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Des femmes sont enlevées les unes après les autres. Leur bourreau, « l’homme à la porcelaine », les séquestre avant de leur faire subir l’innommable. Andrew White, jeune enquêteur succédant à son père assassiné, se retrouve propulsé à la tête de cette enquête qui prend un tour étrange quand les victimes sont découvertes avec des numéros gravés sur la peau. Des tatouages qui, telle la marque des ténèbres, rappellent ceux des camps nazis. Plus effrayant encore, ces crimes ressemblent à une affaire non classée qui s’est déroulée trente ans plus tôt. Andrew White doit tout faire pour arrêter le tueur psychopathe. Il ne se doute pas que leurs destins sont intimement liés… Un bourreau impitoyable, un héritage macabre entre vengeance et oubli.
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city éditions - 381 pages - damien leban
Une nouvelle fois, je tiens à remercier Eric Poupet, pour m'avoir permis de lire ce livre et d'avoir fait une belle découverte. La couverture m'a de suite attirée, ainsi que le résumé. L'histoire semblait très sombre, glauque et angoissante, et c'est ce que j'ai ressenti lors de cette lecture.
Dans une petite ville, le calme cède rapidement la place au désastre. Des femmes sont enlevées et ensuite retrouvées mortes dans un état déplorable. Les sévices qu'elles reçoivent sont innommables, cruels et intolérables pour cette petite bourgade. Andrew White, qui succède à son défunt père, se voit être sur le devant de l'enquête, en compagnie d'autres enquêteurs. Et si ces enlèvements étaient tous liés à une sombre affaire, s'était passée trente ans plus tôt ? Et si le meurtrier avait un lien avec l'agent White ?
Dans ce roman, nous suivons plusieurs points de vue, qui apportent beaucoup au récit, et nous font passer du calme à l'horreur des femmes enlevées. Chaque personnage a son importance dans le récit, ce qui le rend d'autant plus intéressant et addictif. L'auteur a une façon de raconter les événements à tel point que plusieurs fois, j'ai eu l'estomac retourné, tant les descriptions font parfois mal et dont on imagine bien les scènes et répercussions qu'elles peuvent avoir sur les personnages.
Même si j'ai découvert qui était le meurtrier dès le début du livre, l'auteur a réussi tout de même à me mettre le doute à plusieurs reprises, mais aussi me surprendre dans l'enquête et l'intrigue, qui sont vraiment très complètes. Même le fait de savoir qui est le tueur, ne m'a pas empêchée d'apprécier ma lecture et de dévorer le livre. Je pense que justement, le côté plusieurs points de vue, permet d'accentuer encore plus sur le côté angoissant du récit. Car les chapitres, en plus d'être courts, s'arrêtent à un moment important, une révélation, une avancée dans l'enquête, qui nous poussent à aller voir plus loin. Et étant donné que l'auteur reprend l'un des personnages quatre ou cinq chapitres plus loin, on se retrouve à lire une cinquantaine de pages d'affilé, rien que pour arriver à cette personne-là, pour voir comment elle va s'en sortir. En fait, ce roman est un cercle vicieux : trop pressé de voir comment vont se dérouler les choses, on continue, sans pouvoir s'arrêter.
Il est vrai qu'en le commençant, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Je ne dirais pas que j'y allais à l'aveuglette, mais... le résumé était encore un peu trop flou pour moi, et heureusement ! Parce qu'ainsi, j'ai pu être surprise à plusieurs reprises, ce qui me plaît beaucoup. Même s'il est vrai que je ne me suis pas attachée à un personnage en particulier (sauf peut-être Julia, que j'ai adoré suivre), la lecture s'est faite vraiment toute seule. Le côté bien angoissant était présent durant tout le livre et du coup, ce côté addictif venait s'y greffer.
Dans une petite ville, le calme cède rapidement la place au désastre. Des femmes sont enlevées et ensuite retrouvées mortes dans un état déplorable. Les sévices qu'elles reçoivent sont innommables, cruels et intolérables pour cette petite bourgade. Andrew White, qui succède à son défunt père, se voit être sur le devant de l'enquête, en compagnie d'autres enquêteurs. Et si ces enlèvements étaient tous liés à une sombre affaire, s'était passée trente ans plus tôt ? Et si le meurtrier avait un lien avec l'agent White ?
Dans ce roman, nous suivons plusieurs points de vue, qui apportent beaucoup au récit, et nous font passer du calme à l'horreur des femmes enlevées. Chaque personnage a son importance dans le récit, ce qui le rend d'autant plus intéressant et addictif. L'auteur a une façon de raconter les événements à tel point que plusieurs fois, j'ai eu l'estomac retourné, tant les descriptions font parfois mal et dont on imagine bien les scènes et répercussions qu'elles peuvent avoir sur les personnages.
Même si j'ai découvert qui était le meurtrier dès le début du livre, l'auteur a réussi tout de même à me mettre le doute à plusieurs reprises, mais aussi me surprendre dans l'enquête et l'intrigue, qui sont vraiment très complètes. Même le fait de savoir qui est le tueur, ne m'a pas empêchée d'apprécier ma lecture et de dévorer le livre. Je pense que justement, le côté plusieurs points de vue, permet d'accentuer encore plus sur le côté angoissant du récit. Car les chapitres, en plus d'être courts, s'arrêtent à un moment important, une révélation, une avancée dans l'enquête, qui nous poussent à aller voir plus loin. Et étant donné que l'auteur reprend l'un des personnages quatre ou cinq chapitres plus loin, on se retrouve à lire une cinquantaine de pages d'affilé, rien que pour arriver à cette personne-là, pour voir comment elle va s'en sortir. En fait, ce roman est un cercle vicieux : trop pressé de voir comment vont se dérouler les choses, on continue, sans pouvoir s'arrêter.
Il est vrai qu'en le commençant, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Je ne dirais pas que j'y allais à l'aveuglette, mais... le résumé était encore un peu trop flou pour moi, et heureusement ! Parce qu'ainsi, j'ai pu être surprise à plusieurs reprises, ce qui me plaît beaucoup. Même s'il est vrai que je ne me suis pas attachée à un personnage en particulier (sauf peut-être Julia, que j'ai adoré suivre), la lecture s'est faite vraiment toute seule. Le côté bien angoissant était présent durant tout le livre et du coup, ce côté addictif venait s'y greffer.
En résumé, un univers bien maîtrisé, même si par moments j'ai eu des petits coups de mou, une histoire angoissante, différents points de vue qui apporte une petite touche en plus, une intrigue bien pensée et qui surprend. Le tueur n'y va pas de main morte, et l'auteur en joue beaucoup dans ses descriptions, ce qui nous offre des maux d'estomac et des haut-le-cœur à plusieurs reprises. Un policier que j'ai apprécié lire et dont je suis curieuse de retrouver la plume de l'auteur dans un autre de ses romans !
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