Les filles de ma classe rêvent de vivre dans une grande villa et de posséder un dressing rempli de robes de créateurs et d’escarpins vertigineux, de connaître les feux de la rampe, le succès, le Champagne et les paillettes. Ou plus modestement, de séduire Arnaud, le beau gosse de la classe.
En ce qui me concerne, j’habite dans une demeure de luxe, ma mère mannequin nous l’a offerte. Quant à Arnaud, il a jeté sur moi son dévolu suite à un malheureux concours de circonstances. Et dans son sillage, la jalousie des pouffes ; tout ce qu’il manquait encore à ma petite vie parfaite. En apparence. Grattez un peu, et le rêve se change en cauchemar. Une guerre perpétuelle contre les calories. Ma silhouette fil-de-fer entretenue avec une obsession malsaine. Quant à ma mère, la célèbre Ornella Romanovska, elle juge plus important de se consacrer à ses défilés, shootings et soirées privées qu’à moi, sa fille. Sans oublier ce manque terrible qui m’habite quand je songe à mon père, un inconnu dont ma génitrice refuse de parler. Alors, si vous me dites tu es belle Apolline, j’aurai du mal à vous croire. |
Editions du chat noir - 215 pages - Marianne Stern
Cette chronique va être compliquée à faire, dans le sens où malheureusement, ça été une déception. Dès les premières pages, j'ai compris qu'entre Apolline et moi, ça allait être compliqué...
Pour être honnête, je n'avais pas plus apprécié que ça son roman "smog of Germania". Je n'avais pas accroché et j'avais vraiment peur que ça soit le cas avec "tu es belle Apolline". Et j'ai eu raison, car je n'ai pas du tout aimé. Enfin, pas l'histoire en elle-même, mais plutôt Apolline.
Alors, je sais bien que c'était voulu de la part de l'auteure, que c'est le caractère qu'elle a voulu donner à son personnage principal, mais je ne vais pas y aller par quatre chemins : Apolline est imbuvable. Littéralement. On ne s'attache pas à elle, elle est condescendante, méchante, imbu d'elle-même et manque de respect beaucoup trop souvent aux autres.
Le thème du livre était pourtant intéressant et je suis généralement bon public, mais là, vraiment, ça n'est pas du tout passé. Pour être honnête, je n'ai pas compris les choix qui ont été faits. J'ai vraiment eu du mal à aller au bout de ma lecture, parce que plus j'avançais, plus je m'énervais contre Apolline.
Alors, oui, l'environnement dans lequel elle évolue n'aide pas non plus à avoir une base saine. Mais le problème, c'est qu'elle ne se remet jamais en question. C'est toujours la faute des autres, elle a toujours raison et les autres tort. Dès qu'on essaye de lui parler elle se braque, devient méchante. Enfin bref, clairement, ce n'est pas passé. Généralement, avec des personnages comme ça, j'essaye d'atténuer, de leur trouver des points positifs, qui me font malgré tout m'attacher à eux. Mais avec elle... J'en avais pas envie. Vraiment.
Alors, je suis désolée que cette chronique soit autant négative, mais j'ai promis d'être toujours sincère. Bien sûr, ce livre plaira à d'autres et j'ai vu pas mal de coups de cœur sur la toile. Il mérite d'être apprécié, mais pour ma part, ça n'a pas été le cas. Et comme je le dis à chaque fois, c'est mon avis. Et vous, vous aurez le vôtre !
Pour être honnête, je n'avais pas plus apprécié que ça son roman "smog of Germania". Je n'avais pas accroché et j'avais vraiment peur que ça soit le cas avec "tu es belle Apolline". Et j'ai eu raison, car je n'ai pas du tout aimé. Enfin, pas l'histoire en elle-même, mais plutôt Apolline.
Alors, je sais bien que c'était voulu de la part de l'auteure, que c'est le caractère qu'elle a voulu donner à son personnage principal, mais je ne vais pas y aller par quatre chemins : Apolline est imbuvable. Littéralement. On ne s'attache pas à elle, elle est condescendante, méchante, imbu d'elle-même et manque de respect beaucoup trop souvent aux autres.
Le thème du livre était pourtant intéressant et je suis généralement bon public, mais là, vraiment, ça n'est pas du tout passé. Pour être honnête, je n'ai pas compris les choix qui ont été faits. J'ai vraiment eu du mal à aller au bout de ma lecture, parce que plus j'avançais, plus je m'énervais contre Apolline.
Alors, oui, l'environnement dans lequel elle évolue n'aide pas non plus à avoir une base saine. Mais le problème, c'est qu'elle ne se remet jamais en question. C'est toujours la faute des autres, elle a toujours raison et les autres tort. Dès qu'on essaye de lui parler elle se braque, devient méchante. Enfin bref, clairement, ce n'est pas passé. Généralement, avec des personnages comme ça, j'essaye d'atténuer, de leur trouver des points positifs, qui me font malgré tout m'attacher à eux. Mais avec elle... J'en avais pas envie. Vraiment.
Alors, je suis désolée que cette chronique soit autant négative, mais j'ai promis d'être toujours sincère. Bien sûr, ce livre plaira à d'autres et j'ai vu pas mal de coups de cœur sur la toile. Il mérite d'être apprécié, mais pour ma part, ça n'a pas été le cas. Et comme je le dis à chaque fois, c'est mon avis. Et vous, vous aurez le vôtre !
En résumé, c'est bel et bien une déception... Je n'ai pas du tout accroché à Apolline qui est clairement imbuvable et méchante. Ce qui m'a le plus énervée, c'est qu'elle ne se remet pas en question, n'arrangeant donc pas sa situation et sa façon de vivre. Je suis déçue d'être déçue, mais c'est le jeu...