Enfin ! C’est la première rencontre entre Mia et Senneth. Après des mois d’échanges sur les réseaux sociaux, ils vont passer une soirée ensemble.
Et même plus, avec ou sans affinités. Le matin qui suit leur rendez-vous, une épidémie mondiale les enferme dans le même appartement pour une durée indéterminée. Une cohabitation forcée constitue-t-elle un bon moyen pour débuter une relation ? Mia et Senneth ont quelques semaines devant eux pour trouver la réponse. Une comédie romantique ancrée dans l’actualité. |
Auto-édition - 241 pages - Mélanie de Coster
Pour être honnête, j'ai pas mal hésité avant d'accepter la demande de l'auteure, parce que je suis assez mal à l'aise sur les romans traitant de ce que nous avons vécu ces derniers mois. C'est un avis totalement personnel. Néanmoins, le résumé a réussi à m'intriguer, ainsi que sa magnifique couverture.
Si j'ai bien accroché au début, que je trouvais que le ton donné était chouette et assez drôle, j'ai assez vite décroché. Malheureusement, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et encore moins à Mia, que j'ai trouvé méchante, trop imbu d'elle-même et peu compréhensive.
Je peux comprendre que se retrouver enfermée dans l'appartement d'un homme avec qui on a juste passé une nuit peut être compliqué et déstabilisant, mais ça n'empêche pas d'avoir une éducation et d'être compréhensif malgré tout. Mais soit, je suis passée au-dessus, même si à plusieurs reprises, j'ai eu envie de la secouer.
Néanmoins, même en passant au-dessus, plusieurs autres points m'ont dérangée. D'abord la temporalité. Sur un page nous sommes en mars et l'autre page d'un coup, nous passons en avril... Je n'ai pas compris cette ellipse de temps, d'autant plus que rien ne l'indiquait. L'autre point qui m'a dérangée, ce sont les réactions des personnages. Alors, OK, être confiné peut faire changer les gens, mais là... Ils avaient vraiment des réactions disproportionnées et incohérentes à certains moments. Quant à leurs réflexions personnelles, je les ai trouvées plutôt inutiles et sans fondement.
Oui, je sais, cette chronique est plutôt négative et j'en suis désolée. Mais vous me connaissez, vous savez que je suis une personne honnête. Malgré tous ces points négatifs, l'auteure a quand même une belle plume entraînante (même si elle utilise des termes qui n'ont pas vraiment de sens dans certaines phrases), et aussi assez solaire.
Si j'ai bien accroché au début, que je trouvais que le ton donné était chouette et assez drôle, j'ai assez vite décroché. Malheureusement, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages et encore moins à Mia, que j'ai trouvé méchante, trop imbu d'elle-même et peu compréhensive.
Je peux comprendre que se retrouver enfermée dans l'appartement d'un homme avec qui on a juste passé une nuit peut être compliqué et déstabilisant, mais ça n'empêche pas d'avoir une éducation et d'être compréhensif malgré tout. Mais soit, je suis passée au-dessus, même si à plusieurs reprises, j'ai eu envie de la secouer.
Néanmoins, même en passant au-dessus, plusieurs autres points m'ont dérangée. D'abord la temporalité. Sur un page nous sommes en mars et l'autre page d'un coup, nous passons en avril... Je n'ai pas compris cette ellipse de temps, d'autant plus que rien ne l'indiquait. L'autre point qui m'a dérangée, ce sont les réactions des personnages. Alors, OK, être confiné peut faire changer les gens, mais là... Ils avaient vraiment des réactions disproportionnées et incohérentes à certains moments. Quant à leurs réflexions personnelles, je les ai trouvées plutôt inutiles et sans fondement.
Oui, je sais, cette chronique est plutôt négative et j'en suis désolée. Mais vous me connaissez, vous savez que je suis une personne honnête. Malgré tous ces points négatifs, l'auteure a quand même une belle plume entraînante (même si elle utilise des termes qui n'ont pas vraiment de sens dans certaines phrases), et aussi assez solaire.
En résumé, une romance qui est malheureusement une déception pour moi. Trop de choses incohérentes et invraisemblables pour que je m'accroche au récit et aux personnages. Néanmoins, je ne doute pas qu'il trouvera son public, malheureusement il n'était pas pour moi.