En s'installant à Harrington pour remplacer l'institutrice de la petite ville, Bea ne s'attendait pas à un accueil en grande pompe ; mais, entre le tapis rouge et la franche hostilité, il y a un juste milieu, tout de même. Certes, elle est la fille du richissime homme d'affaires Sean Newel, qui menace de racheter la chocolaterie qui fait vivre la ville, mais sa venue n'a rien à voir avec ces histoires d'acquisition. Elle a bien essayé de l'expliquer à Tomas Harper, le jeune maire, mais ce dernier s'obstine à la traiter avec mépris et froideur. Tomas Harper? Un homme aussi séduisant qu'odieux et désagréable. Encore un qui la prend pour une petite héritière stupide et insouciante. Mais peu importe : à lui aussi, elle va prouver qu'elle n'est pas celle qu'il pense/
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Harlequin - 163 pages - Romane Rose
En ce moment, j'avais besoin d'un peu de fraîcheur, de lectures détentes et sans prise de tête. Et je dois dire qu'avec ce livre, c'est bien ce que j'ai eu. Il m'a beaucoup fait rire et surtout, j'ai passé un excellent moment.
Béa est la fille du très richissime Sean Newel. Voulant s'émanciper et surtout quitter cette vie faite d'or et de dîners mondains, elle s'en va à Harrington, là où un poste d'institutrice est à pourvoir. S'attendant à être un minimum bien accueillie, c'est la douche froide qui l'attend. Les habitants n'apprécient pas sa venue, et c'est sans compter sur le jeune maire Tomas Harper, qui ne voit pas sa venue d'un très bon œil. Mais elle a décidé de ne pas se laisser faire et de prouver qui elle est. Par tous les moyens mis à sa disposition.
J'ai su dès le premier chapitre que j'aimerai cette lecture, ou du moins, que je passerai un très bon moment. On sent dès les premières pages que Béa est née avec une guigne qui lui colle à la peau ce qui, vous l'aurez compris, lui crée des situations plutôt cocasses et drôles pour le lecteur. Alors son arrivée à Harrington se fait en grande pompe, pour son plus grand déplaisir !
L'entente entre les habitants et elle est loin d'être au beau fixe. Sachant qu'elle est la fille de Sean Newel, ils ont cette peur de le voir débarquer afin de racheter leur fabrique de chocolats. Mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que Béa, elle, n'est là que pour faire classe aux enfants et avoir la vie qu'elle entend.
Autant dire que ce n'est pas simple dès le départ, entre les flics qui lui font la misère, mais surtout ce jeune maire très arrogant et prétentieux. Il ne laisse rien passer, et même si cela agacé profondément Béa, elle essaye tout de même de faire amende honorable. Autant dire ce qui est : j'ai adoré la relation qu'ils entretiennent. De vrais chats et chiens. Mais en même temps, ils ont beau se détester, on sent qu'ils ne peuvent pas être loin l'un de l'autre. Comme un lien qui se crée sans qu'ils ne s'en rendent compte.
Même s'il est insupportable, je dois bien avouer que Tomas a réussi malgré tout à me charmer. Un sacré caractère mais au fond, un gros nounours. Dans un sens, on ne peut que comprendre le fait qu'il défende sa ville et ses habitants et qu'il réagisse au quart de tour. Et puis, j'ai trouvé qu'il y a avait une part de réalisme. Tout n'arrive pas tout de suite les personnages passent tous par des phases compliquées. Mais ce qui donne du charme au récit, ce qui les quiproquos qui jalonnent le récit. Bon, OK, Béa se les crée toute seule, ces quiproquos, mais que c'est drôle !
Béa est la fille du très richissime Sean Newel. Voulant s'émanciper et surtout quitter cette vie faite d'or et de dîners mondains, elle s'en va à Harrington, là où un poste d'institutrice est à pourvoir. S'attendant à être un minimum bien accueillie, c'est la douche froide qui l'attend. Les habitants n'apprécient pas sa venue, et c'est sans compter sur le jeune maire Tomas Harper, qui ne voit pas sa venue d'un très bon œil. Mais elle a décidé de ne pas se laisser faire et de prouver qui elle est. Par tous les moyens mis à sa disposition.
J'ai su dès le premier chapitre que j'aimerai cette lecture, ou du moins, que je passerai un très bon moment. On sent dès les premières pages que Béa est née avec une guigne qui lui colle à la peau ce qui, vous l'aurez compris, lui crée des situations plutôt cocasses et drôles pour le lecteur. Alors son arrivée à Harrington se fait en grande pompe, pour son plus grand déplaisir !
L'entente entre les habitants et elle est loin d'être au beau fixe. Sachant qu'elle est la fille de Sean Newel, ils ont cette peur de le voir débarquer afin de racheter leur fabrique de chocolats. Mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que Béa, elle, n'est là que pour faire classe aux enfants et avoir la vie qu'elle entend.
Autant dire que ce n'est pas simple dès le départ, entre les flics qui lui font la misère, mais surtout ce jeune maire très arrogant et prétentieux. Il ne laisse rien passer, et même si cela agacé profondément Béa, elle essaye tout de même de faire amende honorable. Autant dire ce qui est : j'ai adoré la relation qu'ils entretiennent. De vrais chats et chiens. Mais en même temps, ils ont beau se détester, on sent qu'ils ne peuvent pas être loin l'un de l'autre. Comme un lien qui se crée sans qu'ils ne s'en rendent compte.
Même s'il est insupportable, je dois bien avouer que Tomas a réussi malgré tout à me charmer. Un sacré caractère mais au fond, un gros nounours. Dans un sens, on ne peut que comprendre le fait qu'il défende sa ville et ses habitants et qu'il réagisse au quart de tour. Et puis, j'ai trouvé qu'il y a avait une part de réalisme. Tout n'arrive pas tout de suite les personnages passent tous par des phases compliquées. Mais ce qui donne du charme au récit, ce qui les quiproquos qui jalonnent le récit. Bon, OK, Béa se les crée toute seule, ces quiproquos, mais que c'est drôle !
En résumé, voilà une romance fraîche, drôle et qui fait du bien. Le couple Tomas/Béa vous touchera et vous fera rire, assurément. L'intrigue autour des enfants est aussi très intéressante et bien menée. L'auteure prend son temps pour mettre son histoire en place, et ça, c'est vraiment un très bon point.