Triste le royaume dont l'enfant est volé
Aux douces mains d'or elle fut arrachée
Un joyau victime des Reliks
Une larme pour l'enfant unique.
Le bébé devenu femme soufflerait aux terres de Léandril
Une vie nouvelle, trop vite oubliée des esprits volatiles
Des fermiers et des rois qui prient l'astre gris
Si tôt que le voleur la fille il eut pris
Ô Princesse, sauvez-vous
Pour vous êtes pureté jamais l'on oubliera
Ô Princesse, sauvez-nous
Ces terres et ces dunes sont vôtres
Notre salut, ô douce Princesse.
Sera l'iris de la pupille
Un regard qui jamais ne pleurera
Qui chaque nuit brillera
Qui entre mille on saura voir
Des Yeux de reine
Les Yeux de la Lune.
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