Ils incarnent l'avenir de l'Humanité.
Six garçons doivent être sélectionnés pour le programme Genesis, l'émission de speed-dating la plus folle de l'Histoire, destinée à fonder la première colonie humaine sur Mars. Les élus seront choisis parmi des millions de candidats pour leurs compétences, leur courage et, bien sûr, leur potentiel de séduction. Ils dissimulent un lourd passé. Le courage suffit-il pour partir en aller simple vers un monde inconnu ? La peur, la culpabilité ou la folie ne sont-elles pas plus puissantes encore ? Le programme Genesis a-t-il dit toute la vérité aux spectateurs sur les " héros de l'espace " ? Ils doivent faire le choix de leur vie, avant qu'il ne soit trop tard. |
EDITIONS robert laffont - 300 PAGES - victor dixen
Quand j'ai su qu'une préquelle allait sortir sur les garçons de la série, j'étais très curieuse de la découvrir, car ainsi on allait enfin pouvoir mieux les connaître. Alors je n'ai pas hésité un seul instant à l'acheter aux Imaginales et le dévorer dans la foulée. Et j'ai franchement bien aimé. Même si je me suis plus attachée à certains d'entre eux, il n'empêche que ça permet de mieux comprendre leur réaction en compagnie des filles.
Pour le prochain programme Génésis qui va être mis en place, la production cherche 6 garçons qui sont prêts à quitter leur vie actuelle, qui n'ont plus personne qui les attend, pour partir sur Mars et repeupler cette planète. Plusieurs millions de garçons se sont présentés, mais seuls 6 en sont ressortis : Mozart, Tao, Samson, Alexeï, Kenji et Marcus. 6 garçons, de 6 pays différents et avec 6 passés opposés. Ils ne se connaissent pas, et pourtant, ils vont devoir cohabiter ensemble durant des mois et passer des entraînements qui leur permettront de survivre sur Mars. Mais qui sont-ils réellement ?
J'aimerais vous faire un résumé de chaque candidat, mais en voulant le faire, je me rends compte que je risque vraiment de spoiler leur passé et ce serait vraiment dommage, parce qu'ils sont à découvrir seuls, pour avoir son propre avis. Tout ce que je peux vous dire c'est qu'évidemment, j'ai eu mes préférences, mais que chacun est intéressant à connaître et à développer.
Ils ont chacun leur faiblesse, leur force, leur caractère, leur passé, mais au fond, on se rend compte qu'ils ont plusieurs points communs et que plus rien ne les retient sur Terre. Mais je dois avouer que j'ai été énormément touchée par trois d'entre eux : tout d'abord Tao, qu'on connaît dans la série originale pour être l'handicapé du groupe. On apprend pourquoi il a perdu l'usage de ses jambes, et oui, j'ai eu ma larme à l’œil, tant c'était touchant et triste. La relation qu'il avait avec l'un des personnages central de sa vie était si belle mais aussi si triste, qu'on ne peut s'empêcher d'être toucher à notre tour.
Ensuite, Samson. Son histoire est tellement touchante, qu'une fois encore on a beaucoup de peine pour cet enfant qui perd tout d'un seul coup : ses repaires, celle qu'il aime et bien d'autres choses encore. Alors le programme Genesis est quelque chose pour lui de salvateur. Loin de tous ses soucis, il pourra repartir de zéro et se créer en quelque sorte une nouvelle vie qui pourrait mieux lui correspondre, et loin de tous ces préjugés qui lui ont valu un douloureux passé.
Pour finir avec ceux qui m'ont touchée, Kenji. Je crois d'ailleurs qu'il se place en pôle-position. Malheureusement, ce qu'il a vécu, ça pourrait très bien arriver dans la vraie vie, et c'est ça qui m'a donné les frissons quand j'ai découvert qui il était vraiment. Je dois dire que l'auteur a vraiment fait un super travail de ce côté-là, car tout semblait si réel, que Kenji devenait, de ce fait, plus qu'un personnage de fiction. Plusieurs fois j'ai eu envie de le prendre dans mes bras, lui dire que tout allait s'arranger, mais plusieurs fois, j'ai été frustrée de ne pas le faire !
Concernant les trois autres garçons, je n'ai pas forcément envie de vous dire pourquoi j'ai moins accroché, parce que si vous êtes comme moi quand vous lisez un avis, vous vous arrêtez sur le « négatif », alors qu'en fait, ils méritent tout autant d'être appréciés par d'autres. Juste que certains de leur comportement ou de leur façon d'être et de vivre ne m'a tout simplement pas plu. Mais comme on dit, personne ne se ressemble, personne n'est parfait, et on ne peut pas aimer tout le monde !
Pour le prochain programme Génésis qui va être mis en place, la production cherche 6 garçons qui sont prêts à quitter leur vie actuelle, qui n'ont plus personne qui les attend, pour partir sur Mars et repeupler cette planète. Plusieurs millions de garçons se sont présentés, mais seuls 6 en sont ressortis : Mozart, Tao, Samson, Alexeï, Kenji et Marcus. 6 garçons, de 6 pays différents et avec 6 passés opposés. Ils ne se connaissent pas, et pourtant, ils vont devoir cohabiter ensemble durant des mois et passer des entraînements qui leur permettront de survivre sur Mars. Mais qui sont-ils réellement ?
J'aimerais vous faire un résumé de chaque candidat, mais en voulant le faire, je me rends compte que je risque vraiment de spoiler leur passé et ce serait vraiment dommage, parce qu'ils sont à découvrir seuls, pour avoir son propre avis. Tout ce que je peux vous dire c'est qu'évidemment, j'ai eu mes préférences, mais que chacun est intéressant à connaître et à développer.
Ils ont chacun leur faiblesse, leur force, leur caractère, leur passé, mais au fond, on se rend compte qu'ils ont plusieurs points communs et que plus rien ne les retient sur Terre. Mais je dois avouer que j'ai été énormément touchée par trois d'entre eux : tout d'abord Tao, qu'on connaît dans la série originale pour être l'handicapé du groupe. On apprend pourquoi il a perdu l'usage de ses jambes, et oui, j'ai eu ma larme à l’œil, tant c'était touchant et triste. La relation qu'il avait avec l'un des personnages central de sa vie était si belle mais aussi si triste, qu'on ne peut s'empêcher d'être toucher à notre tour.
Ensuite, Samson. Son histoire est tellement touchante, qu'une fois encore on a beaucoup de peine pour cet enfant qui perd tout d'un seul coup : ses repaires, celle qu'il aime et bien d'autres choses encore. Alors le programme Genesis est quelque chose pour lui de salvateur. Loin de tous ses soucis, il pourra repartir de zéro et se créer en quelque sorte une nouvelle vie qui pourrait mieux lui correspondre, et loin de tous ces préjugés qui lui ont valu un douloureux passé.
Pour finir avec ceux qui m'ont touchée, Kenji. Je crois d'ailleurs qu'il se place en pôle-position. Malheureusement, ce qu'il a vécu, ça pourrait très bien arriver dans la vraie vie, et c'est ça qui m'a donné les frissons quand j'ai découvert qui il était vraiment. Je dois dire que l'auteur a vraiment fait un super travail de ce côté-là, car tout semblait si réel, que Kenji devenait, de ce fait, plus qu'un personnage de fiction. Plusieurs fois j'ai eu envie de le prendre dans mes bras, lui dire que tout allait s'arranger, mais plusieurs fois, j'ai été frustrée de ne pas le faire !
Concernant les trois autres garçons, je n'ai pas forcément envie de vous dire pourquoi j'ai moins accroché, parce que si vous êtes comme moi quand vous lisez un avis, vous vous arrêtez sur le « négatif », alors qu'en fait, ils méritent tout autant d'être appréciés par d'autres. Juste que certains de leur comportement ou de leur façon d'être et de vivre ne m'a tout simplement pas plu. Mais comme on dit, personne ne se ressemble, personne n'est parfait, et on ne peut pas aimer tout le monde !
En résumé, cette préquelle est un gros plus pour la série qui est déjà une magnifique découverte pour moi. Cette fois, nous ne sommes pas du point de vue féminin, mais bien masculin. Nous suivons chacun des garçons, qui, en quelque sorte, ont leur moment de gloire à eux, sur une soixantaine de pages. On apprend ainsi qui ils étaient avant de partir sur Mars, ce qu'ils ont vécu depuis leur enfance, et pourquoi ils sont ainsi. Donc pour ma part, je ne regrette absolument pas cette lecture et il me tarde vraiment d'avoir le tome 3 et le fin mot de l'histoire !
Six prétendantes d’un côté. Six prétendants de l’autre. Six minutes pour se rencontrer. L’éternité pour s’aimer. Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d’un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l’œil des caméras embarquées. Ils sont les prétendants du programme Genesis, l’émission de speed-dating la plus folle de l’Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars. Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l’une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l’amour. Elle a signé pour un aller sans retour. Même si le rêve vire au cauchemar, il est trop tard pour regretter.
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EDITIONS ROBERT LAFFONT (collection R) - 433 PAGES - VICTOR DIXEN
Quand j'ai su pour la première fois que Victor Dixen allait être édité dans la Collection R, j'étais heureuse : un auteur que j'apprécie particulièrement pour sa gentillesse, sa proximité avec ses lecteurs, et le fait qu'il soit dans une de mes collections préférées a été le point final pour que je craque. Je n'ai donc pas hésité un instant à me procurer son exemplaire aux Imaginales. À peine reçu, à peine lu et surtout... adoré ! J'avoue que je ne savais pas trop à quoi m'attendre, je ne m'étais pas plus que cela intéressée au résumé. Ça a été une très bonne surprise, avec un univers très bien maîtrisé et bien plus complexe que je ne l'imaginais.
Ils sont six filles et six garçons envoyés sur Mars, pour créer la première colonie humaine. Séparés par deux capsules, ils ne peuvent correspondre entre eux que six minutes par jour. Six minutes pour se connaître, six minutes pour s'apprécier, six minutes pour se détester, et six minutes pour décider avec quel garçon ou quelle fille ils comptent se marier au bout de plusieurs mois de voyage. Mais s'ils pensaient que ce serait un voyage qui leur permettrait de marquer l'histoire avec un grand H, ils risquent de tomber de haut quand ils apprendront la vraie raison de cet état médiatique, retransmis dans le monde entier, à travers les écrans terrestres.
Le roman est découpé en plusieurs points de vue. Tout d'abord celui de Léonor, une jeune fille brisée par la vie, à cause d'un événement traumatisant qu'elle a vécu dans son enfance. Un peu renfermée sur elle-même, elle n'en reste pas moins très forte et persévérante. Ce que j'ai aimé chez elle, c'est qu'elle est loin d'être parfaite : elle peut être adorable avec ses amies, comme elle peut aussi avoir des coups de sang sans prévenir, qui nous surprennent mais qui la déstabilisent aussi beaucoup. Elle a un lien très fort avec l'une des participantes, qui peut être brisé en quelques secondes, comme nous le montre bien l'auteur.
Les autres points de vue sont externes, comme on eu l'habitude de le voir avec « Le cas Jack Spark », ce qui m'a complètement conquise. Même s'il change totalement d'univers, Victor Dixen garde sa base d'écriture, sa façon à lui de raconter les choses. Bien que les univers soient diamétralement opposés, il n'en oublie pas la particularité qui fait qu'on s'attache à sa plume et à ses histoires. On suit donc le « hors-champs », quand on retrouve les organisateurs de ce jeu en direct, qui nous apprennent au fur et mesure qu'il ne faut pas se fier aux apparences, qu'elles peuvent à la fois être trompeuses mais aussi très dangereuses. Et le troisième point de vue concerne les rendez-vous entre les filles et les garçons, dans une capsule commune, séparée uniquement par une vitre en verre. Car en effet, une des règles est l'interdiction de se toucher, juste de se parler, et durant un temps très court.
En dehors de ces rencontres, ce qui m'a énormément plu, c'est le fait de se croire nous-même dans l'histoire, de se sentir à la place des personnages, d'être à ces fameux rendez-vous et de rencontrer, peut-être, notre grand amour. De participer à ce grand moment de l'histoire, d'avoir nous aussi envie de poser les pieds sur mars, bien que l'on sache ce qui les attend. Le fait d'être aussi dans les pensées de Léonor apporte un énorme plus, étant donné qu'on est au cœur de ses indécisions, de ses problèmes et de ses choix, parfois difficiles à prendre.
Je ne pensais vraiment pas aimer autant ce roman, bien que je partais très positive, aimant beaucoup cet auteur. Je me suis surprise à voir que cet univers était bien plus complexe qu'on ne le pense, à la simple lecture du résumé. Toujours avec beaucoup de facilité, il réussit à inclure un point politique qui prend une certaine importance, sans toutefois nous abrutir avec, mais qui a un lien très étroit avec le choix des producteurs de faire cette émission grandeur nature. Même si ce n'est pas un coup de cœur, il s'en rapproche dangereusement, et je ne doute pas que le second tome sera un cran au-dessus, avec beaucoup plus de tension, mais surtout des choix que devra faire Léonor, qui auront énormément d'impact sur sa nouvelle vie et qui pourrait mettre à mal ses relations avec ses coéquipiers.
Ils sont six filles et six garçons envoyés sur Mars, pour créer la première colonie humaine. Séparés par deux capsules, ils ne peuvent correspondre entre eux que six minutes par jour. Six minutes pour se connaître, six minutes pour s'apprécier, six minutes pour se détester, et six minutes pour décider avec quel garçon ou quelle fille ils comptent se marier au bout de plusieurs mois de voyage. Mais s'ils pensaient que ce serait un voyage qui leur permettrait de marquer l'histoire avec un grand H, ils risquent de tomber de haut quand ils apprendront la vraie raison de cet état médiatique, retransmis dans le monde entier, à travers les écrans terrestres.
Le roman est découpé en plusieurs points de vue. Tout d'abord celui de Léonor, une jeune fille brisée par la vie, à cause d'un événement traumatisant qu'elle a vécu dans son enfance. Un peu renfermée sur elle-même, elle n'en reste pas moins très forte et persévérante. Ce que j'ai aimé chez elle, c'est qu'elle est loin d'être parfaite : elle peut être adorable avec ses amies, comme elle peut aussi avoir des coups de sang sans prévenir, qui nous surprennent mais qui la déstabilisent aussi beaucoup. Elle a un lien très fort avec l'une des participantes, qui peut être brisé en quelques secondes, comme nous le montre bien l'auteur.
Les autres points de vue sont externes, comme on eu l'habitude de le voir avec « Le cas Jack Spark », ce qui m'a complètement conquise. Même s'il change totalement d'univers, Victor Dixen garde sa base d'écriture, sa façon à lui de raconter les choses. Bien que les univers soient diamétralement opposés, il n'en oublie pas la particularité qui fait qu'on s'attache à sa plume et à ses histoires. On suit donc le « hors-champs », quand on retrouve les organisateurs de ce jeu en direct, qui nous apprennent au fur et mesure qu'il ne faut pas se fier aux apparences, qu'elles peuvent à la fois être trompeuses mais aussi très dangereuses. Et le troisième point de vue concerne les rendez-vous entre les filles et les garçons, dans une capsule commune, séparée uniquement par une vitre en verre. Car en effet, une des règles est l'interdiction de se toucher, juste de se parler, et durant un temps très court.
En dehors de ces rencontres, ce qui m'a énormément plu, c'est le fait de se croire nous-même dans l'histoire, de se sentir à la place des personnages, d'être à ces fameux rendez-vous et de rencontrer, peut-être, notre grand amour. De participer à ce grand moment de l'histoire, d'avoir nous aussi envie de poser les pieds sur mars, bien que l'on sache ce qui les attend. Le fait d'être aussi dans les pensées de Léonor apporte un énorme plus, étant donné qu'on est au cœur de ses indécisions, de ses problèmes et de ses choix, parfois difficiles à prendre.
Je ne pensais vraiment pas aimer autant ce roman, bien que je partais très positive, aimant beaucoup cet auteur. Je me suis surprise à voir que cet univers était bien plus complexe qu'on ne le pense, à la simple lecture du résumé. Toujours avec beaucoup de facilité, il réussit à inclure un point politique qui prend une certaine importance, sans toutefois nous abrutir avec, mais qui a un lien très étroit avec le choix des producteurs de faire cette émission grandeur nature. Même si ce n'est pas un coup de cœur, il s'en rapproche dangereusement, et je ne doute pas que le second tome sera un cran au-dessus, avec beaucoup plus de tension, mais surtout des choix que devra faire Léonor, qui auront énormément d'impact sur sa nouvelle vie et qui pourrait mettre à mal ses relations avec ses coéquipiers.
En résumé, un premier tome qui tient en haleine, et qu'il est difficile de reposer une fois commencé. Une Léonor loin d'être parfaite, ce qui fait que l'on s'attache beaucoup à elle, par sa sincérité mais aussi ses points faibles, qui sont montrés au goût du jour. Un revers politique qui prend tout son sens une fois toutes les explications mises en exergue. Une productrice que l'on apprend à détester mais qu'on apprécie retrouver, car elle met beaucoup de piquant et de tension dans cette aventure. Je n'ai donc qu'une seule chose à vous dire : tentez l'expérience, envolez-vous pour Phobos en compagnie de Léonor & Cie. Vivez leurs aventures à leurs côtés, et ruez-vous dans votre librairie la plus proche le 11 juin ! Et moi, je n'ai qu'une hâte : arriver en novembre pour avoir la suite. Ça va être long... !
ILS CROYAIENT MAITRISER LEUR DESTIN.
Ils sont les douze pionniers du programme Genesis. Ils pensaient avoir tiré un trait sur leurs vies d’avant, pour devenir les héros de la plus fabuleuse des odyssées. En réalité, ils sont les victimes de la plus cruelle des machinations. ELLE CROYAIT MAITRISER SES SENTIMENTS Sur Mars, Léonor espérait trouver la gloire et, pourquoi pas, l’amour. Elle pensait pouvoir ouvrir son cœur sans danger. En réalité, elle a ouvert la boîte de Pandore du passé. MEME SI LES SOUVENIRS TOURNENT AU SUPPLICE, IL EST TROP TARD POUR OUBLIER. |
EDITIONS ROBERT LAFFONT (collection R) - 490 PAGES - VICTOR DIXEN
Il me tardait vraiment de lire cette suite-qui-était-censée-être-une-fin, car j'avais adoré le premier tome. Tout m'avait plu: le thème, les personnages, les personnalités, le suspense, l'angoisse, les cachotteries. Bref, tout ! J'ai mis un peu de temps à le lire – Montreuil oblige ! – mais j'ai pris autant de plaisir à le lire, voire plus. Même s'il est vrai que l'on connaît l'intrigue principale dès le premier tome, il n'empêche que l'auteur parvient avec brio à nous embarquer dans son aventure et qu'on a autant hâte que peur que les prétendants arrivent enfin sur Mars.
Léonor a enfin découvert ce que leur cachait Serena McBee et ce qu'elle avait réellement en tête. Alors qu'on pouvait penser que Léonor n'accepterait pas cette décision et lâcherait tout, on découvre une jeune femme déterminée à briser l'instigatrice de cette mascarade. Mais pour cela, elle devra braver le côté fourbe de sa patronne et montrer devant ces millions de téléspectateurs, un visage neutre, jovial, et surtout faire croire que tout va bien, que leur arrivée sur Phobos se fera sans leurre et qu'ils vivront encore longtemps. Mais pour cela, elle doit encore choisir le garçon avec qui elle veut fonder une famille, se marier et vivre, tout simplement.
Accompagnée de ses compagnons mis au courant des manigances de Serena, elle arrivera à relever la tête et trouver des solutions à leurs problèmes. Au fur et à mesure du tome, nous la découvrons encore plus motivée, sûre d'elle, et une aide extérieure inespérée pourrait bien faire pencher la balance. Mais que réserve encore Serena à ces jeunes qui ont juste demandé à vivre une expérience exceptionnelle, pas donnée à tout le monde ?
Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'une nouvelle fois, nous sommes embrigadés dans un cercle vicieux, où Serena tient le fil de l'histoire. Entre ses mains, la vie de plusieurs personnes et un ciseau qu'elle peut décider à tout moment d'utiliser pour les casser définitivement. Mais serait-elle prête à le faire, alors que sa carrière décolle et que tout peut lui retomber dessus ? Serait-elle prête à perdre cette popularité qui ne cesse de grandir pour son plaisir personnel ? Tout comme nos jeunes, elle doit faire des choix difficiles. Même si on la déteste et qu'on adore la haïr, on ne peut pas non plus s'empêcher de la comprendre (à un certain niveau, bien évidemment!). Même si l'on ne cautionne pas ses choix et décisions, on arrive à certains moments à avoir de la pitié pour elle, et qu'elle ne souffre pas trop. Avec ses mots, Victor Dixen arrive à nous conditionner pour entrer dans ce cercle vicieux et nous faire croire que nous aussi faisons partie de ce jeu. Ce qui, dans un sens, est un peu le cas : les descriptions sont tellement imagées, que l'on imagine bien leur situation et qu'on se croit vraiment dans cette capsule ou encore sur Mars.
L'intrigue, quant à elle, ne cesse de s'étoffer. Même si, comme je le dis plus haut, est connue assez rapidement, se complexifie vraiment. L'auteur a admirablement bien réussi à nous faire comprendre qu'il n'a pas encore tout dévoilé, qu'il reste plein de choses à découvrir, et nous prend à notre propre jeu. Quand on pensait qu'il n'y avait que deux tomes, on se retrouve avec une suite arrivés à la moitié de notre lecture. Quand on pense que tout peut s'arranger, il bouleverse les choses en mettant sur la table de nouvelles sous-intrigues, nous tenant en haleine jusqu'au bout.
Léonor a enfin découvert ce que leur cachait Serena McBee et ce qu'elle avait réellement en tête. Alors qu'on pouvait penser que Léonor n'accepterait pas cette décision et lâcherait tout, on découvre une jeune femme déterminée à briser l'instigatrice de cette mascarade. Mais pour cela, elle devra braver le côté fourbe de sa patronne et montrer devant ces millions de téléspectateurs, un visage neutre, jovial, et surtout faire croire que tout va bien, que leur arrivée sur Phobos se fera sans leurre et qu'ils vivront encore longtemps. Mais pour cela, elle doit encore choisir le garçon avec qui elle veut fonder une famille, se marier et vivre, tout simplement.
Accompagnée de ses compagnons mis au courant des manigances de Serena, elle arrivera à relever la tête et trouver des solutions à leurs problèmes. Au fur et à mesure du tome, nous la découvrons encore plus motivée, sûre d'elle, et une aide extérieure inespérée pourrait bien faire pencher la balance. Mais que réserve encore Serena à ces jeunes qui ont juste demandé à vivre une expérience exceptionnelle, pas donnée à tout le monde ?
Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'une nouvelle fois, nous sommes embrigadés dans un cercle vicieux, où Serena tient le fil de l'histoire. Entre ses mains, la vie de plusieurs personnes et un ciseau qu'elle peut décider à tout moment d'utiliser pour les casser définitivement. Mais serait-elle prête à le faire, alors que sa carrière décolle et que tout peut lui retomber dessus ? Serait-elle prête à perdre cette popularité qui ne cesse de grandir pour son plaisir personnel ? Tout comme nos jeunes, elle doit faire des choix difficiles. Même si on la déteste et qu'on adore la haïr, on ne peut pas non plus s'empêcher de la comprendre (à un certain niveau, bien évidemment!). Même si l'on ne cautionne pas ses choix et décisions, on arrive à certains moments à avoir de la pitié pour elle, et qu'elle ne souffre pas trop. Avec ses mots, Victor Dixen arrive à nous conditionner pour entrer dans ce cercle vicieux et nous faire croire que nous aussi faisons partie de ce jeu. Ce qui, dans un sens, est un peu le cas : les descriptions sont tellement imagées, que l'on imagine bien leur situation et qu'on se croit vraiment dans cette capsule ou encore sur Mars.
L'intrigue, quant à elle, ne cesse de s'étoffer. Même si, comme je le dis plus haut, est connue assez rapidement, se complexifie vraiment. L'auteur a admirablement bien réussi à nous faire comprendre qu'il n'a pas encore tout dévoilé, qu'il reste plein de choses à découvrir, et nous prend à notre propre jeu. Quand on pensait qu'il n'y avait que deux tomes, on se retrouve avec une suite arrivés à la moitié de notre lecture. Quand on pense que tout peut s'arranger, il bouleverse les choses en mettant sur la table de nouvelles sous-intrigues, nous tenant en haleine jusqu'au bout.
En résumé, ce tome 2 est une grande réussite pour moi. Encore meilleur que le premier (qui était déjà très, très bon), ce second opus parvient à nous surprendre encore plus. Des intrigues qui se mélangent à des sous-intrigues, des personnages hauts en couleurs, des bouleversements qui débarquent sans prévenir, une vie sur Mars qui est loin d'être un conte de fée, et une fin juste complètement horrible, qui nous fait douter de la fameuse phrase : « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. ». Un tome 3 que j'attends avec grande impatience et où, je suis sûre, l'auteur n'a pas fini de nous surprendre !!