Hachette - 395 pages - Célia Samba
Mais quel livre ! Il est sûr qu'en lisant le résumé, on sait qu'on va être touchés. Mais à ce point-là ? Je ne pensais pas. Et pourtant. C'est sans aucun doute le fait qu'un passage en particulier m'a brisé le cœur, rendant d'autant plus réaliste cette histoire.
Je ne crois pas avoir déjà lu des romans avec comme personnage principal un SDF. C'était nouveau pour moi et je dois dire que c'est le genre de roman qui fait réfléchir. J'ai toujours été triste et désolée de voir des gens mendier pour leur vie, pour se nourrir, pour une journée de plus, mais avec ce roman, ça remet certaines choses en perspective et la plus importante : on ne connaît pas ces personnes. On ne sait pas ce qu'elles ont vécu et surtout ce qui les a menées à la rue.
À travers cette histoire touchante, l'Autrice fait passer des messages importants. De tolérance, d'amour, de compréhension. À travers les yeux et les penses de Noemie, nous découvrons un monde que nous ne connaissons pas, que nous pensons connaître, mais qui au final nous reste inconnu. Et on se rend compte que n'importe qui d'entre nous peut être malheureusement amené à, un jour, faire la manche, devoir quémander un peu d'argent pour manger.
Alors, évidemment, ici Tristan est un jeune homme gentil, bon sous presque tous rapports et fait passer un sacré message. Et évidemment, tous ne sont pas comme ça. Mais alors, pourquoi certains sont plus virulents ? Qu'est-ce qui les a amenés à le devenir ? On ne sait pas ce que le fait d'être dans la rue provoque dans l'esprit d'une personne. Certaines deviennent folles plus rapidement, ce qui peut se comprendre.
Et le fait d'être dans l'esprit de ces deux personnages offre une dimension, deux dimensions, permettant ainsi de voit les deux faces d'une même pièce. C'est le genre de roman que je commençais sans réellement d'attentes et que j'ai refermé des larmes plein les yeux (et les joues).
Je ne crois pas avoir déjà lu des romans avec comme personnage principal un SDF. C'était nouveau pour moi et je dois dire que c'est le genre de roman qui fait réfléchir. J'ai toujours été triste et désolée de voir des gens mendier pour leur vie, pour se nourrir, pour une journée de plus, mais avec ce roman, ça remet certaines choses en perspective et la plus importante : on ne connaît pas ces personnes. On ne sait pas ce qu'elles ont vécu et surtout ce qui les a menées à la rue.
À travers cette histoire touchante, l'Autrice fait passer des messages importants. De tolérance, d'amour, de compréhension. À travers les yeux et les penses de Noemie, nous découvrons un monde que nous ne connaissons pas, que nous pensons connaître, mais qui au final nous reste inconnu. Et on se rend compte que n'importe qui d'entre nous peut être malheureusement amené à, un jour, faire la manche, devoir quémander un peu d'argent pour manger.
Alors, évidemment, ici Tristan est un jeune homme gentil, bon sous presque tous rapports et fait passer un sacré message. Et évidemment, tous ne sont pas comme ça. Mais alors, pourquoi certains sont plus virulents ? Qu'est-ce qui les a amenés à le devenir ? On ne sait pas ce que le fait d'être dans la rue provoque dans l'esprit d'une personne. Certaines deviennent folles plus rapidement, ce qui peut se comprendre.
Et le fait d'être dans l'esprit de ces deux personnages offre une dimension, deux dimensions, permettant ainsi de voit les deux faces d'une même pièce. C'est le genre de roman que je commençais sans réellement d'attentes et que j'ai refermé des larmes plein les yeux (et les joues).
En résumé, un roman touchant, porté par deux personnages que semble tout opposer et qui pourtant se ressemblent un peu... Un roman triste, fort, puissant, réaliste, qui nous montre aussi le côté noir de la vie. Un merci coloré, plein de peps à l'autrice qui nous propose une histoire touchante, réaliste.