Diane danse comme une enclume, aime son intérieur et déteste les mariages. Surtout le sien. Son mari vient de la plaquer pour « quelqu’un d’autre » (sexe non identifié, mais prévisible, genre « maudite pétasse »). Désagrégée ou presque, Diane est secouée par sa meilleure amie. Celle-ci lui suggère de se remettre au plus vite sur le marché du sexe, en commençant tout doux par le « frenchage », le flirt. Mais sur qui pratiquer les premiers exercices en évitant trop de complications? Sur JP, bien sûr! Le charmant comptable du quatrième étage, marié et donc sans danger. Enfin, normalement…
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J'ai lu (label LJ) - 251 pages - Marie-Renée Lavoie
Pour ce livre, c'est tout d'abord le résumé qui a su attirer mon attention. Et puis, il faut dire qu'en terme de comédie romantique, je ne suis pas très difficile... À partir du moment où il y a de l'amour et de l'humour, j'en suis ! Et le second point qui m'a attirée, c'est le fait que ce soir une histoire québécoise. J'avais aussi peur de ne pas comprendre tous les termes mais ma curiosité à été plus forte ! Malheureusement, je suis passée complètement à côté...
Diane déteste les mariages, surtout le sien. Elle vient de se faire plaquer par son mari, qui lui a préféré une femme inconnue. Détruite par ce retournement inattendue, elle est secouée par sa meilleure amie qui lui dit de se remettre sur le marché. Et quoi de mieux que d'essayer de draguer un homme déjà pris, afin de voir si ses charmes fonctionnent toujours ?
Nous sommes d'accord que l'idée qu'une femme puisse draguer un homme déjà pris puisse être mal pris, mal interprété. Néanmoins, ce point m'a rendue assez curieuse. Si tout partait d'un bon point, j'ai cependant été vite perdue avec tous ces termes québécois et leur façon de parler. Attention, je ne critique en aucun cas ce qu'ils sont, parce que j'adore les entendre parler et entendre leur accent. Mais ici, j'ai vite été refroidie, ne comprenant pas forcément où voulait en venir l'auteure...
De ce fait, je n'ai pas accroché aux personnages et n'ai pas réussi à éprouver de l'affection pour Diane, cette femme blessée dans son amour propre par son mari. Néanmoins, j'ai compris sa souffrance d'être quittée après des années de mariage. Mais ça partait tellement dans tous les sens, que j'en ai pas réussi à trouver le fil conducteur du roman. De ce fait, il était devenu difficile pour moi de comprendre le récit dans sa globalité.
Diane déteste les mariages, surtout le sien. Elle vient de se faire plaquer par son mari, qui lui a préféré une femme inconnue. Détruite par ce retournement inattendue, elle est secouée par sa meilleure amie qui lui dit de se remettre sur le marché. Et quoi de mieux que d'essayer de draguer un homme déjà pris, afin de voir si ses charmes fonctionnent toujours ?
Nous sommes d'accord que l'idée qu'une femme puisse draguer un homme déjà pris puisse être mal pris, mal interprété. Néanmoins, ce point m'a rendue assez curieuse. Si tout partait d'un bon point, j'ai cependant été vite perdue avec tous ces termes québécois et leur façon de parler. Attention, je ne critique en aucun cas ce qu'ils sont, parce que j'adore les entendre parler et entendre leur accent. Mais ici, j'ai vite été refroidie, ne comprenant pas forcément où voulait en venir l'auteure...
De ce fait, je n'ai pas accroché aux personnages et n'ai pas réussi à éprouver de l'affection pour Diane, cette femme blessée dans son amour propre par son mari. Néanmoins, j'ai compris sa souffrance d'être quittée après des années de mariage. Mais ça partait tellement dans tous les sens, que j'en ai pas réussi à trouver le fil conducteur du roman. De ce fait, il était devenu difficile pour moi de comprendre le récit dans sa globalité.
En résumé, c'est un roman qui aurait pu être drôle (et qui l'est sûrement !) si j'avais réussi à comprendre tous les codes et surtout les réactions des personnages. Malheureusement, je suis passée complètement à côté, et ce n'est que mon ressenti personnel. D'autres personnes l'ont sûrement plus apprécié que moi, et tant mieux ! Il en fait pour tous les goûts, après tout.