Dans le comté de Berkeley en Caroline du Sud au milieu de l’année 1820, Angelique Beckett va faire une rencontre qui va bouleverser sa vie et celle de sa famille. L’indomptable demoiselle, habituée à la liberté campagnarde découvre qu’il existe d’autres mondes que le sien. La riche et noble famille britannique des Darcy de Hasbury fait une entrée fracassante dans son existence et, surtout, dans son coeur. Elle, qui a un lourd passé, va interpeller les nouveaux arrivants et, chacun à leur manière, ils vont lui montrer qu’elle est plus que ce qu’elle paraît être… et qu’elle a aussi droit au bonheur. Son présent et son avenir se jouent alors, pour le meilleur ou pour le pire ?
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valentina éditions - 384 pages - amandine weber
Depuis que j'ai lu « le cercle des confidentes », j'ai envie de tenter la romance historique, parce que l'époque traitée me fait rêver. Alors, quand j'ai vu que ce genre-là allait sortir chez Valentina, je n'ai eu aucun doute : je le voulais ! En plus, bien que la couverture soit simple, elle est vraiment très belle et attrayante avec ses couleurs qui se marient très bien entre elles.
Angelique Beckett est une jeune fille pleine de caractère, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui vit avec une mère acariâtre, qui ne vit que pour l'une de ses sœurs : Georgiana. Mrs Beckett semble détester Angelique, à un point que l'on imagine même pas. Elle ne cesse de la réprimander, de mettre ses points faibles en avant lorsqu'elles sont en bonne compagnie et ne daigne pas lui lancer un regard quand elle est près d'elle. Si dès le début, le ton est donné, j'ai beaucoup apprécié le fait qu'Angelique ne se renferme pas sur elle-même, qu'elle ne se plaint pas et qu'elle ne pleure pas à tort ou à travers. Au contraire, elle n'hésite pas à répondre à sa génitrice, lui lancer des piques et la contredire. Plus le roman avance, plus cette sensation de confiance en soi augmente et c'est avec plaisir qu'on voit son personnage grandir.
Lors d'une visite de courtoisie à la nouvelle famille qui vient de s'installer près de chez elle, Angelique va faire la rencontre d'une famille qui va chambouler sa vie. La famille Darcy va lui faire découvrir un monde qu'elle ignore, où cette fois-ci, elle verra qu'elle peut être importante, et qu'elle n'est pas une impertinente, comme sa mère le prétend.
Je vous avoue que cette chronique est l'une des plus difficiles à faire. Pas parce que je n'ai pas aimé, bien au contraire ! Plutôt parce que chaque action, chaque passage dans ce livre ont leur importance. Aucun temps mort, aucun moment où l'on se dit « pourquoi l'auteure a écrit ça ? ». Alors rester là sans rien dire est encore plus difficile que de lâcher tout ce que l'on veut faire connaître. Parce que l'auteure a une plume tellement magnifique qu'elle nous fait voyager en 1820 avec délice. On peut y retrouver leur façon de parler le langage très soutenu et très bien mené. Ou encore des secrets bien cachés, des révélations qui changent beaucoup de choses. Ou encore une très belle romance qui part sur un « je t'aime, moi non plus »
Tiens, parlons de cette romance ! (oui parce que quand même, c'est le thème de ce livre, hein!). Parfaite. Pas cucul. Avec du sarcasme, des sentiments naissants qui arrivent quand il faut, ni trop tôt, ni trop tard. Une relation qui partait sur de mauvaises bases, puis qui se transforme peu à peu en amitié voilée. Une amitié où chacun des deux personnages reste à sa place. Leurs us et coutumes les interdit trop de rapprochement, de toucher, de regards qui se perdent.
Dans ce roman, je suis complètement tombée sous le charme de James Darcy. Aux yeux de tous il paraît très conventionnel et proche des règles. Cependant, quand on regarde plus en profondeur et que l'auteure l'autorise, on y trouve un jeune Lord attendrissant, doux et qui se découvre peu à peu. J'avoue que c'est ce personnage qui m'a le plus touchée. Il sent qu'il tombe amoureux de la jeune et belle Angelique, mais il ne veut pas y croire. Il reste encore bon enfant et ne veut espérer que l'amour lui tombe dessus. Ou tout simplement que ses sentiments naissants puissent être plus fort que l'amitié.
Même si j'ai beaucoup aimé le caractère d'Angelique, que j'ai aimé la suivre et que j'ai été touchée et atterrée par son lourd secret, je n'ai pas eu cet attachement que j'ai pour Lord Darcy. Même s'il n'a pas de lourd secret en vue (oui le tome 2 n'est pas encore là, sait-on jamais), son côté protecteur m'a fait quelque chose.
En personnages secondaires, j'ai aussi beaucoup apprécié trois en particulier : Ellen, pour sa joie de vivre et sa façon de faire sortir Angelique de son mutisme et de la faire revivre ; Margaret, parce que c'est sa meilleure amie, et que bien qu'elle soit peu présente, dès qu'elle est dans les parages, Angelique est de bonne humeur ; Peter, l'ami de Lord Darcy. Tout comme Margaret, il est souvent absent, mais un petit quelque chose en lui m'a de suite conquise ! Peut-être parce qu'il connaît tellement bien son ami qu'il devine ce qui le perturbe dès le début...
Il faut dire aussi que si j'ai autant été charmée par cette histoire, la plume de l'auteure y est pour beaucoup : très fluide, elle manie parfaitement le dialecte de l'époque, et moi qui pensais avoir du mal au début, j'ai été agréablement surprise de plonger immédiatement dans le récit et d'être même déçue en lisant la dernière phrse. (ah et frustrée et énervée, parce que je sens que le tome 2 va me faire passer par différents sentiments...)
Un petit mot pour la fin. Je ne peux pas dire que je sois en colère contre l'auteure, mais je suis frustrée, c'est clair ! Parce que j'aurais aimé avoir tout d'une traite, c'est évident, quand on aime notre lecture. Cependant, j'ai trouvé ce final très beau, tout en sentiments et très touchant. Très bien écrit et très bien amené. Il nous promet le pire dans le tome 2 et j'aime être dans ce genre d'attente.
Angelique Beckett est une jeune fille pleine de caractère, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui vit avec une mère acariâtre, qui ne vit que pour l'une de ses sœurs : Georgiana. Mrs Beckett semble détester Angelique, à un point que l'on imagine même pas. Elle ne cesse de la réprimander, de mettre ses points faibles en avant lorsqu'elles sont en bonne compagnie et ne daigne pas lui lancer un regard quand elle est près d'elle. Si dès le début, le ton est donné, j'ai beaucoup apprécié le fait qu'Angelique ne se renferme pas sur elle-même, qu'elle ne se plaint pas et qu'elle ne pleure pas à tort ou à travers. Au contraire, elle n'hésite pas à répondre à sa génitrice, lui lancer des piques et la contredire. Plus le roman avance, plus cette sensation de confiance en soi augmente et c'est avec plaisir qu'on voit son personnage grandir.
Lors d'une visite de courtoisie à la nouvelle famille qui vient de s'installer près de chez elle, Angelique va faire la rencontre d'une famille qui va chambouler sa vie. La famille Darcy va lui faire découvrir un monde qu'elle ignore, où cette fois-ci, elle verra qu'elle peut être importante, et qu'elle n'est pas une impertinente, comme sa mère le prétend.
Je vous avoue que cette chronique est l'une des plus difficiles à faire. Pas parce que je n'ai pas aimé, bien au contraire ! Plutôt parce que chaque action, chaque passage dans ce livre ont leur importance. Aucun temps mort, aucun moment où l'on se dit « pourquoi l'auteure a écrit ça ? ». Alors rester là sans rien dire est encore plus difficile que de lâcher tout ce que l'on veut faire connaître. Parce que l'auteure a une plume tellement magnifique qu'elle nous fait voyager en 1820 avec délice. On peut y retrouver leur façon de parler le langage très soutenu et très bien mené. Ou encore des secrets bien cachés, des révélations qui changent beaucoup de choses. Ou encore une très belle romance qui part sur un « je t'aime, moi non plus »
Tiens, parlons de cette romance ! (oui parce que quand même, c'est le thème de ce livre, hein!). Parfaite. Pas cucul. Avec du sarcasme, des sentiments naissants qui arrivent quand il faut, ni trop tôt, ni trop tard. Une relation qui partait sur de mauvaises bases, puis qui se transforme peu à peu en amitié voilée. Une amitié où chacun des deux personnages reste à sa place. Leurs us et coutumes les interdit trop de rapprochement, de toucher, de regards qui se perdent.
Dans ce roman, je suis complètement tombée sous le charme de James Darcy. Aux yeux de tous il paraît très conventionnel et proche des règles. Cependant, quand on regarde plus en profondeur et que l'auteure l'autorise, on y trouve un jeune Lord attendrissant, doux et qui se découvre peu à peu. J'avoue que c'est ce personnage qui m'a le plus touchée. Il sent qu'il tombe amoureux de la jeune et belle Angelique, mais il ne veut pas y croire. Il reste encore bon enfant et ne veut espérer que l'amour lui tombe dessus. Ou tout simplement que ses sentiments naissants puissent être plus fort que l'amitié.
Même si j'ai beaucoup aimé le caractère d'Angelique, que j'ai aimé la suivre et que j'ai été touchée et atterrée par son lourd secret, je n'ai pas eu cet attachement que j'ai pour Lord Darcy. Même s'il n'a pas de lourd secret en vue (oui le tome 2 n'est pas encore là, sait-on jamais), son côté protecteur m'a fait quelque chose.
En personnages secondaires, j'ai aussi beaucoup apprécié trois en particulier : Ellen, pour sa joie de vivre et sa façon de faire sortir Angelique de son mutisme et de la faire revivre ; Margaret, parce que c'est sa meilleure amie, et que bien qu'elle soit peu présente, dès qu'elle est dans les parages, Angelique est de bonne humeur ; Peter, l'ami de Lord Darcy. Tout comme Margaret, il est souvent absent, mais un petit quelque chose en lui m'a de suite conquise ! Peut-être parce qu'il connaît tellement bien son ami qu'il devine ce qui le perturbe dès le début...
Il faut dire aussi que si j'ai autant été charmée par cette histoire, la plume de l'auteure y est pour beaucoup : très fluide, elle manie parfaitement le dialecte de l'époque, et moi qui pensais avoir du mal au début, j'ai été agréablement surprise de plonger immédiatement dans le récit et d'être même déçue en lisant la dernière phrse. (ah et frustrée et énervée, parce que je sens que le tome 2 va me faire passer par différents sentiments...)
Un petit mot pour la fin. Je ne peux pas dire que je sois en colère contre l'auteure, mais je suis frustrée, c'est clair ! Parce que j'aurais aimé avoir tout d'une traite, c'est évident, quand on aime notre lecture. Cependant, j'ai trouvé ce final très beau, tout en sentiments et très touchant. Très bien écrit et très bien amené. Il nous promet le pire dans le tome 2 et j'aime être dans ce genre d'attente.
En résumé, pour moi ce premier tome est une grande réussite ! J'ai été complètement immergée dans ce roman, j'ai aimé chaque mot, chaque passage, chaque événement. Évidemment, que serait un livre sans personnages qu'on déteste ? Car oui, certains je ne les aime pas, mais je sais que c'était fait exprès (sinon, où serait le goût de lire si tout était bien ^^). Angelique grandit de plus en plus et sait s'affirmer quand il le faut. Elle souffre (un peu, beaucoup) et tout ça la forge et la pousse à avancer, même si parfois elle aimerait abandonner. La romance qui débute est vraiment très belle et n'arrive pas trop tard, ce qui m'a beaucoup plu. L'auteure prend le temps de l'installer tout doucement et nous dévoile quelques petites parties de temps en temps. Bref, pour ceux qui aime l'historique et la romance, je vous conseille cette série. En plus elle n'est qu'en deux tomes, donc n'hésitez plus !
Juin 1821, Angélique vient de perdre sa seconde famille. Son frère a épousé sa meilleure amie et ses soeurs cadettes ont elles aussi quitté la demeure familiale. La jeune fille est donc seule face à son exécrable soeur et la haine de sa mère. Elle qui reprenait goût à la vie va s'approcher plus près que jamais de la mort... Qui la sauvera cette fois-ci ?
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VALENTINA ÉDITIONS - 426 PAGES - AMANDINE WEBER
Il me tardait de lire ce second tome, car j'avais adoré le premier, qui m'avait fait passer de très bons moments. Je me lançais tout doucement dans la romance historique, et je m'étais attachée aux personnages principaux, mais surtout Angélique et James Darcy. Cependant, avec ce tome 2, ça presque été la douche froide. Enfin je n'irais pas jusque-là, mais Angélique m'a vraiment beaucoup irritée et énervée.
Nous retrouvons donc Angélique, qui, après le départ des Darcy, qui avaient réussi à lui donner le goût de vivre, se sent au plus mal. Toujours en compagnie de sa mère qui la martyrise et pas loin de son oncle qui souhaite à tout prix se marier avec elle, elle se meurt peu à peu. Elle ne sort plus de son lit, ne mange plus, ne parle plus. Elle ne veut plus être en vie, aux côtés de cette mère qui ne l'a jamais aimée. Mais le retour de son frère et sa belle-sœur va lui un peu l'espoir et le goût de vivre.
S'il est vrai qu'au début j'ai été touchée par sa façon de se laisser mourir, il m'est vite apparu que c'était trop. Ça tient sur presque 100 pages, et au bout d'un moment, on finit par comprendre qu'elle est malheureuse. Évidemment, vivre auprès d'une mère qui la déteste, ne cesse de la descendre et qui fait tout pour la marier à son oncle, à de quoi rendre dépressif une personne. Mais tenir tout cela sur une partie, j'ai trouvé ça vraiment trop long, et au final, elle m'a plus énervée qu'autre chose. Je n'ai pas réussi à avoir pitié d'elle, bien au contraire. J'avais envie de lui secouer les puces et de lui donner un électrochoc.
Je vous avoue que j'ai enfin soufflé quand j'ai vu qu'au contact de sa belle-sœur et de son frère, elle réapprenait peu à peu à vivre, mais surtout à survivre. On la retrouvait telle qu'elle était avec son caractère très fort et son répondant qu'on apprécie tant, même si à cette époque, une femme qui répond était assez mal vue. Cependant, même si je n'ai pas réussi à m'accrocher à elle, je dois dire que l'auteure a vraiment réussi la relation mère/fille. Elle a appuyer sur le côté psychologique de cette relation, et on ne peut que détester la première et vouloir que tout se retourne contre elle.
Le roman est divisé en trois parties bien distinctes, qui rajoutent à chaque fois une intrigue de plus à la principale. C'est aussi ça le gros point fort du récit : bien qu'on apprécie pas vraiment Angélique, la lecture devient addictive, parce qu'on veut savoir le fin mot de l'histoire. Bien qu'avec le personnage principal ce n'est pas passé du tout avec moi, je n'ai jamais eu en tête d'abandonner le roman, ou bien encore de sauter des paragraphes. Tout simplement parce que l'auteure a cette particularité de nous prouver et nous montrer que chaque phrase a son importance, et que si l'on en rate une, on peut vite être perdu.
Malgré tout, on voit Angélique grandir et prendre de l'assurance. Elle fera des rencontres qui changeront sa vie et des retrouvailles qui lui redonneront sa joie de vivre et sa morgue. Le seul point que je pourrais reprocher à l'auteure, ce serait les répétitions qui sont bien trop présentes (je peux vous dire qu'après avoir lu au moins une trentaine de fois dans le roman qu'elle a de magnifiques yeux verts, ça irrite pas mal et fait lever les yeux au ciel et souffler). Outre ce petit point, l'auteure a vraiment une belle plume, qui transporte vers une époque intéressante à suivre avec ses coutumes et ses mœurs. Il est clair que je n'aurais pas aimé vivre à cette époque, aimant mon indépendance et ma liberté, mais la retrouver dans des romans n'est pas pour me déplaire.
Nous retrouvons donc Angélique, qui, après le départ des Darcy, qui avaient réussi à lui donner le goût de vivre, se sent au plus mal. Toujours en compagnie de sa mère qui la martyrise et pas loin de son oncle qui souhaite à tout prix se marier avec elle, elle se meurt peu à peu. Elle ne sort plus de son lit, ne mange plus, ne parle plus. Elle ne veut plus être en vie, aux côtés de cette mère qui ne l'a jamais aimée. Mais le retour de son frère et sa belle-sœur va lui un peu l'espoir et le goût de vivre.
S'il est vrai qu'au début j'ai été touchée par sa façon de se laisser mourir, il m'est vite apparu que c'était trop. Ça tient sur presque 100 pages, et au bout d'un moment, on finit par comprendre qu'elle est malheureuse. Évidemment, vivre auprès d'une mère qui la déteste, ne cesse de la descendre et qui fait tout pour la marier à son oncle, à de quoi rendre dépressif une personne. Mais tenir tout cela sur une partie, j'ai trouvé ça vraiment trop long, et au final, elle m'a plus énervée qu'autre chose. Je n'ai pas réussi à avoir pitié d'elle, bien au contraire. J'avais envie de lui secouer les puces et de lui donner un électrochoc.
Je vous avoue que j'ai enfin soufflé quand j'ai vu qu'au contact de sa belle-sœur et de son frère, elle réapprenait peu à peu à vivre, mais surtout à survivre. On la retrouvait telle qu'elle était avec son caractère très fort et son répondant qu'on apprécie tant, même si à cette époque, une femme qui répond était assez mal vue. Cependant, même si je n'ai pas réussi à m'accrocher à elle, je dois dire que l'auteure a vraiment réussi la relation mère/fille. Elle a appuyer sur le côté psychologique de cette relation, et on ne peut que détester la première et vouloir que tout se retourne contre elle.
Le roman est divisé en trois parties bien distinctes, qui rajoutent à chaque fois une intrigue de plus à la principale. C'est aussi ça le gros point fort du récit : bien qu'on apprécie pas vraiment Angélique, la lecture devient addictive, parce qu'on veut savoir le fin mot de l'histoire. Bien qu'avec le personnage principal ce n'est pas passé du tout avec moi, je n'ai jamais eu en tête d'abandonner le roman, ou bien encore de sauter des paragraphes. Tout simplement parce que l'auteure a cette particularité de nous prouver et nous montrer que chaque phrase a son importance, et que si l'on en rate une, on peut vite être perdu.
Malgré tout, on voit Angélique grandir et prendre de l'assurance. Elle fera des rencontres qui changeront sa vie et des retrouvailles qui lui redonneront sa joie de vivre et sa morgue. Le seul point que je pourrais reprocher à l'auteure, ce serait les répétitions qui sont bien trop présentes (je peux vous dire qu'après avoir lu au moins une trentaine de fois dans le roman qu'elle a de magnifiques yeux verts, ça irrite pas mal et fait lever les yeux au ciel et souffler). Outre ce petit point, l'auteure a vraiment une belle plume, qui transporte vers une époque intéressante à suivre avec ses coutumes et ses mœurs. Il est clair que je n'aurais pas aimé vivre à cette époque, aimant mon indépendance et ma liberté, mais la retrouver dans des romans n'est pas pour me déplaire.
En résumé, c'est une lecture en demi-teinte. Même si j'ai adoré retrouver cet univers et que l'auteure l'ait poussé au maximum, Angélique m'a vraiment irritée et énervée à plusieurs reprises. J'ai vraiment cru qu'au bout d'un moment, j'allais m'énerver toute seule devant ma lecture. Cependant, sa plume addictive pousse à vouloir le fin mot de l'histoire et être surpris de se retrouver happé dans cet univers.