Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
|
Nathan - 323 pages - john green
Ce livre, je le voulais depuis tellement longtemps que lorsqu'un ami m'a proposé de me le prêter pour en faire mon avis personnel, je n'ai pas su résister ! Je suis tombée sur tellement de bonnes chroniques que je ne pouvais pas passer à côté ! La couverture ne m'attirait pas plus que ça et sans ces avis, je ne pense pas que je l'aurais lu un jour.
Dans ce livre, nous pouvons suivre le personnage d'Hazel dans son combat pour survivre. En effet, elle est atteinte d'un cancer qui la tue un peu plus chaque jour. Pourtant, elle ne s'en plaint pas, au contraire. Elle est pleine d'entrain, d'humour et reste réaliste quant à sa maladie. Elle ne peut vivre sans sa bonbonne d’oxygène près d'elle, sans cette canule qui l'aide à respirer.
Elle fait partie d'un groupe de soutien aux malades présidé par Patrick, un homme assez bizarre et trop atteint moralement par le cancer qu'il a eu. Grâce au fait que l'auteur ait écrit l'histoire à la première personne du singulier nous permet de mieux rentrer dedans et de ressentir, ou non, la même chose qu'Hazel. Pendant l'une de ces séances, elle fera la connaissance d'Augustus, l'ami d'Isaac qui est une de ses connaissances. Une amitié se créera au fur et à mesure entre eux jusqu'à ce qu'elle devienne plus forte du côté du jeune homme.
Cette relation était certes prévisible, mais elle est belle et bien écrite. Je la trouve hachée dans le sens où Hazel ne sait pas si elle doit vraiment se faire un ami. Elle a peur de le faire souffrir, que ça évolue vers quelque chose de plus beau et de plus intime. Elle se considère comme un grenade prête à exploser à tout moment.
À force de se voir et d'échanger, ils se rendront compte qu'ils ont pas mal de points communs mais surtout un : la lecture. Hazel va lui prêter un livre qui se nomme « une impériale affliction » qui sera une révélation pour son ami. À chacune de leur conversation, ou presque, ils ne pourront pas s'empêcher d'en parler.
Lors d'un voyage à Amsterdam, où ils vont rencontrer l'auteur du roman, une Hazel se rend enfin à l'évidence : elle ressent bien plus qu'une forte amitié pour Augustus. Ils vont bien vite se rapprocher mais vient un événement qui va tout gâcher, ou presque. Dès lors, ce sera le combat contre la maladie, ils ne seront jamais aussi proches, passant leurs journées ensemble, riant, parlant, regardant la télé.
La fin m'a fait couler quelques larmes. Bien que je m'y attendais, c'est toujours dur de lire un final pareil et qui fait autant mal. Je vais sûrement en décevoir plus d'un, mais cette lecture n'est pas un coup de cœur, ni un coup de foudre, comme je le pensais. Je pense qu'à lire tous ces avis, j'en attendais beaucoup trop pour réellement être prise dans l'histoire.
En plus de cela, je ne me suis pas réellement attachée à Hazel. Pourquoi ? Je n'en sais trop rien. Augustus m'a plus touchée avec sa maladie et Isaac aussi, mais par Hazel ^^' c'est dommage parce que je pense que j'aurais été bien plus dans l'histoire. Mais ça n'engage que moi.
Si parmi ceux qui lisent cette chronique, vous avez des avis qui divergent, n'hésitez surtout pas à venir donner votre avis, je serais heureuse d'en parler avec vous !
Dans ce livre, nous pouvons suivre le personnage d'Hazel dans son combat pour survivre. En effet, elle est atteinte d'un cancer qui la tue un peu plus chaque jour. Pourtant, elle ne s'en plaint pas, au contraire. Elle est pleine d'entrain, d'humour et reste réaliste quant à sa maladie. Elle ne peut vivre sans sa bonbonne d’oxygène près d'elle, sans cette canule qui l'aide à respirer.
Elle fait partie d'un groupe de soutien aux malades présidé par Patrick, un homme assez bizarre et trop atteint moralement par le cancer qu'il a eu. Grâce au fait que l'auteur ait écrit l'histoire à la première personne du singulier nous permet de mieux rentrer dedans et de ressentir, ou non, la même chose qu'Hazel. Pendant l'une de ces séances, elle fera la connaissance d'Augustus, l'ami d'Isaac qui est une de ses connaissances. Une amitié se créera au fur et à mesure entre eux jusqu'à ce qu'elle devienne plus forte du côté du jeune homme.
Cette relation était certes prévisible, mais elle est belle et bien écrite. Je la trouve hachée dans le sens où Hazel ne sait pas si elle doit vraiment se faire un ami. Elle a peur de le faire souffrir, que ça évolue vers quelque chose de plus beau et de plus intime. Elle se considère comme un grenade prête à exploser à tout moment.
À force de se voir et d'échanger, ils se rendront compte qu'ils ont pas mal de points communs mais surtout un : la lecture. Hazel va lui prêter un livre qui se nomme « une impériale affliction » qui sera une révélation pour son ami. À chacune de leur conversation, ou presque, ils ne pourront pas s'empêcher d'en parler.
Lors d'un voyage à Amsterdam, où ils vont rencontrer l'auteur du roman, une Hazel se rend enfin à l'évidence : elle ressent bien plus qu'une forte amitié pour Augustus. Ils vont bien vite se rapprocher mais vient un événement qui va tout gâcher, ou presque. Dès lors, ce sera le combat contre la maladie, ils ne seront jamais aussi proches, passant leurs journées ensemble, riant, parlant, regardant la télé.
La fin m'a fait couler quelques larmes. Bien que je m'y attendais, c'est toujours dur de lire un final pareil et qui fait autant mal. Je vais sûrement en décevoir plus d'un, mais cette lecture n'est pas un coup de cœur, ni un coup de foudre, comme je le pensais. Je pense qu'à lire tous ces avis, j'en attendais beaucoup trop pour réellement être prise dans l'histoire.
En plus de cela, je ne me suis pas réellement attachée à Hazel. Pourquoi ? Je n'en sais trop rien. Augustus m'a plus touchée avec sa maladie et Isaac aussi, mais par Hazel ^^' c'est dommage parce que je pense que j'aurais été bien plus dans l'histoire. Mais ça n'engage que moi.
Si parmi ceux qui lisent cette chronique, vous avez des avis qui divergent, n'hésitez surtout pas à venir donner votre avis, je serais heureuse d'en parler avec vous !
En résumé, une bonne lecture, agréable, drôle par moment, sensible et qui touche une réalité de tous les jours. L'auteur montre aussi le réel sens de l'amitié et les valeurs que nous inculquent nos parents. J'ai trouvé qu'à certains moments, cette histoire était une vraie leçon de vie.