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The Rain - Virginia Bergin

12/14/2017

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Une pluie mortelle s'abat sur la Terre :
l'humanité est menacée de disparition.
Ruby, 15 ans, part à la recherche de son père.
Je m'appelle Ruby Morris, et voici mon histoire.
Si vous la lisez, vous avez énormément de chance d'être encore en vie.
Question : quand faut-il abandonner tout espoir?
a) Maintenant. Immédiatement. On est foutus.
b) Dans deux semaines, environ.
c) Jamais.
d) J'imagine qu'il pourrait y avoir un d), mais s'il existe, je ne l'ai pas encore trouvé...
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Bayard - 382 pages - Virginia Bergin

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Un livre de science-fiction qui traite du sujet de la pluie, et tueuse en plus? Ah bah oui, moi ça m'intéresse. J'ai mis du temps à le sortir, mais pas à le lire ! Il m'a embarquée immédiatement, bien que parfois Ruby m'ait fait lever les yeux au ciel.

Nous sommes en Angleterre, et alors que Ruby profite d'une fête entre amis, le monde s'écroule. Une pluie meurtrière s'abat sur le pays, blessant jusqu'au sang les gens qui sont touchés. Très vite, la population s'amenuise mais aucune solution n'est trouvée. Ruby se retrouve seule avec un objectif: retrouver son père.

Autant dire ce qui est : j'ai adhéré dès le départ. Bon, c'est vrai que les premières pages tournent un peu en longueur, mais à partir du moment où la pluie meurtrière arrive, j'ai été happée dans le roman sans m'en rendre compte. Ce phénomène m'a assez intriguée pour que je tourne frénétiquement les pages, pour me retrouver à la fine et avoir envie de lire la suite !

Ruby est un personnage assez particulier, et soit on l'aime, soit on ne l'aime pas. Avec moi, ça été un peu "je t'aime moi non plus". J'ai adoré son côté humour. Car malgré la catastrophe qu'elle vit, elle essaye de garder une part d'humanité et d'auto-dérision. Et je pense que c'est aussi une forme de protection, pour ne pas devenir folle. Car vous, si vous voyez tous ceux que vous aimez mourir devant vos yeux, comment réagiriez-vous? Elle, elle se sert de son imagination et de son humour pour s'en sortir, pour essayer d'aller de l'avant.

Mais il est vrai que des fois, elle a des réactions un peu disproportionnées qui m'ont fait baisser les sourcils. À certains moments, elle me paraissait trop insensible à ce qui se passait autour d'elle, ne pensant qu'à sa petite personne et à sa survie. Ce qui, dans un sens, pourrait également être compréhensible, non ? Néanmoins, j'ai apprécié toute la psychologie que l'auteure a créé autour d'elle, la rendant assez atypique mais en même temps, une ado comme les autres, qui voit sa vie tomber en mille morceaux.

Certes, il est vrai que je m'attendais également à avoir un minimum d'action, que le sens autour de cette pluie meurtrière ait un sens, une explication, mais j'ai trouvé justement que c'était trop mis de côté au profit du caractère de Ruby. Bien évidemment, nous avons quelques explications, mais qui restent trop en surface. J'espère que dans le tome suivant, l'auteure misera plus sur le côté science-fiction.​
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​En résumé, malgré le fait que l'effet pluie meurtrière ait été trop mis de côté à mon goût, j'ai passé un excellent moment. Un premier tome addictif, avec une jeune fille assez atypique, qui cache sa douleur et sa peur derrière de l'auto-dérision qui peut être mal vue. Pour ma part, je lirai la suite avec grand plaisir, car il reste encore pas mal de questions sans réponse !
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Je m'appelle Ruby Morris. Je déteste la pluie.
Je vais vous dire un truc étrange au sujet des apocalypses, un truc que je ne savais pas avant d'en vivre une.
Ça a l'air assez horrible, hein ?
Faites-moi confiance...
Ça peut toujours être pire.
C'est ce qui arrive quand vous êtes seul, qu'il y a eu une apocalypse mondiale et que vous espérez l'arrivée de votre père comme il l'avait promis, mais qu'il ne se pointe pas. Alors qu'est-ce que vous allez devenir ? Et chaque jour, vous essayez de ne pas vous poser la question...
Tout va bien se passer. Ou pas...
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Bayard - 411 pages - Virginia Birgin

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Ayant totalement adoré le premier tome, il était certain que je lirai la suite et fin afin d'avoir toutes les réponses à mes questions et surtout de savoir si Ruby allait retrouver son père. Si dans l'ensemble, ce tome 2 se lit extrêmement vite, il n'en est pas moins que je suis quelque peu déçue de cette suite...

Ruby Morris est toujours dans la quête pour retrouver son père, le seul membre de la famille qui est toujours peut être en vie. Arrivée chez lui, elle l'attend impatiemment, mais il ne vient pas. Alors, quoi faire quand il y a une apocalypse, qu'on est seul et qu'au bout du compte il va bien falloir partir et continuer sa route ?

Tout partait bien pour ce dernier opus. Ruby était enfin arrivée chez son père, malgré son absence. Mais autant j'ai aimé son personnage dans le premier tome, autant ici je l'ai trouvée agaçante. Bon, d'accord, il y a bien des moments où je l'ai trouvée plutôt attachante, mais ils étaient rares. Je l'ai trouvée assez imbue d'elle-même et c'est vraiment dommage car elle est seule et n'a aucune raison de réagir ainsi.

Quant à l'intrigue, j'ai trouvé qu'elle tournait vite en rond, que les mêmes choses revenaient constamment, ce qui fait que ça n'avançait pas vraiment. Bien sûr, il y a quelques surprises au rendez-vous qui m'ont étonnée et plu, néanmoins, j'ai trouvé que c'était long et redondant par moment. Malgré cela, vous allez me dire : "oui mais tu l'as lu en une journée !". Oui, clairement, je l'ai dévoré et malgré ces points négatifs, j'ai apprécié ma lecture. Néanmoins, je m'attendais à ce que l'auteure nous fasse un dernier tome époustouflant, qui nous tienne en haleine et qui soit plein de rebondissements. Je pense que j'en attendais trop, malheureusement.

Mais rassurez-vous, les questions qu'on se pose trouvent leurs réponses à un moment ou un autre ! Et je dois dire que les explications sont plutôt sensées et bien pensées ! Surtout concernant Ruby ! Mais je dois avouer que la fin m'a aussi un petit peu déçue... Je m'attendais sans aucun doute à autre chose. Attention, pas à un happy end, hein, mais a quelque chose de... différent, sans aucun doute.​
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​En résumé, un second et dernier tome qui ne m'a pas convaincue dans son entièreté. Certes, on a toutes les réponses à nos questions, mais il m'a manqué quelque chose pour qu'il se place au même niveau que le premier tome. Quant à savoir quoi... Je suis encore dans le doute. Néanmoins, c'est un bon diptyque qui fait pas mal réfléchir sur l'avenir et sur les conséquences que pourrait avoir ce genre d'événement...
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Town - Rozenn Illiano

12/5/2017

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Un jour de janvier, un cataclysme sans précédent décime la quasi-totalité de l'humanité en quelques secondes. Les survivants doivent affronter par la suite toute l'hostilité de la planète ravagée, les fous dangereux sillonnant les routes... et les hordes d'anges descendus du Ciel pour les exterminer. Le tout sous des coups lancinants frappés à la Grande Horloge de l'Apocalypse. Douze coups, six cents jours, à la fin desquels la réalité telle que nous la connaissons disparaîtra.
À travers le chaos, Ana part à la recherche d'un refuge où se terrer quand la fin viendra. Elle rencontre alors Élias, un clairvoyant qui s'est donné une mission : tuer un maximum d'anges, pour sa propre survie et celle de ses compagnons d'infortune.
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4.5/5

Auto-édition - 247 pages - Rozenn Illiano

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Moi qui suis fan de toutes les histoires d'anges et démons, je ne pouvais clairement pas passer à côté de cette histoire. Et pour être honnête, même si je savais que ça parlait d'anges, je n'en savais pas plus que ça, sauf qu'une apocalypse avait décimé toute la population. Apocalypse + anges = Justine très intriguée. Et je dois dire que j'ai tout simplement adoré cette lecture !

Un jour de janvier, un cataclysme a décimé une partie de la population. Les survivants doivent affronter par la suite les fous dangereux sillonnant la route, mais surtout les hordes d'anges descendus du Ciel pour les exterminer. Le compte à rebours a commencé. Il ne leur reste que 12 coups de la grande Horloge de l'Apocalypse, soit six cents jours. Au-delà, tout disparaîtra. Ana part à la recherche d'un refuge où se terrer quand la fin viendra. Sur sa route, elle rencontre Elias, un clairvoyant qui n'a qu'une mission: tuer le maximum d'anges.

Vous aussi ce résumé vous intrigue assez pour avoir envie d'en savoir plus? Eh bien n'hésitez plus: vous allez découvrir une histoire particulière, atypique avec une plume maîtrisée et d'une qualité indéniable. Ici, vous ne rencontrerez pas d'anges gentils, là pour sauver le monde. Bien au contraire. Vous allez plutôt en rencontrer qui sont là pour tuer les derniers humains qui parsèment la Terre. Pourquoi? Telle est la question que l'on se pose.

J'ai tout de suite accroché à Ana. Cette jeune fille à tout perdu: famille, logement et même la motivation pour essayer de combattre ce fléau. Elle, ce qu'elle veut, c'est juste trouver un endroit où finir sa vie. C'est dans cette optique qu'elle part de chez elle et qu'elle fait la rencontre d'Elias. À ses côtés, elle va apprendre des choses qu'elle n'imaginait pas exister. Qui est-elle vraiment ? Et Elias, qui prêtent être clairvoyant?

Ce premier tome n'est pas forcément tourné sur l'action. Vous ne trouverez pas de combats qui vous laisseront sur les fesses. Mais vous trouverez plutôt des personnages avec une psychologie complexe, complète et tellement bien menée. L'auteure a été au bout des choses, nous montrant à quel point une personne peut changer devant un fait aussi grave que celui-ci. Que certains peuvent péter les plombs, alors que d'autres restent maîtres d'eux-mêmes, malgré les circonstances. Ici, Rozenn Illiano nous offre des personnages tous différents, mais qui au final arrivent à se compléter drôlement bien.

Mais le point fort de ce récit, outre cette plume diablement maîtrisée, c'est les différents points de vue. Coupé en trois parties, ce premier tome nous offre trois points de vue différents, de trois personnages qui ressentent un profond attachement les uns pour les autres mais qui pourtant connaissent les doutes et les colères que peuvent ressentir toutes personnes vivant ce genre d'angoisse. Et c'est à ce moment-là qu'on se rend compte à quel point la psychologie des personnages est rondement menée et que l'action devient alors superflue, tant le reste se suffit à lui-même.​
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​En résumé, voilà un premier tome qui m'a surprise par la qualité de la plume, mais aussi par le choix de l'auteure de miser sur la psychologie des personnages, plutôt que sur l'action. Un risque, mais qui se transforme très vite en une qualité non négligeable. Des anges méchants, des personnages atypiques et surprenants, une intrigue qui tient en haleine jusqu'au bout. En somme, un cocktail d'étonnant, qui a parfaitement fonctionné sur moi. Il me tarde de lire la suite !

SORTIE LE 8 DECEMBRE 2017 !

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​LIVRE LU DANS LE CADRE...

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​MISE EN BOUCHE DE LETTY :

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En résumé, Tueurs d’anges est un premier tome remarquable qui jette les bases d’une intrigue apocalyptique ou chaos, dangers et mystères s’entrelacent étroitement. En dehors de la tension et de la fébrilité omniprésentes, le récit s’avère finalement très psychologique et finement joué. Rozenn Illiano est parvenue avec brio à transformer ce qui nous semble pur et bienveillant en quelque chose de sombre et maléfique. Un surprenant cocktail qui vous fera vivre mille émotions.
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​CHRONIQUE COMPLÈTE DE MA COPINE DU BOUDOIR


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Town tome 1 - Boutique
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Oxyde est le jumeau astral d’Élias : nés en même temps et au même endroit, ils forment une entité clairvoyante et puissante guidée par Dossou, un esprit venu du fond des âges. Mais alors qu’il n’est qu’un adolescent, Oxyde envoie tout voler en pactisant avec un ange : son nom et son âme contre plus de pouvoirs, et tous les dommages collatéraux qui vont avec.

De nos jours, sorciers et mages sentent flotter dans l’air les signes d’un changement profond qui affectera la société tout entière. Discriminations, obscurantisme, autoritarisme et, derrière le rideau, le monde ésotérique qui s’affole. La métamorphose annoncée risque de faire très mal. Alors Oxyde part en chasse de l’ange à qui il a vendu son existence, histoire de renégocier le contrat avant l’Apocalypse.
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AUTO-ÉDITION - 243 PAGES - ROZENN ILLIANO

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Si vous me suivez depuis un petit moment, vous avez dû voir passer mon avis sur le premier tome de cette trilogie. Un avis très positif, sur une apocalypse créée par des anges, tout ce qu'il y a de plus mauvais. Ici, dans ce tome 2, l'histoire est différente, et même si j'ai eu un peu de mal au début, elle est tout aussi intéressante ! 

Oxyde est le jumeau astral d'Élias : nés en même temps et au même endroit, ils forment une entité clairvoyante et puissante guidée par Dossou, un esprit venu du fond des âges. Mais alors qu'il n'est qu'un adolescent, Oxyde fait la plus grosse erreur de sa vie en pactisant avec un ange. De nos jours, alors que tous sentent que le monde est en train de changer, Oxyde part à la recherche de cet ange qui a fait de sa vie un enfer. 

Comme je vous le disais plus haut, j'ai eu un peu de mal avec le début. Je ne sais pas pourquoi, je m'attendais à replonger dans l'ambiance du premier tome, en pleine apocalypse. Et c'est moi la fautive, car je n'ai pas vraiment lu le résumé. Sans ça, j'aurais su que nous remontions le temps pour voir oxyde grandir. Néanmoins, une fois que je me suis bien mis ça en tête, j'ai réellement apprécié ma lecture.

Oxyde est un personnage assez particulier. J'ai du du mal à le cerner, car il n'est pas du genre à s'épancher sur sa vie, ses sentiments et ce qu'il ressent. Il est aussi assez solitaire et aime faire les choses à sa manière et seul, de préférence. Mais au fil du récit, il n'aura pas le choix de  s'allier à certaines personnes s'il veut pouvoir avancer et surtout retrouver l'ange qui lui a tout pris. 

C'est une chronique assez compliquée à vous faire, en réalité, parce que je ne sais pas trop comment la tourner. Beaucoup d'informations sont révélées dans cet opus, et surtout, comment est née cette fameuse apocalypse. Mais je trouve intelligent d'avoir placé ce tome en second. Comme ça, en lisant le premier tome, il y cette part se mystère permanent, qui nous fait nous poser les bonnes questions. 

Je n'ai pas non plus envie de vous décrire les personnages secondaires. Pas par paresse, non, plutôt pour éviter de gâcher la surprise. Mais tout ce que je peux en dire, c'est qu'ils apportent énormément à Oxyde, en bien, comme en mal. Ils ont ce petit côté autant attachant qu'agaçant. 

L'intrigue, elle, se tient sur plusieurs années. L'auteure ne se perd pas dans des explications ou des passages inutiles, elle va à l'essentiel sans pour autant oublier de dire les choses. Et c'est ce que j'ai apprécié. Les ellipses ont leur raison d'être et sont très bien amenées. ​
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​En résumé, un tome 2 avec un début difficile, mais qui aura su me prendre dans ses filets. Oxyde est un personnage tel, que soit on le comprend, soit on passe à côté. L'intrigue tient en haleine, et nous avons enfin la genèse de cette apocalypse monstrueuse. Maintenant, j'attends avec grande impatience le tome 3 !

SORTIE LE 28 FEVRIER 2018 !

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Town tome 2 - Boutique

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Un jour de janvier, une tempête cataclysmique s’abat sur le monde. La lumière descendue du ciel ravage la Terre et lance un funeste compte à rebours, à la fin duquel il ne restera plus rien. Par chance, les marcheurs de rêves l’avaient prédit grâce à leur pouvoir si particulier, et la plupart d’entre eux ont pu se mettre à l’abri.

Comme eux, Lili survit à la catastrophe. Mais pour un temps seulement : son don ne lui obéit plus depuis longtemps. Démunie et tourmentée, elle rencontre alors Fañch, un adolescent jeté à la rue en raison de son homosexualité. Ensemble, ils errent au hasard, à la recherche d’une destination peut-être, d’un but, au gré de leurs failles et de leurs blessures?; des douleurs qui, tour à tour, font avancer ou reculer, paralysent, donnent de l’espoir ou découragent. Qu’espérer, en réalité, quand il n’y a que la fin au bout de la route ?

Onirophrénie est un spin-off de la série TOWN.
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4.5/5

AUTO-ÉDITION - 352 PAGES - ROZENN ILLIANO

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Ayant aimé les deux premiers tomes, je ne pouvais pas passer à côté de de spin off, qui permet d'en apprendre encore plus sur cet univers si atypique et palpitant. Je ressors totalement comblée de cette lecture et il me tarde de lire le grand final !​

Un jour de janvier, le pie est arrivé : une tempête cataclysmique s'abat sur le monde et un funeste compte à rebours commence. Heureusement, les marcheurs de rêves l'avaient prédit et ont pu se mettre à l'abri. Lili en fait partie, bien que son pouvoir lui fasse désormais défaut. Mais sur sa route, elle fera la rencontre de Fanch, un adolescent jeté à la rue à cause de son homosexualité. Ensemble, ils errent dans la rue, essayant l'un l'autre de se sauver.

Il est vrai que j'avais un peu moins réussi à entrer dans le tome 2 et que je craignais un peu ce spin off. Pour être honnête, dès les premières pages, j'ai retrouvé ce que j'avais adoré dans le premier opus. À partir de là, ma lecture s'est faite naturellement et j'ai même eu du mal à reposer mon livre quand il le fallait.

Lili est une jeune femme qui m'a particulièrement touchée et émue. J'ai adoré être auprès d'elle, qu'elle soit le personnage principal, qu'elle ait ces blessures, ces doutes, ces colères, ces incompréhensions. Ça la rendait d'autant plus réaliste et humaine à mes yeux. Son pouvoir lui fait défaut, ce qui la met parfois dans des situations compliquées. Néanmoins, sa force de caractère et sa motivation l'ont aidée à maintes reprises à reprendre confiance en elle, à la faire avancer jusqu'à son but premier.
Quant à Fanch, il lui apporte une aide et une présence bienvenues. Bien qu'elle soit assez solitaire et qu'elle ne perde pas de vue son objectif, ce garçon est aussi une venue bienvenue. Une personne sur qui elle peut compter, s'appuyer, se confier, se livrer. Et inversement. Leur lien s'étoffe de jour en jour et on sent, nous, lecteurs, à quel point cette amitié nouvelle est importante pour eux d'eux. Ils sont le pilier l'un de l'autre et c'est ce que j'ai trouvé de plus beau dans ce spin off.

Mais en dehors de ce lien très fort, l'intrigue nous tient particulièrement en haleine. L'idée de faire des chapitres très courts nous poussent à continuer d'explorer cet univers et instaure ainsi un sentiment d'addiction bienvenue et parfois un peu surprenante. Lili et Fanch vont croiser la route d'autres personnages, vont apprendre à se connaître eux-mêmes, découvrir une part d'eux qu'ils ne connaissaient pas forcément avant ce cataclysme. En dehors de cette histoire apocalyptique, c'est aussi une découverte de soi. Des questions existentielles sous fond de fin du monde.
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​En résumé, voilà un spin off qui m'a complètement prise dans ses filets. Je n'ai pas su le lâcher avant d'avoir le fin mot de l'histoire. Lili et Fanch sont deux personnages qui m'ont beaucoup touchée à des points différents. L'histoire sous fond d'apocalypse est très prenante et on n'en sort pas forcément indemne. Et si un truc du genre nous arrivait vraiment, comment réagirions-nous ?
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Town tome 2,5 - Boutique

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Après le jour de la fin du monde, les esprits des trépassés errent par millions sur la Terre dévastée, piégés parmi les vivants. Il faut à tout prix les exorciser ; c’est ainsi qu’une armée de médiums, de sorciers et de psychopompes, qu’on appelle les Passeurs, se met en route afin de renvoyer ces fantômes de l’autre côté.
Oxyde, lui, réalise que Lucifer l’a encore roulé. Il n’en a pas fini avec le déchu, et si l’Apocalypse ne l’empêche pas de partir à sa recherche, Town, elle, ne l’entend pas de cette oreille. Town, la dernière ville du monde, qui grandit encore et encore, devient puissante, et sera bientôt incontrôlable…
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Auto-édition - 234 pages - Rozenn Illiano

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Quel plaisir de replonger dans cet univers que j’adore ! Une histoire d’Anges sous forme d’apocalypse, on est d’accord que c’est assez rare, non ? Alors, en plus quand ces anges ne sont pas tous des gentils, c’est encore mieux. Et comme les tomes précédents, j’ai adoré cette lecture, je l’ai même dévorée !

Le jour de la fin du monde est arrivé, et malgré tout, des survivants ont réussi à se protéger de cette apocalypse. Oxyde en fait partie, et même s’il veut survivre, sa quête est encore plus importante que d’autres : au–delà de retrouver ses amis bien vivants, il veut découvrir qui il est, retrouver son vrai nom, son identité. Mais pour cela, il va, encore, devoir se mettre en danger, peu importe le prix.

Autant dire ce qui est et ne pas tourner autour du pot : j’ai kiffé ce tome 3 ! J’avais un peu peur de le commencer, car le point de vue d’Oxyde ne m’avait pas trop plu précédemment, mais mes craintes se sont vite enfuies, quand j’ai compris que j’allais dévorer et adorer ce tome. Et soyons honnêtes : la plume de l’auteure y est pour beaucoup. Elle est prenante, incisive et très poétique à la fois. On est vite pris dans ce cercle vicieux, avec cette envie de toujours en vouloir plus, surtout les réponses à nos questions.

Et bon, je l’avoue, Oxyde a réussi le pari de beaucoup me toucher. Alors que je n’avais pas forcément accroché avec lui avant, j’ai trouvé que dans ce tome, il était très attachant et émouvant. Disons surtout qu’il a ouvert les yeux sur beaucoup de choses, lui permettant de voir ce qui lui arrivait d’un nouvel œil, sous un autre angle. Il grandit, il mûrit, bien qu’il soit déjà bien adulte. Mais n’empêche que…

L’intrigue, quant à elle, réussit encore à surprendre. L’auteure a vraiment des idées de malade et les amène très bien. Pas de temps mort, pas d’hésitation, on sent qu’elle connaît son univers sur le bout des doigts, ce qui est terriblement appréciable ! Pour ceux qui hésiteraient encore, je ne peux que vous conseiller de vous jeter dessus. Argument imparable : toute la série est disponible, les 4 tomes sont tous sortis ! (et le spin–off aussi « Onirophrénie », qui permet d’en apprendre encore plus, et d’appréhender encore mieux l’univers).​
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En résumé, un tome 3 qui me confirme l’amour que j’ai pour cette série et la plume de l’auteure. Les personnages sont attachants, l’intrigue tient la route et en haleine, l’idée de mêler apocalypse et Anges pas très gentils est aussi un risque qu’a pris l’auteure et qu’elle a relevé avec brio ! Qu’attendez–vous pour craquer ?
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« Car l’ange l’a appelé. Le premier jour de l’Apocalypse, alors que les Aiguilles venaient d’apparaître entre ciel et terre, il a reçu un message, lui demandant de monter les marches de marbre, de franchir la frontière. Quelles splendeurs a-t-il contemplées, là-haut… Tant de beauté, tant d’absolu qu’il en est revenu changé.
Il a vu la lumière. Et rien ne compte plus à présent que d’y retourner, et d’abandonner l’enveloppe douloureuse et étriquée qu’il le maintient prisonnier de sa condition de mortel.
— Tu possèdes les clefs qui t’aideront à poursuivre mon œuvre, a dit l’Immaculé.
Alors il s’y est attelé. Avec patience et minutie, et la détermination comme un feu en lui. Jusqu’à aujourd’hui, face au ciel, face aux ruines cendreuses de Paris. »
Le quatrième et dernier tome de la série Town, et la conclusion de l’histoire.
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Auto-edition - 238 pages - Rozenn Illiano

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J'ai honte de faire ma chronique aussi tard, parce qu'en plus, j'ai adoré ce dernier tome ! Je sais que ce n'est pas une excuse, mais cette année a été une cata niveau organisation, mais j'essaye de me rattraper. Bref, clairvoyants, vous connaissez ? Non ? Bah qu'est-ce que vous attendez ?
 
Comme à chaque livre que je lis de Rozenn, deux sentiments se battent en duel : la peur et la joie. La peur de ne pas réussir à apprécier (mais bon, c'est comme ça à chaque lecture, à différents degrés) et la joie, parce que, au fond de moi, je sais que je vais retrouver une plume merveilleuse à chaque fois. Et ça n'a pas loupé avec ce dernier tome de Town.
 
Si vous me suivez depuis un petit moment, vous savez à quel point j'aime cette saga. Une histoire d'anges qui mènent à l'apocalypse, avouez que c'est plutôt orignal et intriguant ? Eh bien vous n'êtes pas au bout de vos surprises, parce que l'auteure réserve plein de rebondissements, des questionnements importants sur l'avenir, avec toujours cette poésie et ce côté incisif.
 
Et puis, soyons honnêtes : être, une nouvelle fois, dans la tête d'Elias et Oxyde c'est... Particulier et envoûtant. Une fois la première page tournée, le lecteur se voit transporté dans ce monde apocalyptique et toute la vie réelle s'efface. Alors, je n'irai pas jusqu'à dire que c'est un voyage de santé (oubliez pas, c'est la fin du monde, quand même), mais... cette histoire a assez de charme pour vous faire tout oublier.
 
Et c'est rare qu'un roman transporte autant ses lecteurs pour être mentionné ! C'est difficile de trop vous en dire sur ce tome 4, car c'est le dernier de la série, mais on a enfin toutes les réponses à nos questions, et plus on avance, plus on regrette d'arriver à la fin de cette aventure si particulière... Car oui, on s'attache aux personnages, et ce, dès le premier tome. Difficile donc de leur dire au revoir. Et pour vous montrer à quel point c'est compliqué, maintenant que j'ai écrit cette chronique et que j'ai replongé dans l'univers le temps de quelques minutes, j'ai très envie de me refaire la saga entière...
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​En résumé, un dernier tome qui clôt parfaitement une saga à la fois particulière, envoûtante, angoissante et qui véhicule des messages importants. La plume de Rozenn Illiano vous embarquera dans son univers et vous n'en ressortirez pas indemnes. Sa plume peut paraître déroutante au début, et puis, au fil des pages, on se rend compte à quel point elle est riche. Bref, n'hésitez pas et lisez ses textes !


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Seconde nature - Emmanuel Ardichvili

11/16/2017

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Dans un futur proche, la vie de Léo dévie imperceptiblement de sa trajectoire le jour où, par curiosité et envie de séduire son amie Astrid, il touche un étrange champignon.
Cet acte anodin fait basculer son existence dans un enchainement irréversible d'évènements. Ceux-ci l'entraineront ers un affrontement dont les enjeux dépassent de loin sa propre survie, face à un adversaire d'une nature singulière, bien trop fort pour lui.
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éditions du lamantin - 185 pages - Emmanuel Ardichvili


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Les pluies - Vincent Villeminot

10/18/2017

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Kosh n'a jamais vu les yeux de Lou dans le soleil : depuis maintenant quatre mois, il pleut. Une pluie serrée, violente, une pluie de mousson qui parait blanche la nuit dans les phares ou la lumière, et fait un voile gris sur toutes choses, le jour, à plus de quelques mètres. Le phénomène, inexplicable, échappe à toute logique, à toute prévision, à tout modèle, à toute saison. Mais Kosh n'a pas besoin de voir le soleil les éclairer pour savoir que le vert des yeux de Lou est menthe à l'eau. Et qu'ils sont la plus belle chose qu'il ait jamais vue. Surtout lorsqu'elle sourit. Qu'il la fait sourire. Kosh a promis à Lou que rien ne les séparerait. Jamais. Lorsqu'ils évacuent leur village, que les réfugiés se battent pour prendre place dans les derniers bateaux, pris de panique à l'idée qu'il s'agit du dernier espoir de s'en sortir, Kosh est arraché à Lou. "Survis ..." la supplie-t-il. "Survis, et moi, je te retrouverai".
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3.5/5

Fleurus - 339 pages - Vincent Villeminot

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Je dois bien avouer que cette série m'a intriguée quand la couverture et le résumé du tome 1 ont été dévoilés. Un monde ravagé par les pluies torrentielles et une fin du monde proche? Oui, j'avais envie d'en savoir plus. Et cette découverte m'a plu, même s'il me reste encore des questions sans réponse.

Alors que les pluies ne cessent de tomber depuis des mois, la situation s'aggrave de plus en plus. Les habitants doivent évacuer au plus vite leurs habitations, au risque d'être pris dans des torrents et mourir. Kosh est avec son petit frère Malcom, quand les policiers viennent les avertir qu'ils doivent quitter leur logement. Mais hors de question de partir sans Lou et Noah, leurs amis et voisins. Dès lors coupés du monde, les quatre jeunes vont devoir survivre alors que la situation s'aggrave de plus en plus. Mais qu'est-ce qui les attend en dehors de leur village?

Soyons honnêtes : c'est un roman qui se lit relativement vite, et qui devient, au fil des pages, assez addictif. Bien qu'il ne se passe pas énormément de choses, il n'en est pas moins qu'on se prend vite d'affection pour Kosh et compagnie. On a un peu pitié de leur situation et on veut savoir comment ils comptent s'en sortir.

Découpé en plusieurs parties, ce tome 1 enchaîne bien les situations, bien que j'ai trouvé une partie bien plus lente et moins intéressante que les autres. Néanmoins, malgré leur âge, on se rend compte que l'envie de survivre est plus forte que tout. Kosh prend les rênes du groupe et trouve des solutions pour sauvegarder son équipe à chaque problème ou mauvaise rencontre.

Les relations entre les personnages est aussi un point non négligeable du récit. L'auteur a mis un point d'honneur à parler de l'amitié qui pouvait naître dans de telles situations. Tout d'abord Kosh et Lou. On le sait dès le début, leurs liens vont au-delà de l'amitié. Mais ils prennent leur temps, apprennent à se connaître, et surtout, essayent de survivre. Quant à Noah et Malcolm, on peut dire qu'ils sont comme chien et chat. Mais... Ne dit-on pas que les difficultés peuvent rapprocher?

En réalité, ce que j'ai le plus aimé dans ce premier tome, c'est bien les relations qui se tissent entre les personnages. Bien évidemment, ils vont faire des rencontres qui peuvent changer le cours des choses, mais on sent à quel point ils sont tous les quatre reliés et à quel point le bien-être de chacun importe à l'autre. L'intrigue aussi est très intéressante, mais j'avoue rester un peu sur ma faim, car il n'y a pas encore eu d'explication sur le fait que ces pluies aient ravagé le monde depuis des mois. Il reste encore un tome, alors j'espère avoir cette réponse !​
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​En résumé, voilà un premier tome qui m'a plu. Le thème abordé est différent de ce qu'on peut voir dans les romans de post-apocalyptique, et du coup, le fait sortir du lot. Même si je suis assez frustrée de ne pas encore avoir toutes les réponses à mes questions sur ce phénomène, il n'en est pas moins que j'ai apprécié ma lecture. Les liens qui unissent nos personnages sont forts, intéressants et touchants. Plus qu'à lire la suite et fin, maintenant ! Ce qui sera sans doute fait le mois prochain !
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Komolo, ville "refuge", située à peine au-dessus de la nouvelle mer formée par le Déluge. 300 000 survivants s'y entassent, depuis la catastrophe. De la Tour où on la garde enfermée, Lou a vu arriver Noah, Kosh et Ombre, les rescapés du paquebot, accompagnés de Chiloé. Avec Malcolm, elle parvient à se précipiter au pied des murailles... Mais il est déjà trop tard : son amoureux et sa famille sont arrivés dans un hors-bord frappé de la tête de mort. Les jeunes gens sont accusés de piraterie. Désormais, une course contre la montre est engagée : il faut faire évader coûte que coûte Kosh et Noah. Quitte à frayer avec les trafiquants de la ville, à affronter les soldats, les prisons, la peur. Puis il faut fuir. Mais vers où ? Vers les bois hantés de réfugiés, dans les montagnes de Kamachka ? Ou vers Chaazam, repère de pirates, où les attend le dénouement ?
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​FLEURUS - 327 PAGES - VINCENT VILLEMINOT

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Cette fois, je n'ai pas attendu trop longtemps pour lire la suite, surtout que c'était le dernier tome. J'aurais été idiote d'attendre des mois, non? J'ai bien aimé ce second opus, bien que j'ai préféré le premier. Certains passages ici étaient assez longs pour moi. Néanmoins, ça se lit toujours aussi vite !

Josh, Ombre, Noah et Chiloé sont enfin arrivés où se trouvent Lou et Malcolm. Alors qu'ils pensaient enfin les retrouver, le Destin en a décidé autrement et les met, une nouvelle fois, en danger. Mais cette fois, Lou et Malcolm sont décidés à tous se sauver, pour enfin repartir d'un bon pied. Mais les adultes seront-ils aussi magnanimes? Rien n'est moins sûr !

J'étais assez pressée de lire ce second et dernier tome étant donné que j'avais vraiment bien aimé ce que l'auteur nous avait offert avec le premier. Cette idée de pluies intempestives, qui ne s'arrêtent jamais était vraiment bien trouvé et assez intriguant pour que je veuille en savoir plus. Ce second opus est plus tourné sur la survie, la psychologie que sur le côté post apo que nous pouvions retrouver chez son grand frère.

Et je dois dire que même si j'ai apprécié ce que j'ai lu, cela m'a un peu manqué. Je ne sais vraiment pas comment vous l'expliquer, mais l'idée de ces pluies m'avait tellement charmée que je m'attendais à en voir encore dans ce second opus. Néanmoins, le côté psychologique et la survie des personnages est vraiment sont vraiment bien traités. On a peur pour eux, on tremble pour eux et on veut qu'ils survivent tous, qu'à la fin, ils se retrouvent enfin et qu'ils se reconstruisent.

Bien sûr, l'auteur a déjà ses idées, et on se sent d'autant plus impuissants au fil des pages, car on se doute que telle ou telle chose va faire basculer l'espoir qu'on a en nous. Et c'est aussi cela qui montre à quel point l'auteur est doué pour nous faire nous attacher à ces personnages, à les rendre réels, et à rendre leur situation aussi réaliste et cahotique. Et surtout à nous poser cette question: et si, à nous, cela nous arrivait, comment réagirions-nous?

Mais comme je vous le disais plus haut, j'ai eu un peu plus de mal avec ce tome 2. Pas que je n'ai pas aimé, mais... certaines parties étaient un peu longues à mon goût, surtout celle de Malcolm, que j'ai trouvée un peu plate et décousue, lorsque qu'elle est au présent. D'ailleurs, je n'ai pas compris pourquoi il y avait eu ce changement de temps en plein milieu, et je dois avouer que ça m'a quelque peu déstabilisée.

Cependant, je dois bien l'avouer: l'auteur a parfaitement du rattraper la chose avec une fin haletante, des chapitres très courts, mettant ainsi me suspense et l'angoisse en première ligne, et des rebondissements inattendus. Oui, je ne me cache pas: cette fin m'a fait pleurer et m'a beaucoup touchée. Mais vu comme les évènements se mettaient en place, c'était une fin logique, même si mon coeur de lectrice n'est pas d'accord.​
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​En résumé, un bon diptyque, avec un thème des pluies qui ne s'arrêtent jamais vraiment bien trouvé ! Des personnages auxquels on ne peut que s'attacher et des liens forts qui se créent dans l'urgence mais qui paraissent d'une logique implacable quand on y pense. Un diptyque post apo que je vous conseille vraiment de découvrir à votre tour.
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Young Elites - Marie Lu

6/12/2017

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Adelina a survécu à l’épidémie qui a ravagé son pays. 
D’autres enfants, comme elle, ont survécu, la maladie laissant sur leur corps d’étranges marques. Les cheveux d’Adelina sont passés de noir à argenté, ses cils sont devenus blancs et une cicatrice barre la moitié gauche de son visage. Son père voit en elle une malfetto, une abomination, une disgrâce pour son nom et sa famille, synonyme de malédiction. Mais la rumeur dit que les survivants ont gagné davantage que des cicatrices : ils auraient acquis de mystérieux super-pouvoirs. Et, bien que leur identité demeure secrète, ces survivants ont déjà un nom : les Elites.
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2.5/5

Le livre de poche - 379 pages - Marie Lu​


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Syberia - Dana Skoll d'après l'oeuvre de B.H. Sokal

4/19/2017

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Kate Walker, jeune avocate américaine, est envoyée dans le petit village montagnard de Valadilène pour conclure le rachat d’une usine d’automates qui appartient à la famille Voralberg. Mais à son arrivée, elle découvre qu’un héritier potentiel, Hans Voralberg, a disparu en Europe de l’Est. Créateur d’automates de génie qui a passé sa vie à chercher les derniers mammouths vivant sur Terre, il s’est lancé dans sa quête jusqu’au nord de la Sibérie. Kate devra le retrouver pour mener à bien sa mission et sera confrontée à de nombreux personnages et lieux étranges qui remettront en question la vie qu’elle s’était construite.
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Michel Lafon - 316 pages - Dana Skoll d'après l'oeuvre de B.H. Sokal


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