Elle n’est pas prête à aimer, mais il est là pour lui apprendre.
L’amour, Avery y a renoncé. Elle ne peut donner à un homme ce qu’il désire, elle le sait. Alors quand Wade, le canon que la fac lui assigne comme tuteur, se dit prêt à tout pour la séduire, elle le prévient aussitôt qu’il perd son temps. Personne, pas même ce séduisant étudiant en art, ne peut changer celle qu’elle est devenue. Pourtant, avec son regard bleu océan qui rend dingues toutes les autres filles, il est loin de la laisser indifférente. Et, quand il propose de lui donner des cours particuliers à l’approche des partiels, elle sent combien il lui sera difficile de s’en tenir à sa résolution. Ça tombe mal : Wade ne reculera devant rien pour la faire craquer… |
Collection &h - 384 pages - Alfreda Enwy
En commençant ce livre, je savais que je me spoilais un peu "Ne crois pas que tu m'aimes" mais tant pis, j'avais vraiment envie de le lire. Et dans l'ensemble, j'ai passé un très bon moment de lecture.
Le gros point positif du roman, c'est avant tout le thème abordé. Je le trouve très important dans la vie actuelle et future. Il faut en parler et je trouve qu'Alfreda Enwy l'aborde avec justesse, douceur et sincérité. Elle dénonce des faits réels mais montre aussi aux femmes violées qu'elles peuvent s'en sortir, qu'elles sont entourées et trouveront toujours cette aide si précieuse qu'elles n'imaginent pas à portée de mains. Et rien que pour ça, ce roman doit être lu.
Bien sûr, la romance qui y est abordée est aussi très intéressante dans le sens où l'auteure prend vraiment son temps. Les personnages ne tombent pas amoureux immédiatement, ils se cherchent, jouent à chat et à la souris. Alors, certes, on sent cette attirance et cette alchimie à des kilomètres, mais c'est aussi ça qui donne du piment à l'histoire. Ils ne se tombent pas dans les bras et c'est très appréciable.
L'autre point fort du roman, ce sont les relations amicales qui égrènent le récit. L'amitié est un point important et ces amis en question sont véritablement des personnes sur lesquelles Wade et Avery peuvent compter. Ce sont belles amitiés sincères, honnêtes et belles. Et malgré le thème fort abordé, l'humour est aussi un point non négligeable. Entre piques envoyées, humour noir et auto dérision, Alfreda Enwy nous fait beaucoup rire.
Le gros point positif du roman, c'est avant tout le thème abordé. Je le trouve très important dans la vie actuelle et future. Il faut en parler et je trouve qu'Alfreda Enwy l'aborde avec justesse, douceur et sincérité. Elle dénonce des faits réels mais montre aussi aux femmes violées qu'elles peuvent s'en sortir, qu'elles sont entourées et trouveront toujours cette aide si précieuse qu'elles n'imaginent pas à portée de mains. Et rien que pour ça, ce roman doit être lu.
Bien sûr, la romance qui y est abordée est aussi très intéressante dans le sens où l'auteure prend vraiment son temps. Les personnages ne tombent pas amoureux immédiatement, ils se cherchent, jouent à chat et à la souris. Alors, certes, on sent cette attirance et cette alchimie à des kilomètres, mais c'est aussi ça qui donne du piment à l'histoire. Ils ne se tombent pas dans les bras et c'est très appréciable.
L'autre point fort du roman, ce sont les relations amicales qui égrènent le récit. L'amitié est un point important et ces amis en question sont véritablement des personnes sur lesquelles Wade et Avery peuvent compter. Ce sont belles amitiés sincères, honnêtes et belles. Et malgré le thème fort abordé, l'humour est aussi un point non négligeable. Entre piques envoyées, humour noir et auto dérision, Alfreda Enwy nous fait beaucoup rire.
En résumé, une romance comme je les aime. Si ce n'est pas un coup de cœur, c'est cependant une excellente lecture. Le thème du viol est abordé avec beaucoup de justesse et de respect, l'humour qui parsème le récit, assouplit le tout et les personnages sont très attachants. Bref, un combo qui fonctionne très bien pour moi !