milan - 218 pages - zoë beck
Je dois bien avouer que ce résumé m'a intriguée, dès qu'il a été annoncé. Une histoire contemporaine avec des ados fait du bien de temps en temps et ce titre me paraissait tout à fait adéquat. Si j'ai bien aimé cette lecture, surtout la seconde partie, il n'empêche que certaines choses m'ont assez dérangée. Cependant, j'ai passé un bon moment de lecture !
Edvard est l'archétype de l'adolescent mal dans sa peau et qui n'est pas forcément accepté par ses collègues de classe. Brimé et insulté, il rejoint très vite l'avis de beaucoup : il est nul. En plus de cela, il est amoureux de Constance, l'une des filles les plus populaires du collège. Pour la séduire, il décide de s'inventer une vie, et se fait passer pour Jason, un américain en voyage scolaire. Beau et musclé, il attire tout de suite son regard, et voilà Edvard englué dans un cercle vicieux, qui pourrait très vite se retourner contre lui.
Si le speech de base m'a beaucoup intriguée, je dois dire que je ressors assez mitigée de cette lecture. Le gros point noir de l'histoire (pour moi), c'est le laxisme des parents qui... bah qui ne disent rien et laissent faire leur fils. Âgé de 15 ans, j'estime qu'il y a des limites à ne pas dépasser, et quand ces dernières le sont, ses parents le félicitent presque. Je dois bien avouer qui ça m'a étonnée et irritée (un peu). Néanmoins, j'ai trouvé que l'auteure avait vraiment su mener son histoire, en incorporant pleins de sous-intrigues, qui tiennent les lecteurs en haleine.
Le harcèlement scolaire est aussi un point important de l'histoire : même si ce n'est pas l'intrigue principale, l'auteure parvient avec des mots simples mais percutants à nous montrer la face sombre d'un jeune différent des autres. Même si Evard n'en est pas au point de vouloir en finir avec sa vie, on ressent sa tristesse et son point de vue pas toujours faciles à encaisser.
Comme je vous le disais plus haut, j'ai adoré la seconde partie du roman, qui traite d'un autre sujet, que je garderai mystère. J'ai vraiment dévoré ces pages, et je me suis attachée à ce nouveau personnage quelque peu bourru en apparence, mais nounours de l'intérieur. Par ses maigres moyens et ses idées un peu folles, Edvard tentera de l'aider, parfois mettant sa vie dans des situations compliquées. Le tout est saupoudré d'humour, et des passages cocasses, qui font bien rire. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai gloussé devant certaines phrases, certains passages, certaines situations. L'auteure a réussi à dédramatiser une ambiance qui pourtant aurait pu être difficile à vivre.
Edvard est l'archétype de l'adolescent mal dans sa peau et qui n'est pas forcément accepté par ses collègues de classe. Brimé et insulté, il rejoint très vite l'avis de beaucoup : il est nul. En plus de cela, il est amoureux de Constance, l'une des filles les plus populaires du collège. Pour la séduire, il décide de s'inventer une vie, et se fait passer pour Jason, un américain en voyage scolaire. Beau et musclé, il attire tout de suite son regard, et voilà Edvard englué dans un cercle vicieux, qui pourrait très vite se retourner contre lui.
Si le speech de base m'a beaucoup intriguée, je dois dire que je ressors assez mitigée de cette lecture. Le gros point noir de l'histoire (pour moi), c'est le laxisme des parents qui... bah qui ne disent rien et laissent faire leur fils. Âgé de 15 ans, j'estime qu'il y a des limites à ne pas dépasser, et quand ces dernières le sont, ses parents le félicitent presque. Je dois bien avouer qui ça m'a étonnée et irritée (un peu). Néanmoins, j'ai trouvé que l'auteure avait vraiment su mener son histoire, en incorporant pleins de sous-intrigues, qui tiennent les lecteurs en haleine.
Le harcèlement scolaire est aussi un point important de l'histoire : même si ce n'est pas l'intrigue principale, l'auteure parvient avec des mots simples mais percutants à nous montrer la face sombre d'un jeune différent des autres. Même si Evard n'en est pas au point de vouloir en finir avec sa vie, on ressent sa tristesse et son point de vue pas toujours faciles à encaisser.
Comme je vous le disais plus haut, j'ai adoré la seconde partie du roman, qui traite d'un autre sujet, que je garderai mystère. J'ai vraiment dévoré ces pages, et je me suis attachée à ce nouveau personnage quelque peu bourru en apparence, mais nounours de l'intérieur. Par ses maigres moyens et ses idées un peu folles, Edvard tentera de l'aider, parfois mettant sa vie dans des situations compliquées. Le tout est saupoudré d'humour, et des passages cocasses, qui font bien rire. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai gloussé devant certaines phrases, certains passages, certaines situations. L'auteure a réussi à dédramatiser une ambiance qui pourtant aurait pu être difficile à vivre.
En résumé, malgré quelques points noirs, j'ai apprécié cette lecture détente et rigolote à certains moments. Edvard présente malheureusement toutes les caractéristiques de l'adolescent mal dans sa peau, mais qui essaye de s'en sortir malgré tout. Et même s'il a des soucis, il n'en oublie pas ses proches et tente de les aider, par ses simples moyens. Il s'embourbe aussi dans ses mensonges, essayant d'y trouver des alternatives pour tenter de ne pas faire souffrir les gens. Parfois, ses décisions ne sont pas réfléchies, ce qui offre vraiment des situations très cocasses, auxquelles on ne peut s'empêcher de rire.
* Je remercie Milan et Elodie pour leur confiance ! *
* Je remercie Milan et Elodie pour leur confiance ! *