoir pu lire cette préquelle, qui nous offre vraiment des réponses que l'on se pose depuis le début : qui est le roi ? Comment tout à commencé ? Quel a été l'élément déclencheur ? Et tout comme les deux précédents romans, les jeux sont tous plus difficiles les uns que les autres au fil des pages, et les sentences s'ils ne sont pas exécutés juste horribles. Honnêtement, je me demande vraiment où l'auteur a eu cette idée, et comment il en est venu à en faire une série. Tout ce que je peux dire, c'est que c'est très addictif et très prenant !
En résumé, une préquelle qui aide beaucoup à tout comprendre mais surtout à savoir comment tout à commencé et surtout : pour quelle raison. Et je dois dire que c'est bien trouvé, car j'avais aussi peur que la raison soit trop simple, mais je n'ai pas trouvé que c'était le cas. Kazunari est un personnage auquel je me suis beaucoup attachée et que j'ai apprécié suivre tout au long du livre, même si j'ai trouvé qu'à certains moments il faisait un peu schizophrène à se parler tout seul, alors que, parfois, cela ne servait à rien. Mais c'est le style de l'auteur, donc bon. En tout cas, je suis contente d'avoir découvert cette série, même si honnêtement, elle donne beaucoup de frissons et que les descriptions sont telles qu'on a parfois une grimace de dégoût sur le visage, tant tout est bien explicité, détaillé.
* Je remercie les éditions Lumen et Emily pour leur confiance ! *
SORTIE LE 17 SEPTEMBRE 2015 !
* Je remercie les éditions Lumen et Emily pour leur confiance ! *
SORTIE LE 17 SEPTEMBRE 2015 !
Nobuaki est réveillé en pleine nuit par un étrange message qui met au défi deux de ses camarades de lycée de s’embrasser. À en croire le mystérieux expéditeur du mail, la classe entière participe à un “King’s Game”, un jeu du Roi auquel elle ne peut se soustraire. Jour après jour, à minuit pile, un nouveau défi s’affiche sur le téléphone portable des lycéens, qui finissent par découvrir la cruelle vérité : ils ont 24 heures pour exécuter les ordres du Roi, et la sanction en cas de désobéissance est la mort.
Suicides ou meurtres ? Puissance occulte ou criminel de chair et de sang ? La mort s’abat inéluctablement sur ses jeunes victimes, où qu’elles se trouvent et quoi qu’elles tentent pour s’échapper. Le couperet se rapproche dangereusement de nos héros… Parviendront-ils à démasquer le Roi avant qu’il ne soit trop tard ? |
lumen éditions - 374 pages - nobuaki kanazawa
Quand j'ai commencé cette lecture, je ne partais pas hyper positive. Et pourtant, j'étais très ravie de le recevoir et excitée de le commencer. Mais les premières chroniques sont tombées, et ma joie de le commencer avec... Et pourtant, à la lecture, eh bien je l'ai totalement dévoré ! L'ambiance glauque, angoissante et meurtrière m'a énormément plu, même si évidemment il y a quelques points négatifs (mais quel livre est parfait?).
Lors d'un jour banal de cours, une classe va vivre plusieurs jours consécutifs dans la pire horreur. En effet, suite à un seul texto, leur vie va être chamboulée. Un texto, un ordre a exécuté dans les 24h qui suivent, sinon la personne meurt. Voici la règle du jeu, qui s'appelle « le jeu du roi ». Si au début, les élèves prendront cela à la légère comme tout être rationnel et en rient, très vite ils se rendront compte que la réalité en est tout autre. Dès les premières morts, ils commenceront à comprendre qu'ils sont tous en danger de mort et une sorte de course contre la montre sera enclenchée.
Il est vrai que l'ambiance est bien angoissante et du coup nous rend accro à la lecture. Car oui, on aimerait savoir qui se cache derrière son téléphone et ce pseudonyme pour choisir la mort d'une personne comme un jeu et sans remord. Car oui, c'est bien cela : l'inconnu ne ressent rien, sinon il ne tuerait pas pour le plaisir, cela paraît logique. Mais qui est-elle ? Que veut-elle ? Pourquoi fait-elle tout ceci ?
Si en commençant ce livre je ne comptais lire qu'une cinquantaine de pages pour voir comme cela allait se passer, je me suis vite rendu compte que j'étais complètement happée par cet univers noir et intense. Le stress et le suspense tout le long du récit nous prennent aux tripes, ajouté à cela les morts et les défis qui leur sont lancés. Ils sont tous plus horribles les uns que les autres, bien qu'au début ils ne soient que enfantins. Mais plus l'on avance, plus la cruauté de l'inconnu se fait sentir et plus ces défis sont difficiles à accepter. Mais vous, que choisiriez-vous entre un défi qui pourrait faire de votre vie un enfer ou bien la mort par dépit ? Dur choix, hein.
Même si ma lecture m'a énormément plu, j'en retire aussi quelques points faibles. Tou d'abord, le personnage principal. Même si j'ai bien apprécié son caractère et qu'il souhaite par-dessus tout sauver ses camarades et ceux qu'il aime, s'il y a bien un truc qui m'a agacé chez lui, ce sont ses monologues constants. J'avais l'impression de me retrouver avec quelqu'un ayant une double personnalité. L'auteur pensait peut-être qu'avec ça, ça rendrait le texte et l'histoire encore plus difficiles mais non, pas avec moi... J'avais plutôt envie de lui foutre des baffes à certains moments et de lui dire « mais au lieu de te parler à toi-même, bouge, fais quelque chose ! »
Le second point c'est que même si certaines scènes m'ont retourné l'estomac et fait mal au cœur, j'ai trouvé que les sentiments des personnages n'étaient pas assez exploités. Certes, ils sont là mais... devant un drame pareil, je m'attendais peut-être à trop de sensations, justement. Même si certaines fois, le personnage principal avait des réactions adéquates et hurlait de peur, de colère, de tristesse, les autres étaient trop en décalé. Ensuite, le grand nombre de personnages m'a déstabilisée. Encore si c'était des noms faciles à retenir... mais ici, les prénoms japonais sont vraiment difficiles à retenir pour certains. Alors j'avoue qu'au début j'étais perdue. Heureusement que par la suite ça va mieux, bon j'avoue que le fait qu'il y ait des morts aide... m'enfin.
Le dernier point qui m'a un peu froissée, c'est la fin. (oui, la fin). Je m'explique : l'intrigue, le fond et les révélations m'ont beaucoup surprise et j'ai adoré ça ! J'ai même eu la bouche ouverte à un moment, mais... en fait, pour être franche, je n'ai pas totalement compris cette fin. Je sais qu'il y a un tome 2 (en même temps, ça paraît logique à la dernière phrase...), cependant, je ne sais pas, j'ai ressenti un manque du côté des explications et pourquoi il y a tant de morts. Finalement, on ne sait pas vraiment quoi en penser et c'est ce qui m'a le plus gênée et qui donc me pousse à vouloir lire la suite.
Une question qui reste aussi en suspend dans ma tête : comment le Roi sait quand les élèves ont mené à bien leur défi ? Non, parce qu'il n'est pas présent quand ça arrive. Et surtout, comment réussit-il à les tuer alors qu'il n'est pas parmi eux. J'avoue que ce point me stresse beaucoup et que j'aimerais avoir bientôt une réponse.
Lors d'un jour banal de cours, une classe va vivre plusieurs jours consécutifs dans la pire horreur. En effet, suite à un seul texto, leur vie va être chamboulée. Un texto, un ordre a exécuté dans les 24h qui suivent, sinon la personne meurt. Voici la règle du jeu, qui s'appelle « le jeu du roi ». Si au début, les élèves prendront cela à la légère comme tout être rationnel et en rient, très vite ils se rendront compte que la réalité en est tout autre. Dès les premières morts, ils commenceront à comprendre qu'ils sont tous en danger de mort et une sorte de course contre la montre sera enclenchée.
Il est vrai que l'ambiance est bien angoissante et du coup nous rend accro à la lecture. Car oui, on aimerait savoir qui se cache derrière son téléphone et ce pseudonyme pour choisir la mort d'une personne comme un jeu et sans remord. Car oui, c'est bien cela : l'inconnu ne ressent rien, sinon il ne tuerait pas pour le plaisir, cela paraît logique. Mais qui est-elle ? Que veut-elle ? Pourquoi fait-elle tout ceci ?
Si en commençant ce livre je ne comptais lire qu'une cinquantaine de pages pour voir comme cela allait se passer, je me suis vite rendu compte que j'étais complètement happée par cet univers noir et intense. Le stress et le suspense tout le long du récit nous prennent aux tripes, ajouté à cela les morts et les défis qui leur sont lancés. Ils sont tous plus horribles les uns que les autres, bien qu'au début ils ne soient que enfantins. Mais plus l'on avance, plus la cruauté de l'inconnu se fait sentir et plus ces défis sont difficiles à accepter. Mais vous, que choisiriez-vous entre un défi qui pourrait faire de votre vie un enfer ou bien la mort par dépit ? Dur choix, hein.
Même si ma lecture m'a énormément plu, j'en retire aussi quelques points faibles. Tou d'abord, le personnage principal. Même si j'ai bien apprécié son caractère et qu'il souhaite par-dessus tout sauver ses camarades et ceux qu'il aime, s'il y a bien un truc qui m'a agacé chez lui, ce sont ses monologues constants. J'avais l'impression de me retrouver avec quelqu'un ayant une double personnalité. L'auteur pensait peut-être qu'avec ça, ça rendrait le texte et l'histoire encore plus difficiles mais non, pas avec moi... J'avais plutôt envie de lui foutre des baffes à certains moments et de lui dire « mais au lieu de te parler à toi-même, bouge, fais quelque chose ! »
Le second point c'est que même si certaines scènes m'ont retourné l'estomac et fait mal au cœur, j'ai trouvé que les sentiments des personnages n'étaient pas assez exploités. Certes, ils sont là mais... devant un drame pareil, je m'attendais peut-être à trop de sensations, justement. Même si certaines fois, le personnage principal avait des réactions adéquates et hurlait de peur, de colère, de tristesse, les autres étaient trop en décalé. Ensuite, le grand nombre de personnages m'a déstabilisée. Encore si c'était des noms faciles à retenir... mais ici, les prénoms japonais sont vraiment difficiles à retenir pour certains. Alors j'avoue qu'au début j'étais perdue. Heureusement que par la suite ça va mieux, bon j'avoue que le fait qu'il y ait des morts aide... m'enfin.
Le dernier point qui m'a un peu froissée, c'est la fin. (oui, la fin). Je m'explique : l'intrigue, le fond et les révélations m'ont beaucoup surprise et j'ai adoré ça ! J'ai même eu la bouche ouverte à un moment, mais... en fait, pour être franche, je n'ai pas totalement compris cette fin. Je sais qu'il y a un tome 2 (en même temps, ça paraît logique à la dernière phrase...), cependant, je ne sais pas, j'ai ressenti un manque du côté des explications et pourquoi il y a tant de morts. Finalement, on ne sait pas vraiment quoi en penser et c'est ce qui m'a le plus gênée et qui donc me pousse à vouloir lire la suite.
Une question qui reste aussi en suspend dans ma tête : comment le Roi sait quand les élèves ont mené à bien leur défi ? Non, parce qu'il n'est pas présent quand ça arrive. Et surtout, comment réussit-il à les tuer alors qu'il n'est pas parmi eux. J'avoue que ce point me stresse beaucoup et que j'aimerais avoir bientôt une réponse.
En résumé, une très bonne surprise pour moi, même si j'en retire quelques points négatifs. Une lecture qui prend tout de même aux tripes, et dont l'auteur va au bout des choses et n'hésite pas à entrer dans les détails, ce qui cause parfois des haut-le-cœur. L'intrigue en elle-même est très bien trouvée, et je me suis vue à plusieurs reprises me demander qui était le Roi et surtout pourquoi il perpétrait tout ceci. Une lecture que je conseille aux gens qui n'ont pas d'âme sensibles (même si moi j'en ai une, mais ça...). Un premier tome qui pose les bases mais rentre dans les détails et nous laisse sur notre faim avec les dernières phrases.
* Je remercie Emily et les éditions Lumen pour m'avoir permis de découvrir ce titre qui m'a déboussolée à bien des moments. *
* Je remercie Emily et les éditions Lumen pour m'avoir permis de découvrir ce titre qui m'a déboussolée à bien des moments. *
Sept mois ont passé depuis le King’s Game qui a décimé la classe de seconde de Nobuaki. Le jeune homme a déménagé, rejoint un lycée différent et s’est rapidement fait de nouveaux amis. Pourtant, chaque soir, à l’approche de minuit, il fixe avec angoisse son téléphone, redoutant l’arrivée d’un SMS du roi. L’être maléfique qui a provoqué la mort atroce de ses anciens camarades semble cependant s’être évanoui dans la nature. Nobuaki finit par croire que le cauchemar est définitivement derrière lui…
Mais un soir de juin, la spirale infernale reprend. Cette fois, l’horreur monte d’un cran : les défis et les sanctions, tous plus terribles les uns que les autres, se succèdent avec frénésie. Tous les camarades de classe de Nobuaki sont terrorisés, perdus, abasourdis face à la tragédie… sauf une. |
Que sait-elle du jeu du roi ? A-t-elle un lien avec l’expéditeur de ces terrifiants messages ? Si Nobuaki veut sauver ses amis et mettre un terme au jeu, il va lui falloir le découvrir, et vite !
Dans la saison 2 de King’s Game, une course contre la montre mortelle commence… Récit saisissant dont le suspense va crescendo, King’s Game Extreme ne vous laissera pas un instant de répit. Nuits blanches garanties !
Dans la saison 2 de King’s Game, une course contre la montre mortelle commence… Récit saisissant dont le suspense va crescendo, King’s Game Extreme ne vous laissera pas un instant de répit. Nuits blanches garanties !
LUMEN ÉDITIONS - 377 PAGES - NOBUAKI KANAZAWA
Je me rappelle que lorsque j'ai lu le premier tome, je l'avais dévoré en très peu de temps, malgré le fait que l'ambiance était angoissante et glauque au possible. Du coup c'était avec curiosité que j'ai voulu continuer cette saga surtout avec la fin du premier opus. Alors quelles sont mes réactions vis à vis de ce second opus? Même si globalement j'ai bien aimé, mon préféré reste le premier.
Dans ce second tome, nous retrouvons Nobuaki, le seul lycéen de sa classe à avoir survécu au jeu du roi quelques mois plus tôt. Plusieurs mois sont passés, et à présent, il tente d'oublier le traumatisme qu'il a vécu précédemment.
Mais le roi refait son grand retour, et cette fois il sera bien plus retors. Si chaque élève panique à l'annonce du roi et de son jeu qui causera encore bien des morts, une seule élève ne semble pas touchée ni apeurée par cette nouvelle. Elle s'en réjouit presque. Mais qui peut elle bien être et que sait-elle réellement de ce jeu?
S'il s'était promis de ne plus s'attacher à ses collègues, il verra qu'au fil du jeu, des liens se créent sans forcément le vouloir et que toutes ces morts le feront encore plus souffrir. Mais qui est réellement le roi et que veut-il vraiment? Il semble pendre plaisir à faire souffrir les gens, au point qu'ils n'aient plus aucune estime de leur vie. Qui se cache derrière ces messages? Va-t-on en apprendre plus dans ce second tome?
La réponse est oui, mais pour cela il faudra être patient et attendre la fin du tome pour avoir quelques réponses aux questions. Pas toutes évidemment, puisque 3 autres tomes nous attendent. Mais c'est déjà un bon début, même si j'avoue rester très indécise sur cette explication. Il est vrai que je ne sais toujours pas à quoi m'attendre ni qui est réellement le roi, mais je trouve l'explicitation un peu facile, même si elle est recherchée.
Si en globalité j'ai aimé ce tome, le point noir qui m'a encore dérangée est la schizophrénie des personnages. Non mais c'est vrai ! Je pensais vraiment que ça s'arrangerait dans la suite, mais non, c'est même peut-être pire ! Y'a pas une page où ils ne parlent pas tout seuls, soit dans leurs têtes, soit tout haut. Surtout que des fois, il suffisait juste de faire passer cela dans le narratif ou bien dialogue, mais pas en pensée. Peut-être que je m'explique mal, mais en tout cas, ça m'a un peu gâché la lecture.
Cependant, l'effet angoissant, glauque et vraiment dégueulasse est toujours bien présent et je suis contente que l'auteur soit resté dans la même optique. En parlant de l'auteur.... il n'aurait pas un souci de supériorité ? Non parce que appeler son personnage comme lui, c'est à se poser des questions...
Dans ce second tome, nous retrouvons Nobuaki, le seul lycéen de sa classe à avoir survécu au jeu du roi quelques mois plus tôt. Plusieurs mois sont passés, et à présent, il tente d'oublier le traumatisme qu'il a vécu précédemment.
Mais le roi refait son grand retour, et cette fois il sera bien plus retors. Si chaque élève panique à l'annonce du roi et de son jeu qui causera encore bien des morts, une seule élève ne semble pas touchée ni apeurée par cette nouvelle. Elle s'en réjouit presque. Mais qui peut elle bien être et que sait-elle réellement de ce jeu?
S'il s'était promis de ne plus s'attacher à ses collègues, il verra qu'au fil du jeu, des liens se créent sans forcément le vouloir et que toutes ces morts le feront encore plus souffrir. Mais qui est réellement le roi et que veut-il vraiment? Il semble pendre plaisir à faire souffrir les gens, au point qu'ils n'aient plus aucune estime de leur vie. Qui se cache derrière ces messages? Va-t-on en apprendre plus dans ce second tome?
La réponse est oui, mais pour cela il faudra être patient et attendre la fin du tome pour avoir quelques réponses aux questions. Pas toutes évidemment, puisque 3 autres tomes nous attendent. Mais c'est déjà un bon début, même si j'avoue rester très indécise sur cette explication. Il est vrai que je ne sais toujours pas à quoi m'attendre ni qui est réellement le roi, mais je trouve l'explicitation un peu facile, même si elle est recherchée.
Si en globalité j'ai aimé ce tome, le point noir qui m'a encore dérangée est la schizophrénie des personnages. Non mais c'est vrai ! Je pensais vraiment que ça s'arrangerait dans la suite, mais non, c'est même peut-être pire ! Y'a pas une page où ils ne parlent pas tout seuls, soit dans leurs têtes, soit tout haut. Surtout que des fois, il suffisait juste de faire passer cela dans le narratif ou bien dialogue, mais pas en pensée. Peut-être que je m'explique mal, mais en tout cas, ça m'a un peu gâché la lecture.
Cependant, l'effet angoissant, glauque et vraiment dégueulasse est toujours bien présent et je suis contente que l'auteur soit resté dans la même optique. En parlant de l'auteur.... il n'aurait pas un souci de supériorité ? Non parce que appeler son personnage comme lui, c'est à se poser des questions...
En résumé, mon avis global est positif, dans le sens où le côté angoisse constante est toujours bien développé et où l'on a du mal à lâcher le livre, tant on veut savoir ce qu'il va arriver par la suite. Cependant, le côté schizophrène m'a encore une fois dérangée, surtout que pour le coup, il n'était pas réellement utile. La fin me pousse à lire la suite, car j'avoue que je ne m'attendais pas à ce genre de retournement de situation qui m'a bien surprise ! À mon avis, le suspense et le stress vont monter crescendo dans la suite, et je suis vraiment curieuse de savoir ce que l'auteur va encore inventer !
* Je remercie les éditions Lumen et Emily pour m'avoir permis de lire ce tome 2 *
SORTIE LE 6 NOVEMBRE 2014
* Je remercie les éditions Lumen et Emily pour m'avoir permis de lire ce tome 2 *
SORTIE LE 6 NOVEMBRE 2014
Passionnée par les histoires d’épouvante, une jeune fille décide d’enquêter sur le jeu du roi qui vient de décimer une trentaine d’élèves du lycée de Tamaoka. Au cours de ses recherches, elle se retrouve dans une autre école en ruines, où elle découvre un carnet rédigé quelques mois auparavant par une certaine Natsuko Honda…
Car un an plus tôt, la machiavélique Natsuko de King’s Game Extreme est encore une lycéenne innocente, follement amoureuse de son partenaire d’athlétisme, Kentarô. Mais le jeu du roi va s’abattre sur sa classe et, pour sauver son petit ami, la jeune fille sera prête à tout… même à vendre son âme. Avec King’s Game Spiral, remontez le temps et découvrez la descente aux enfers de la première héroïne féminine du plus maléfique des jeux ! |
LUMEN ÉDITIONS - 352 PAGES - NOBUAKI KANAZAWA
J'étais assez pressée de lire la suite de toutes ces aventures plus glauques et compliquées les unes que les autres. Je dois avouer que même si tous les événements commencent à être un peu répétitifs, parce que le jeu du roi reste le jeu du roi, cela reste tout de même très addictif, et c'est une nouvelle fois un tome qui se lit très vite !
Passionnée par les histoires d'épouvante, une jeune fille décide de s'intéresser au fameux jeu du roi. Déterminée à en savoir plus, et surtout comprendre tout ce qui s'est passé autour, elle retourne sur les lieux d'un des drames. Là-bas, elle tombe sur un mystérieux journal, écrit par une certaine Natsuko Honda, quelques mois auparavant. En effet, cette dernière a vécu le jeu du roi un an plus tôt. Comment une lycéenne innocente va se transformer en une personne machiavélique ? Comment ce fameux jeu du roi peut à se point changer la personnalité de jeunes qui n'ont rien demandé ?
Le jeu du roi, vous commencez à le connaître, tout comme moi. Une classe reçoit un jour un message mystérieux, où tous les élèves doivent se prêter à ces défis. Si l'un d'eux ne suit pas cette unique règle, la sentence est irrévocable : la mort. Mais pas une mort douce, non, non. Décapitation, démembrement, « suicide ». Eh oui, le roi est dur, le roi est cruel. Et cette fois-ci, c'est Natsuko qui en fait les frais !
Même si j'aime beaucoup cet univers qui fiche pas mal de frissons et qui rend accro malgré l'horreur qui en découle, ce tome 3 est un peu en-dessous des précédents. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n'ai pas réussi à m'attacher plus que cela à Natsuko, que j'ai trouvé trop changeante. Certes, elle est prête à tout pour sauver son amoureux, mais elle change de personnalité trop souvent, à croire qu'elle a un complexe. Si dans une page elle est adorable et réfléchie, la suivante elle est sadique et n'a plus rien de mignon. Je suis d'accord que ce jeu change les gens, mais on se rend compte au fil du livre, qu'elle cachait en fait une sacré part d'ombre en elle, qui n'est pas agréable à découvrir. Elle est assez sadique, et son changement ne m'a pas forcément aidée à l'apprécier.
En plus de cela, lorsque le récit de ce nouveau jeu démarre, j'avais l'impression de l'avoir déjà vu, déjà lu. C'était une sensation assez bizarre et déconcertante. Vous allez me dire : oui, c'est normal, les sentences sont vraisemblablement les mêmes à chaque fois, mais ce n'est pas cela qui m'a dérangée. Je ne sais pas comment expliquer, mais j'avais l'impression d'avoir déjà eu l'aventure de cette classe dans un autre des tomes, mais d'un autre point de vue, du coup, ça m'a assez déstabilisée.
Cela ne m'a pourtant pas empêchée de continuer ma lecture, car comme je le disais plus haut, c'est très addictif et on a du mal à lâcher le roman, car on veut savoir la fin, même si on a déjà une idée de la tournure qu'elle va prendre. C'est aussi en cela que l'auteur est doué : parce que même si on connaît plus ou moins la fin, il arrive à nous happer pour continuer.
Le personnage que j'ai le plus apprécié, c'est bien Maï. C'est la pire peste de l'histoire, la plus méchante, la plus vicieuse, la plus sadique, et pourtant... elle ne se cache pas derrière un visage avenant. Elle est elle-même, fait toujours les choses par devant et non par derrière, prévient de ce qu'elle va faire. Mais surtout, ce qu'elle veut, c'est survivre, même si elle doit tuer ses collègues. Au début, il est vrai que je la détestais, mais quand j'ai vu qu'elle restait elle, je me suis plus intéressée à elle qu'à Natsuko.
Passionnée par les histoires d'épouvante, une jeune fille décide de s'intéresser au fameux jeu du roi. Déterminée à en savoir plus, et surtout comprendre tout ce qui s'est passé autour, elle retourne sur les lieux d'un des drames. Là-bas, elle tombe sur un mystérieux journal, écrit par une certaine Natsuko Honda, quelques mois auparavant. En effet, cette dernière a vécu le jeu du roi un an plus tôt. Comment une lycéenne innocente va se transformer en une personne machiavélique ? Comment ce fameux jeu du roi peut à se point changer la personnalité de jeunes qui n'ont rien demandé ?
Le jeu du roi, vous commencez à le connaître, tout comme moi. Une classe reçoit un jour un message mystérieux, où tous les élèves doivent se prêter à ces défis. Si l'un d'eux ne suit pas cette unique règle, la sentence est irrévocable : la mort. Mais pas une mort douce, non, non. Décapitation, démembrement, « suicide ». Eh oui, le roi est dur, le roi est cruel. Et cette fois-ci, c'est Natsuko qui en fait les frais !
Même si j'aime beaucoup cet univers qui fiche pas mal de frissons et qui rend accro malgré l'horreur qui en découle, ce tome 3 est un peu en-dessous des précédents. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n'ai pas réussi à m'attacher plus que cela à Natsuko, que j'ai trouvé trop changeante. Certes, elle est prête à tout pour sauver son amoureux, mais elle change de personnalité trop souvent, à croire qu'elle a un complexe. Si dans une page elle est adorable et réfléchie, la suivante elle est sadique et n'a plus rien de mignon. Je suis d'accord que ce jeu change les gens, mais on se rend compte au fil du livre, qu'elle cachait en fait une sacré part d'ombre en elle, qui n'est pas agréable à découvrir. Elle est assez sadique, et son changement ne m'a pas forcément aidée à l'apprécier.
En plus de cela, lorsque le récit de ce nouveau jeu démarre, j'avais l'impression de l'avoir déjà vu, déjà lu. C'était une sensation assez bizarre et déconcertante. Vous allez me dire : oui, c'est normal, les sentences sont vraisemblablement les mêmes à chaque fois, mais ce n'est pas cela qui m'a dérangée. Je ne sais pas comment expliquer, mais j'avais l'impression d'avoir déjà eu l'aventure de cette classe dans un autre des tomes, mais d'un autre point de vue, du coup, ça m'a assez déstabilisée.
Cela ne m'a pourtant pas empêchée de continuer ma lecture, car comme je le disais plus haut, c'est très addictif et on a du mal à lâcher le roman, car on veut savoir la fin, même si on a déjà une idée de la tournure qu'elle va prendre. C'est aussi en cela que l'auteur est doué : parce que même si on connaît plus ou moins la fin, il arrive à nous happer pour continuer.
Le personnage que j'ai le plus apprécié, c'est bien Maï. C'est la pire peste de l'histoire, la plus méchante, la plus vicieuse, la plus sadique, et pourtant... elle ne se cache pas derrière un visage avenant. Elle est elle-même, fait toujours les choses par devant et non par derrière, prévient de ce qu'elle va faire. Mais surtout, ce qu'elle veut, c'est survivre, même si elle doit tuer ses collègues. Au début, il est vrai que je la détestais, mais quand j'ai vu qu'elle restait elle, je me suis plus intéressée à elle qu'à Natsuko.
En résumé, un tome 3 où je ressors assez mitigée. J'ai passé un bon moment, ça se lit extrêmement vite, mais c'était un peu répétitif, dans le sens où j'avais l'impression de revoir un des précédents tomes, mais d'un autre point de vue. Le personnage de Natsuko m'a agacée par son changement soudain de comportement, mais celui de Maï a contrebalancé la chose. Je suis tout de même curieuse de lire la suite, parce que malgré tout, c'est une série très addictive et bien menée par l'auteur.
* Je remercie Emily et Lumen pour leur confiance ! *
* Je remercie Emily et Lumen pour leur confiance ! *
La fin du King’s Game approche ! Cette fois, le défi diabolique lancé tous les soirs à minuit n’est plus seulement réservé à une poignée de malheureux, mais s’adresse aux lycéens du pays tout entier… Le reste de la nation suit les événements à la télévision, où défilent les messages abjects du roi.
Lorsque le premier ordre tombe – tous les lycéens de la préfecture de Hiroshima sont sommés sous peine de mort de rejoindre en moins de 24 heures la région voisine d’Okayama –, trois amis décident de s’y plier. Mais pour Tomohisa, Shûichi et Yuka, qui croient à une simple plaisanterie, c’est surtout l’occasion de sécher les cours. Jusqu’à ce que la terrible sanction s’abatte sur les réfractaires… La menace est claire : des dizaines de milliers d’adolescents sont bel et bien en danger de mort ! Nos jeunes héros sauront-ils résoudre l’énigme du jeu du roi afin de parvenir à survivre et à empêcher les massacres ? Dans ce nouvel opus de King’s Game, l’enjeu monte encore d’un cran. Cette fois, c’est une véritable apocalypse qui s’annonce ! |
LUMEN ÉDITIONS - 413 PAGES - NOBUAKI KANAZAWA
J'étais pressée de poursuivre cette série, car l'ambiance y est toujours assez oppressante et l'intrigue tient en haleine du début à la fin. Et je dois dire que ce tome-ci est mon préféré, car au lieu d'avoir une seule classe qui fait le jeu du roi, cela devient national, et tous les jeunes d'un pays doivent y participer. Ça ajoute encore plus de suspense, et les jeux sont tous prenants. En plus de cela, cette lecture était une lecture commune avec mon amie April, the Seven, raison de plus de passer de bons moments !
Le jeu du roi a évolué. Cette fois, la personne qui se trouve derrière a décidé d'intégrer une nouvelle règle : tous les lycéens du pays doivent y jouer, et non plus une seule classe. Ce jeu devient national, avec des causes plus grandes que dans les précédents tomes. Cette fois, la politique est mise en avant, et les adultes sont aussi voués à y jouer malgré eux. Ils doivent faire le maximum pour sauver cette population qui est vouée à mourir, mais ils ne savent pas comment s'y prendre. Tomohisa fait partie de ces jeunes qui doivent prendre part au jeu. Même s'il n'y croit pas au début, il est vite mis au pied du mur : il doit participer, au risque de mourir d'une mort atroce.
Comme dit plus haut, j'ai vraiment aimé ce quatrième opus. Le fait que ce soit passé au national est l'une de ces raisons. Ça ajoute quelque chose en plus, un suspense encore plus tenace, bien que présent dans les autres tomes. Ici, toute la population peut mourir, sur un simple ordre du roi. Si les ordres sont bien différents des autres, la tuerie, le sang et la peur sont bels et bien présents. On craint pour chacun des personnages, même si on ne les porte pas forcément dans nos cœurs. Mais c'est ici que l'auteur est doué : il instaure un sentiment de pitié qui dure tout le long, même pour ceux qui ont des idées violentes.
Néanmoins, j'ai trouvé que vers le milieu du livre, ça commençait un peu à piétiner, et que cela devenait répétitif. En effet, l'un des ordres dure trop longtemps à mon goût. Les personnages souffrent, le côté psychologique est encore plus présent et prégnant, mais j'ai trouvé que l'auteur essayait de faire durer les choses. Comme s'il prenait plaisir à le faire. Et de ce fait, les personnages tournaient un peu en rond et pensaient toujours la même chose. Mais le dernier ordre rattrape un peu ce sentiment, avec encore quelque chose de nouveau, qui nous replonge dans cette histoire macabre et qui donne des sueurs froides.
Cependant, un point me gêne un peu. Certes, on sait grâce au préquelle d'où sort ce jeu du roi et comment les élèves visés sont touchés, néanmoins, il y a toujours ce côté flou de savoir comment cela fonctionne. Je m'explique : le jeu du roi se passe par textos. Jusque-là, rien de bien particulier. Néanmoins, dès qu'un jeune n'a pas participé, il est tué. Mais comment le roi est au courant de qui a joué ou non ? Et comment les jeunes font pour mourir dans de telles souffrances ? Il n'y a pas vraiment d'explications de ce côté, même si à la fin, nous avons certaines réponses, l'intrigue principale reste trop dans le flou pour moi. Bien sûr, c'est une série qui tient en haleine, on dévore les pages sans s'en rendre compte, mais il y a encore plein de questions sans réponse. Il y a aussi certains mots et gestes qui m'ont choquée. Surtout un en particulier, quand Shûishi, l'amie de Tomohisa avoue avoir fait quelque chose d'horrible, et que Tomohisa reste stoïque, et ne réagit pas. Moi, à sa place, j'aurais été dans une telle colère, que j'aurais voulu me venger !
Mais au-delà de cette histoire macabre et sanglante, j'ai l'impression que l'auteur veut aussi faire passer un message. Que les choix d'une personne peuvent changer le court du temps, faire perdre de vue la gentillesse qui nous habite face à des situations difficiles de la vie courante.
Le jeu du roi a évolué. Cette fois, la personne qui se trouve derrière a décidé d'intégrer une nouvelle règle : tous les lycéens du pays doivent y jouer, et non plus une seule classe. Ce jeu devient national, avec des causes plus grandes que dans les précédents tomes. Cette fois, la politique est mise en avant, et les adultes sont aussi voués à y jouer malgré eux. Ils doivent faire le maximum pour sauver cette population qui est vouée à mourir, mais ils ne savent pas comment s'y prendre. Tomohisa fait partie de ces jeunes qui doivent prendre part au jeu. Même s'il n'y croit pas au début, il est vite mis au pied du mur : il doit participer, au risque de mourir d'une mort atroce.
Comme dit plus haut, j'ai vraiment aimé ce quatrième opus. Le fait que ce soit passé au national est l'une de ces raisons. Ça ajoute quelque chose en plus, un suspense encore plus tenace, bien que présent dans les autres tomes. Ici, toute la population peut mourir, sur un simple ordre du roi. Si les ordres sont bien différents des autres, la tuerie, le sang et la peur sont bels et bien présents. On craint pour chacun des personnages, même si on ne les porte pas forcément dans nos cœurs. Mais c'est ici que l'auteur est doué : il instaure un sentiment de pitié qui dure tout le long, même pour ceux qui ont des idées violentes.
Néanmoins, j'ai trouvé que vers le milieu du livre, ça commençait un peu à piétiner, et que cela devenait répétitif. En effet, l'un des ordres dure trop longtemps à mon goût. Les personnages souffrent, le côté psychologique est encore plus présent et prégnant, mais j'ai trouvé que l'auteur essayait de faire durer les choses. Comme s'il prenait plaisir à le faire. Et de ce fait, les personnages tournaient un peu en rond et pensaient toujours la même chose. Mais le dernier ordre rattrape un peu ce sentiment, avec encore quelque chose de nouveau, qui nous replonge dans cette histoire macabre et qui donne des sueurs froides.
Cependant, un point me gêne un peu. Certes, on sait grâce au préquelle d'où sort ce jeu du roi et comment les élèves visés sont touchés, néanmoins, il y a toujours ce côté flou de savoir comment cela fonctionne. Je m'explique : le jeu du roi se passe par textos. Jusque-là, rien de bien particulier. Néanmoins, dès qu'un jeune n'a pas participé, il est tué. Mais comment le roi est au courant de qui a joué ou non ? Et comment les jeunes font pour mourir dans de telles souffrances ? Il n'y a pas vraiment d'explications de ce côté, même si à la fin, nous avons certaines réponses, l'intrigue principale reste trop dans le flou pour moi. Bien sûr, c'est une série qui tient en haleine, on dévore les pages sans s'en rendre compte, mais il y a encore plein de questions sans réponse. Il y a aussi certains mots et gestes qui m'ont choquée. Surtout un en particulier, quand Shûishi, l'amie de Tomohisa avoue avoir fait quelque chose d'horrible, et que Tomohisa reste stoïque, et ne réagit pas. Moi, à sa place, j'aurais été dans une telle colère, que j'aurais voulu me venger !
Mais au-delà de cette histoire macabre et sanglante, j'ai l'impression que l'auteur veut aussi faire passer un message. Que les choix d'une personne peuvent changer le court du temps, faire perdre de vue la gentillesse qui nous habite face à des situations difficiles de la vie courante.
En résumé, c'est un tome qui m'a beaucoup plu, malgré quelques faiblesses, et qui reste celui que j'ai, pour le moment, préféré dans la série. La menace nationale ajoute encore plus de suspense dans cette série, qu'on commence à connaître. Le roi voit grand, et veut faire participer toute une population, au risque que celle-ci ne meurt petit à petit. Certes, quelques points m'ont gênée lors de ma lecture, ce qui ne m'a pas empêchée, une nouvelle fois, de dévorer ce tome 4. Il me tarde de lire la suite, et surtout, j'espère enfin avoir toutes ces réponses aux questions que j'ai encore.
* Je remercie Emily et Lumen pour leur confiance ! *
* Je remercie Emily et Lumen pour leur confiance ! *