Pétronille Pignon vient de fêter ses 47 ans. Vieille fille, elle habite seule à Paris, dans un bel appartement du 16e arrondissement. Sa famille ? Des quémandeurs qui n’en veulent qu’à son argent. Ses connaissances ? Des râleurs. Ses voisins ? Des personnes infréquentables.
Bref, le niveau de tolérance de Pétronille Pignon est proche de zéro. Surtout, elle n’a besoin de personne pour se gâcher la vie ! Mais le coup bas est venu d'en haut, c’est-à-dire des chambres de bonnes. Imaginez que dans son immeuble se sont installés une jeune Américaine et… un Mexicain. Un Mexicain !! Le pire, c’est que ces très chers voisins vont changer la vie de Pétronille, pour son malheur. Ou son bonheur |
city éditions - 207 pages - éliane garillon
Lorsque j'ai reçu ce livre, je me suis à la fois demandé si j'allais apprécier ce livre ou et à la fois, que j'allais sans doute passer un très bon moment de lecture à rire à chaque page. Même si c'est vrai que certaines choses m'ont fait sourire, je reste tout de même très déçue de mon ressenti : non, je n'ai pas accroché à l'histoire et encore moins à l'humour noir (si c'était de l'humour....) de notre chère Pétronille.
Pétronille Pignon vient de fêter ses 47 ans et vit dans un immeuble du 16e arrondissement. Pour faire court, elle n'aime personne ; sa famille n'en veut qu'à ses sous (avec un appartement à plus de 1 millions d'euros, ça se comprend...) ; ses connaissances sont tous des râleurs ; ses voisins des personnes infréquentables. Du moins, tout cela est de son point de vue. On ne peut pas dire que durant le roman on s'attache à sa personne. Jamais un sourire, que des regards dédaigneux, toujours en train de faire des commentaires désobligeants. Bref, une femme invivable.
Mais tout va basculer le jour où elle va recevoir une rose sur le palier de sa porte. Évidemment, esprit torturé qu'elle est, elle va croire que quelqu'un a vidé sa poubelle devant chez elle et ira se plaindre à la concierge qu'elle ne sait pas faire son travail. Cependant, les roses vont continuer à être déposées sur le pas de la porte. À partir de là, elle se demandera qui peut bien être son prétendant.
Même si dans la seconde partie, Pétronille devient plus humaine, je l'ai trouvée aussi plus niaise, à essayer d'aimer tout le monde et d'être gentille avec tout le monde. Même l'américaine du dessus trouve ça louche. Pétronille cache sûrement un jeu, et elle redeviendra bien vite la femme invivable qu'ils connaissent tous.
Ce qui m'a aussi perturbée dans ma lecture, c'est le fait qu'il y a plusieurs protagonistes mais montrés d'une manière différente. Pour Pétronille, le récit est à la première personne du singulier. Pour le Mexicain, à la troisième personne du singulier et pour l'Américaine, on la suit sous forme de mails envoyés à sa sœur. J'avoue qu'en une personne totalement asociale et un Mexicain qui est très naïf, je n'avais plus que le choix d'apprécier l'Américaine, et heureusement que ce fut le cas ! C'était la seule qui me paraissait intéressante à suivre. Elle n'était ni niaise, ni naïve, au contraire, elle était plutôt réaliste (dans certaines situations).
Pétronille Pignon vient de fêter ses 47 ans et vit dans un immeuble du 16e arrondissement. Pour faire court, elle n'aime personne ; sa famille n'en veut qu'à ses sous (avec un appartement à plus de 1 millions d'euros, ça se comprend...) ; ses connaissances sont tous des râleurs ; ses voisins des personnes infréquentables. Du moins, tout cela est de son point de vue. On ne peut pas dire que durant le roman on s'attache à sa personne. Jamais un sourire, que des regards dédaigneux, toujours en train de faire des commentaires désobligeants. Bref, une femme invivable.
Mais tout va basculer le jour où elle va recevoir une rose sur le palier de sa porte. Évidemment, esprit torturé qu'elle est, elle va croire que quelqu'un a vidé sa poubelle devant chez elle et ira se plaindre à la concierge qu'elle ne sait pas faire son travail. Cependant, les roses vont continuer à être déposées sur le pas de la porte. À partir de là, elle se demandera qui peut bien être son prétendant.
Même si dans la seconde partie, Pétronille devient plus humaine, je l'ai trouvée aussi plus niaise, à essayer d'aimer tout le monde et d'être gentille avec tout le monde. Même l'américaine du dessus trouve ça louche. Pétronille cache sûrement un jeu, et elle redeviendra bien vite la femme invivable qu'ils connaissent tous.
Ce qui m'a aussi perturbée dans ma lecture, c'est le fait qu'il y a plusieurs protagonistes mais montrés d'une manière différente. Pour Pétronille, le récit est à la première personne du singulier. Pour le Mexicain, à la troisième personne du singulier et pour l'Américaine, on la suit sous forme de mails envoyés à sa sœur. J'avoue qu'en une personne totalement asociale et un Mexicain qui est très naïf, je n'avais plus que le choix d'apprécier l'Américaine, et heureusement que ce fut le cas ! C'était la seule qui me paraissait intéressante à suivre. Elle n'était ni niaise, ni naïve, au contraire, elle était plutôt réaliste (dans certaines situations).
Bref, vous l'aurez compris, je ressors très déçue de cette lecture qui pour moi promettait de bons éclats de rire. Je n'ai pas accroché à l'humour noir de l'auteure. Les plusieurs protagonistes m'ont aussi dérangée, parce que je pensais ne suivre que Pétronille. Après, cet avis en tient qu'à moi et ce livre peut plaire à beaucoup, donc je n'irai pas dire que je ne le conseille pas, parce que chacun à ses goûts. Mais avec moi, ça ne l'a pas fait, malheureusement.
* Je remercie tout de même Eric Poupet pour sa confiance et de m'avoir permis de lire ce livre, même si je n'ai pas accroché comme je l'espérais. *
* Je remercie tout de même Eric Poupet pour sa confiance et de m'avoir permis de lire ce livre, même si je n'ai pas accroché comme je l'espérais. *