Hazel Wood, la résidence légendaire d'Althea Proserpine, auteure des célèbres Contes de l'Hinterland.
Hazel Wood, d'où semble s'échapper des personnages inventés par Althea. Hazel Wood, où sa petite-fille, Alice, va devoir s'aventurer. Hazel Wood, dont personne ne revient jamais. Et si Hazel Wood était bien plus qu'un simple manoir ? Un leurre ? Une porte d'entrée sur un autre monde ? Et si Alice était bien plus qu'une simple New-Yorkaise ? Une princesse ? Une tueuse ? Il était une fois... Hazel Wood. |
Milan - 373 pages - Melissa Albert
Lorsque le livre a été annoncé, j'ai été de suite très curieuse de le découvrir. Sans compter les teasers qu'on recevait petit à petit, qui m'ont encore plus intriguée ! De ce fait, je le commençais très positive, certaine d'aimer ma lecture. J'ai sans doute été trop positive, ou alors, j'en attendais trop, ou autre chose...
Le jour où la mère d'Alice disparaît - est enlevée - la vie de la jeune fille prend un tournant décisif. Les derniers mots de sa mère lui interdisant de s'approcher d'Hazel Wood, la propriété de sa grand mère, l'intriguent au plus au point et scellent son destin à jamais. Mais que se passe-t-il exactement dans ce lieu percé de mystères ? Sa mère s'y trouve-t-elle ?
Comme expliqué plus haut, je partais très positive en commençant ce roman. En effet, le résumé reste assez mystérieux pour vouloir en savoir plus. Pas trop, ni pas assez d'informations, qui poussent à tourner les pages de ce livre. Malheureusement pour moi, ça a fait un flop. J'ai eu du mal dès les premières pages, avec la plume de l'auteure, mais aussi avec l'intrigue.
Autant être honnête avec vous : j'ai trouvé que l'intrigue mettait énormément de temps à se mettre en place et, qu'au final, tout cela devenait redondant. L'action met du temps à arriver, même s'il on est d'accord que le roman n'est pas forcément basé sur ça. C'est plus un roman onirique, avec des contes particuliers, gênants et tout sauf pour les enfants. Néanmoins, je n'ai pas réussi à ressentir d'empathie pour les personnages, ce qui est un point important pour moi, surtout dans le genre imaginaire.
J'aime m'identifier à eux, avoir de la compassion et être proche d'eux. Ici, ça été tout le contraire. Même le désarroi d'Alice ne m'a pas touchée, et j'en suis la première déçue. Mais attention, je précise que ce n'est que mon avis personnel et que ce livre peut plaire à beaucoup d'autres ! Juste que pour moi, l'univers et les personnages n'ont pas su me convaincre. J'aurais sans doute aimé que ce soit plus clair, moins "brouillon", moins répétitif sur le début.
Parce que, mine de, une fois que l'intrigue commence réellement, c'est plutôt intéressant. Mais pour ma part, l'auteure m'a perdue dès le départ, et n'a pas réussi à me récupérer par la suite. J'en suis la première navrée, moi qui me faisais une joie de découvrir un roman si atypique ! Car il l'est, atypique. Ne vous attendez pas à découvrir des contes tout mignons, où tout le monde est heureux à la fin, car vous seriez déçus. Ici, c'est tout le contraire. Les contes qu'a écrit la grand mère d'Alice sont à vous donner des sueurs froides et quelques peu effrayants.
Le jour où la mère d'Alice disparaît - est enlevée - la vie de la jeune fille prend un tournant décisif. Les derniers mots de sa mère lui interdisant de s'approcher d'Hazel Wood, la propriété de sa grand mère, l'intriguent au plus au point et scellent son destin à jamais. Mais que se passe-t-il exactement dans ce lieu percé de mystères ? Sa mère s'y trouve-t-elle ?
Comme expliqué plus haut, je partais très positive en commençant ce roman. En effet, le résumé reste assez mystérieux pour vouloir en savoir plus. Pas trop, ni pas assez d'informations, qui poussent à tourner les pages de ce livre. Malheureusement pour moi, ça a fait un flop. J'ai eu du mal dès les premières pages, avec la plume de l'auteure, mais aussi avec l'intrigue.
Autant être honnête avec vous : j'ai trouvé que l'intrigue mettait énormément de temps à se mettre en place et, qu'au final, tout cela devenait redondant. L'action met du temps à arriver, même s'il on est d'accord que le roman n'est pas forcément basé sur ça. C'est plus un roman onirique, avec des contes particuliers, gênants et tout sauf pour les enfants. Néanmoins, je n'ai pas réussi à ressentir d'empathie pour les personnages, ce qui est un point important pour moi, surtout dans le genre imaginaire.
J'aime m'identifier à eux, avoir de la compassion et être proche d'eux. Ici, ça été tout le contraire. Même le désarroi d'Alice ne m'a pas touchée, et j'en suis la première déçue. Mais attention, je précise que ce n'est que mon avis personnel et que ce livre peut plaire à beaucoup d'autres ! Juste que pour moi, l'univers et les personnages n'ont pas su me convaincre. J'aurais sans doute aimé que ce soit plus clair, moins "brouillon", moins répétitif sur le début.
Parce que, mine de, une fois que l'intrigue commence réellement, c'est plutôt intéressant. Mais pour ma part, l'auteure m'a perdue dès le départ, et n'a pas réussi à me récupérer par la suite. J'en suis la première navrée, moi qui me faisais une joie de découvrir un roman si atypique ! Car il l'est, atypique. Ne vous attendez pas à découvrir des contes tout mignons, où tout le monde est heureux à la fin, car vous seriez déçus. Ici, c'est tout le contraire. Les contes qu'a écrit la grand mère d'Alice sont à vous donner des sueurs froides et quelques peu effrayants.
En résumé, je suis malheureusement passée complètement à côté de ce premier tome. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Alice, trouvant le début du roman très long et redondant. Pourtant, l'aspect mystique et intriguant du roman aurait dû me plaire, mais ça ne l'a pas fait... Je ne doute pas qu'il plaira à beaucoup d'autres personnes, mais pour moi, l'aventure se termine ici... et j'en suis la première navrée.